Au moment où Odell reprit ses esprits, Sylvia était à des kilomètres et sa silhouette avait la taille d’une fourmi.
L’expression d’Odell devint aussi noire que du goudron, et un rugissement intimidant résonna à travers les fissures de ses dents serrées : « Sylvia ! »
Tara était effrayée par son expression terrifiante, et il lui a fallu un certain temps avant d’oser s’approcher de lui.
Elle lui serra le bras et essaya de le réconforter : « Odell, oublie ça. Elle a toujours été comme ça et nous ne pouvons rien y faire. Ne nous laissons pas prendre par ses pitreries. » Cela ne fit qu’empirer les choses. Ce que Tara avait dit lui rappela sa précédente rencontre exaspérante avec Sylvia.
Comme si le fait de la laisser le menacer avec une lame de rasoir dans le cou n’était pas suffisant, il l
