Un homme qui s\'appelle Janfoukan de l\'âge trentaine, s\'est libéré du joug de l\'esclavage . Livré à lui même dans la nature , lutter pour sa survie, son plus grand désir c\'est créer un nom dans la société. Il arrive à faire toutes sortes de travail pour économiser de l\'argent, pour faire son investissement , un bon jour il arrive au point de ce qu\'il veut, il a prit tout son argent et l\'investir dans l\'agriculture. il commence à vendre choux, carottes et pommes de terre. Malgré tous ses efforts la société le mépris toujours, il a même pas le droit à un compte bancaire, un bon matin une incendie s\'est produite et brûler la banque , et le seul recours possible Janfoukan le rejet de la société.
Après tous les mépris, les humiliations que subissent Janfoukan, parviendrait t-il à les aider??
Janfoukan, homme noir d’une trentaine d’années, venait à peine de se libérer du joug de l’esclavage. Jeté dans une nature indifférente, sans toit ni protection, il dut apprendre à survivre par lui-même.
Chaque jour était un combat : contre la faim, contre la fatigue, contre le mépris. Pourtant, un rêve l’habitait : créer un nom, laisser une trace, prouver que l’homme noir libéré pouvait bâtir son avenir par le travail honnête.
Janfoukan accepta toutes sortes de travaux pénibles. Il économisa sou à sou, avec patience et discipline. Le jour où il jugea son capital suffisant, il prit une décision courageuse : investir dans l’agriculture.
Il cultiva des choux, des carottes et des pommes de terre. Son champ devint son espoir. Mais malgré ses efforts, la société continua de le mépriser. On refusait de le reconnaître comme citoyen. Il n’avait même pas le droit de payer des taxes, comme si sa réussite dérangeait l’ordre établi.
Un matin, un incendie ravagea la maison de perception des impôts. Face à cette crise, un seul recours fut envisagé par les autorités : rejeter Janfoukan, l’homme que la société n’avait jamais accepté.