Chapitre 2

2317 Words
CHAPITRE 2 QUELQUE part dans le MONDE Henriké Lucas Mickelson Mon chauffeur m'ouvre la portière je sors de la voiture direction le salon. J'arrive dans mon bureau je mets le code de mon ordinateur et les images sont devant moi. Je vérifie toutes les caméras ça va il n'y a rien à signaler, je reste là à observer pendant un moment et je verrouille. Je vais dans la salle à manger, je trouve mon repas posé sur la table à manger. Sans plus attendre je prends mes comprimés qui étaient juste à côté et je commence à manger. ....: Bonsoir Mr nous avons fait ce que vous avez demandé. Moi: ok merci. Où sont-ils ? ....: Dans la salle de sport Mr. Moi: ok tu peux disposer. Il s'en va après s'être excusé, je finis de manger et pars prendre une douche. J'aimerais aller les voir mais je suis fatigué, ce petit trajet m'a épuisé. Je vais me coucher juste après ça, mais je n'arrive pas à dormir alors je me mets à penser. Ce jour là si je n'étais pas arrivé et que je n'avais pas appelé mon vieil ami que serait-il passé ?? Ils allaient mourir comme çà sans savoir que leur père est vivant et connaître toute la vérité ? [Flash-back] 2 ans avant L'heure est grave alors que je suis en pour aller sauver mon deuxième fils, l'un de mes hommes m'appelle pour me dire que l'autre est en danger. Je ne peux pas envoyer mes hommes là-bas sinon ils se feront remarqués. Je suis déjà éloigné, j'ai le cerveau un peu mélangé pour la première fois dans ma vie que je ne sais pas quoi faire. Je demande à mon homme de sécurité qui conduit la voiture d'accélérer, il acquiesce en exécutant. Je regarde du côté de la vitre en même temps une idée me vient en tête, je compose son numéro et appelle. Il décroche mais il n'entend pas à cause du réseau, surtout que je l'appelle directement. Je relance encore l'appel pour le prévenir de sortir de sa maison, je connais Sandro Lucio il a du barricader sa maison de bombes. Après j'appelle mon vieil ami avec qui j'ai eu quelques soucis mais on est toujours là pour se rendre service. Moi: (appelant mon vieil ami) bonsoir Bashares. L'heure est grave mon fils est en danger et face à cet homme il ne pourra pas se défendre. J'ai besoin de toi. Lui: bonsoir Henriké. Je suis à Los Angeles actuellement je suis route vers la maison de ton fils. Je veux prendre ma fille où est-elle ? Moi: (soupirant) elle va bien ne t'inquiètes pas j'ai déjà envoyé quelqu'un la chercher. Actuellement je suis en route pour aller chercher son frère. Lui: ok j'irai le chercher. Moi: prends des couvertures anti-inflammatoires. Lui: ok. Prends soin d'elle. Moi: t'inquiètes pas. Je raccroche un peu rassuré car je sais que Bashares fera le nécessaire. C'est un vieil ami qui m'a aidé et que j'ai aidé, on s'est rendu service dans le passé alors aujourd'hui on fait la même chose. Nous avons des enfants qui sont en danger alors je devais l'appeler. On arrive sur un ravin, je vois des voitures rebrousser chemin et de la fumée non loin. C'est avec le cœur battant que je descends de ma voiture demande à mes hommes de remonter la voiture de mon fils. Elle a explosé il y'a un peu longtemps, après les fouilles ils n'ont rien trouvés je soupire profondément. Je leur demande de redescendre car mon fils n'est pas mort c'est quand-même un Mickelson. En 5 minutes ils trouvent un corps presque mort, on se met tous en route alors. Il est allongé sur ma banquette arrière et moi près de mon chauffeur, ses vêtements sont brûlés mais ça va il est intacte. Nous arrivons devant l'hôpital rapidement les docteurs s'occupent de lui rapidement on me conduit dans le bureau du docteur pour que je me repose et pour ne pas me faire remarquer. Après je ne sais combien de temps qui m'a paru une éternité le docteur sort de la salle opératoire. Je m'approche de lui un peu inquièt je sais que mon fils n'est pas mort mais.../ Docteur: Mr Mickelson, votre fils est sorti d'affaire mais ses blessures sont profondent il et actuellement dans le coma. Moi: ok. Mais il se réveillera quand ? Lui: je ne sais pas Mr. On doit patienter. Moi: ok. Merci. Docteur: je vous en prie Mr Mickelson. Il sort du bureau en me laissant perdu dans mes pensées. J'ai le cœur qui bat à cent à l'heure quand je me rappelle que je n'ai