CHAPITRE XV

2691 Words

CHAPITRE XV Nous nous élançons sur la mer, et l’on entend un rugissement sauvage, et les matelots pâlissent et prient ; nous jetons ses eaux autour de nous, comme l’oiseau secoue de ses plumes frissonnantes l’écume de la fontaine. BRYANT WINDS. Les chasseurs de veaux marins ne perdirent point de temps. La belle saison était courte, et le péril qu’il y avait à pénétrer au milieu des glaces et à en sortir était si sérieux, que tous ceux qui appartenaient au schooner sentaient l’importance d’une grande activité et d’un zèle intelligent. Le lendemain même de l’arrivée du vaisseau, non-seulement on fit tous les préparatifs nécessaires, mais on tua un bon nombre de veaux marins, à fourrure d’excellente qualité. On abattit deux grands éléphants de mer de près de 30 pieds de long, et le dange

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