V« Tes lettres nous font passer de bien bons moments, très cher Franz ! Mlle d’Espeuven et Pierre de Sobrans ont manqué de faire étouffer Cécile, tant elle riait en m’écoutant lire les passages relatifs à ces intéressants personnages. » – Ce Franz ! Comme il doit s’amuser ! disait-elle. Et que je voudrais être là aussi ! » Moi, ce que je voudrais surtout voir c’est la tête de ces jeunes imbéciles, si tu décides quelque jour de reprendre là-bas ta véritable personnalité. Pour le coup, ce serait à mourir de rire ! » Décidément, tu admires beaucoup Mlle de Pendennek ! Cécile affirme que tu en es certainement amoureux. Je penche aussi vers cette opinion ; mais, tel que je te connais, je n’imagine pas que tu cherches là un simple amusement de prince. Je sais, Franz, quelles sont l’énergie et