pas les nouvelles de son grand frère. J'appelle Bashares mais sont téléphone tombe sur la messagerie. Je ne sais pas mais j'ai un mauvais pressentiment je sors de l'hôpital en laissant mon fils là. Il est dans une chambre VIP où il ne sera pas dérangé. Je monte dans ma voiture et on démarre. Nous sommes passés dans l'entrepôt de Sandro mon grand frère pour récupérer les filles et on a décollé direction l'Inde. Je les ai laissé là-bas elles vont devoir rester hors des États-Unis. Je sais que Sandro va les oublier vue qu'il pensera qu'à la réorganisation de mon équipe. Ce qu'il ne sait pas que qu'il n'est pas en possession de cette organisation, je le laisse comme ça pour le moment seule la santé de mes fils m'importe. Arrivé au États-Unis je vais directement dans l'hôpital où il l'a emmené. C'est un hôpital privée c'est mieux pour nous car je ne veux pas qu'on sache où il se trouve actuellement. Mon fils est une célébrité et les journalistes ne manquent pas de chercher de l'argent. Bref j'entre dans la chambre où il est couché lui il est plus blessé que Jorden. Il est dans le coma, je soupire et sors de la salle. Je retourne chez moi mais avant je demande à mon major d'homme d'accompagner les filles où elles veulent sauf aux États-Unis. J'ai pu rencontrer mon vieil ami Bashares, nous avions eu un accrochage il y'a des années mais malgré ça il m'a aidé. Je lui en suis vraiment reconnaissant, je lui ai donné les nouvelles de sa fille et après on se sépare. Je retourne dans ma cachette pour le moment, je laisse du temps à Sandro dit le PARRAIN dit le REVENANT, de goûter à mon travail et après je vais lui faire sa fête. [Fin du flash-back] Moi je suis Henriké Lucas Mickelson le père de Devon Derrick et Jorden Curtis Mickelson. Je suis dans la cinquantaine d'années, je vis seul car je n'ai pas encore eu la force d'avoir une autre à mes côtés depuis qu'elle est partie. Oui je ne suis pas mort, j'ai simplement dissimulé ma mort pour la sécurité de mes fils. Sandro Lucio Mickelson est mon aîné, il a toujours été jaloux de moi. D'abord c'était les copines que j'avais quand j'étais jeune, il sortait avec elles aussi et quand je l'ai su on s'est disputé et notre relation s'est encore dégradé. On ne s'entendait pas trop depuis tout petit mais quand on est devenus adultes je ne le supportais plus et c'était réciproque. Quand j'ai commencé à construire mon gang il en a fait pareil mais ça n'a pas prit de l'ampleur comme le mien, ce qui l'a rendu encore plus jaloux. Après mon mariage avec Helline la mère de Devon il est passé chez moi pour la kidnapper disant qu'il l'a vu en premier, mais c'est moi qu'elle a choisi. Je n'ai pas prit sa menace au sérieux quand il m'a dit que s'il ne peut pas l'avoir moi non plus je ne l'aurais pas. Il a tué Helline pendant qu'elle était déjà à terme de sa grossesse, elle est morte sur le champ. Je n'étais pas là ce jour là et je culpabilise parce-que c'est de ma faute, je m'étais déplacé ce jour là même après ses supplications. Elle m'avait défendu de partir à cet événement mais je ne l'ai pas écouté. Bref je vous ai dit tout sur moi, il et temps de dormir. Le lendemain matin je descends au salon trouver mes deux fils manger. Chacun a le visage froissé et le regard dans le vide, mais pas n'importe quel vide. Ça c'est le regard de quelqu'un qui ressent de la haine pour son prochain. J'ai soupiré en m'approchant d'eux, c'est bien la première fois qu'ils vont me voir car je ne me suis pas encore montré à eux mais je crois que c'est le bon moment. Moi: bonjour mes fistons !! À l'entente de ma voix Devon dépose sa cuillère lentement mais ne bouge plus, pensant que c'est son imagination qui lui joue des tours. Quant à Jorden il a tourné la tête brusquement pour me regarder, il balade son regard sur moi. Il fronce les sourcils et recrache sa nourriture, ses yeux étaient rouges. Je n'arrive pas à déchiffrer ce qui loge dans ses yeux, lui son cas n'est pas difficile donc je ne m'en fais pas. Actuellement ce qui m'inquiète c'est Devon qui n'a pas encore réagi. Je m'approche donc. Moi: j'espère que vous allez bien maintenant. Jorden: (les sourcils froncés) comment ça se fait ? Moi: je vais vous l'expliquer mais d'abord il faut qu'on parle. Jorden: (rire nerveux) donc tu n'es pas mort ? Moi: non comme tu peux le voir. Jorden: (se levant de sa chaise) c'est du délire....comment ? Je...tu...merde !! Moi: (soupirant) assieds-toi on va parler. Jorden: (comme un robot il s'assoit) oui je veux des explications. Moi: (regardant Devon qui a levé ses yeux vers moi quand je me suis assis) je vais vous expliquer. J'ai dissimulé ma mort pour vous protéger et.../ Devon: (rire nerveux) pour nous protéger tu dis ?? Qu'est-ce qui était si dangereux et que t'étais obligé de dissimuler ta mort ? Moi: d'abord votre oncle.../ Jorden: ce n'est pas notre oncle cette pourriture. Moi: (le regardant dans les yeux avec ma voix de chef) ne me coupez plus jamais la parole, j'espère que je suis clair. Eux: oui. Moi: (me servant du café) comme je le disais, vous étiez en danger car j'avais Sandro sur le dos et aussi le Russe. D'après mes informations vous avez tués le Russe mais il reste Sandro. Il est plus dangereux que Russe c'est pour quoi je me suis éloigné, pas que j'ai peut mais il voulait vous faire du mal. Au début il menaçait de vous tuer d'où il kidnappait Devon quand il était petit. Eux: Moi: j'ai l'ai mit en prison après la naissance de Devon mais il avait des contacts dehors. Il a toujours voulu avoir mon organisation car il n'a pas su gérer la sienne, et la DEA l'a dissocié. S'il a pu vous atteindre actuellement c'est parce-que vous avez été déconcentrés, tout comme je l'ai été. Eux: Moi: heureusement que vous avez été sauvés et actuellement le monde entier crois que vous êtes morts et enterrés, et c'est mieux ainsi. Devon: tout comme tu nous l'as fait croire. Moi: Jorden: (passant ses mains dans ses cheveux qui ont poussés) c'est fou tout ça ! Moi: bref. Il faut que vous vous préparez car la bataille vient de commencer. Jorden: il va morfler d'avoir touché à ma copine. Moi: (regardant Devon qui a le regard dans le vide) il doit mourir, Sandro Lucio a trop tué. Devon: (se levant) et cette mort ça sera lui-même qui va la demander tellement qu'il va souffrir. Moi: (les regardant respirer comme des taureaux) c'est ce que j'aime, voir mes deux fils se comporter en Homme avec grand H. Après le petit déjeuner on s'installe au salon, personne ne parle mais je sais qu'ils ont pleins de questions dans la tête. Je les regarde ils se ressemblent mes fils, je souris en me disant que j'ai fait du bon travail car ils ont les mêmes traits. C'est aussi vrai que leurs deux mères se ressemblent un tout petit peu mais bon, c'est à moi qu'ils ressemblent beaucoup et c'est tout ce qui m'importe. Devon: où elles sont ? Moi: (levant un sourcil) Devon: je veux savoir où sont Elvira et Carmel ? Moi: c'est à moi que tu parles sans respect et avec ce ton ? Lui: je veux savoir où elles sont. Moi: Devon: Jorden: bref. S'il-te-plaît on veut savoir où sont les filles c'est important. Moi: (le regardant dans les yeux) tu es vraiment prêt à entendre cette vérité ? Jorden: oui. Moi: ok. Elles sont dans un pays dont je tairais le nom et elles ont des enfants sans compter qu'elles sont en couple. Eux: Moi: alors oubliez les, pour elles vous êtes morts alors restez des morts pour pouvoir affronter votre ennemi. Eux: Moi: Sandro Lucio est dangereux mais pas plus que vous deux réunis. Devon: c'est impossible. Elvira ne peut pas aimer un autre homme que moi. Jorden: Carmel n'est pas capable, elle ne risquera pas sa vie en se mettant en couple avec quelqu'un. Devon: elle n'a même pas ce cœur là. Je la connais. Moi: ok. Mais moi je vous ai dit la vérité maintenant passez à autre chose. Je me lève et entre dans mon bureau un peu triste et inquièt. Ces enfants ci sont têtus je sais qu'ils iront les chercher. C'est pas que je ne veux pas le bonheur de mes fils mais le problème est qu'ils sont devenus trop indiscrets à cause de ses filles. Je sais qu'elles sont les bonnes pour eux mais l'ennemi est concentré et il a le regard sur tout. Pourquoi je ne veux pas me montrer actuellement ? Bah c'est simple pour le gouvernement je suis mort, même les autres organisations et même la CIA le pense. Alors si j'ai l'idée de reprendre l'organisation en main ils ne sauront jamais qui sera à la tête de celle-ci.
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