Atlas observa Meredith endormie à ses côtés, un sourire tendre étirant ses lèvres. La voir ainsi, épuisée mais paisible après leur longue nuit ensemble, éveilla en lui une chaleur douce et persistante. Ses lèvres légèrement entrouvertes, son souffle régulier ponctué de légers ronflements, le fit rire doucement. Plus le temps passait, plus son amour pour elle s’intensifiait. Il avait cru que les sentiments s’étiolaient avec le temps, que la routine éteignait l’excitation, mais avec Meredith, chaque instant, même le plus simple, le fascinait. La nuance de ses cheveux sous la lumière, l’éclat de ses yeux lorsqu’elle souriait, ses gestes maladroits et son rire délicat : tout cela le captivait. Elle était belle, incroyablement belle, et il aurait pu la contempler sans fin, sans jamais se lasse

