Odell hurla : « Tu as trois secondes pour me lâcher ! Tout en souriant, Sylvia s’accrocha encore plus fort et dit : « Non ! » « Toi » Sa voix devint plus forte Sylvia resta un instant abasourdi et avant qu’elle ne puisse réagir, son beau visage se rapprocha du sien. Il colla ses lèvres aux siennes. La présence dominatrice de l’homme l’assaillit, et son odeur pénétra dans son nez et emplit son intérieur. L’intimité la figea pendant quelques secondes. Puis, elle reprit son calme et essaya de le repousser. Cependant, plus elle poussait, plus il serrait ses lèvres sur les siennes. Elle continua à se débattre jusqu’à ce qu’elle perde l’équilibre et trébuche. Boum ! Elle tomba sur le canapé et le corps rigide d’Odell s’effondra sur elle. Il plana au-dessus d’elle, la regardant dans les yeu

