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FEMME FATALE

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#Femme_Fatale

#Prologue

Peut-être les choses auraient pu être différentes. Peut-être mon choix de vie suivant les conseils de ma sainte mère auraient pu changer ce karma que je vis. Mon désir insatiable d’atteindre le sommet est certainement à l’origine de mon malheur. Mon amour pour le luxe et l’argent facile est certainement ce qui a fait de moi le point noir dans la vie de plusieurs familles. Des ‘’rendrez-moi mon enfants’’ me hantent les oreilles jours et nuit. Entre sectoriser le cœur des pauvres innocents et amputer les seins des jeunes filles pour satisfaire mes poches et asseoir ma domination sur les autres, je me suis frayer une route vers l’enfer. Mon mentor, mon guide et mon aman fut en même temps mon initiateur.

Belinda est mon prénom. Ma maison est la plus luxueuse de la ville et peut-être même du pays. Mon influence traverse mon pays et les autres pays mais mon sommeil est désormais réduit aux voix de ma pauvre mère qui ne cesse de se retourner dans la tombe en voyant ce que je suis devenu. Ce trafic dans lequel j’ai vite fait d’entrer à fleure d’âge et cette méchanceté avec laquelle je suis né m’ont conduit au sommet. Cependant, entre vagabondage s****l et monétaire, il n’y a pas d’issus. Peut-être vais-je mourir, peut-être pas, dans tous les cas, lisez mon histoire et prenez en de la graine.

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Chapitre 1
À l'époque nous vivions dans ce genre de maison en plein milieux des marécages dans la grande ville de Douala, notre belle capitale économique. La pauvreté extrême, je l'ai connu. Manger à sueur de mon front comme il est recommandé dans la bible n'avait jamais été mon fort. Un faible pour la vie facile, pour le monde du beau à tout prix, c'était cette voie que je voulais suivre. Des conseils, j'en recevais, surtout venant de Carine, ma meilleure amie depuis l'enfance. Cet après-midi, nous venions de terminer les cours de répétition pour les préparations du concours d'entrée en faculté de médecine et science pharmaceutique. En attendant les résultats du baccalauréat, il était important pour nous de commencer les préparations. J'avais un don, ce don que j'aurai dû utiliser pour avoir une vie meilleure. Je m'en sortais dans mes études et ceux en toutes les matières. J'avais été première de mon établissement à plusieurs reprises, sinon deuxième. Mon corps, ce corps de rêves ! Celui que toutes les filles voudraient avoir. Un ventre assez plat au milieu d'une belle paire de fesse bien molle et d'une paire de sein assortie. Un visage tel celui d'une poupée maquillée comme j'aimais bien. Tout cela était accompagné d'un teint éclatant que je tenais de ma mère. J'avais tous ceux dont j'avais besoin pour atteindre mes plus grands objectifs. Je devais sortir ma famille de la pauvreté, j'avais des rêves sans limite. Carine n'en revenait toujours pas lorsque je lui parlais de mes projets. Carine : ma chérie c'est vrai qu'il faut viser loin dans la vie mais toi la hein... J'espère que tu ne vas pas tenir le même langage devant les hommes. Moi : si je tiens le même langage qu'est-ce qui va se passer? Carine : il y'a les hommes qui aiment voir les filles rêveuses comme toi. Il te tire bien même vers lui jusqu'à être sûr que tu penses qu'il va tout faire pour toi. Dès qu'il prend ce qu'il veut il te laisse. Moi : tu me connais Carine, tu connais ta copine. Hein, je te jure qu'un homme ne peut pas faire ça à Belinda. Personne ne peut me faire ça. Ou je suis Belinda ou je ne le suis pas. Carine : ma chérie le dehors que tu vois la hein... Humm, tu connais mon histoire. Moi : tu sais que j'attends juste mon BAC pour commencer la vraie vie nor. Je veux avoir libre cours d'accomplir mes rêves comme je le souhaite et je sais que je vais y arriver. Il me faut juste tomber sur un vrai homme. Carine : j'espère juste que tu vas rester avec lui. Façon ils sont comme les serviettes hygiéniques pour toi hein... C'était tout moi. Je ne supportais pas la pauvreté dans laquelle ma famille avait délibérément accepté de vivre alors je me battais comme je pouvais avec mes riches amants. C'est peu de le dire mais sachez-le, la quasi-totalité de mes enseignant avaient déjà découvert mon corps sans jamais le toucher. Je savais leur dire ce ''je t'aime'' en me déshabillant tout en décaissant mon argent. Toute suite après, je me rhabillais. Malgré cet amour pour la vie facile, je me préservais de déchirer mon hymen avec des hommes qui ne souhaitaient qu'une nuit. Près d'une petite boutique, on décida de prendre chacune un sachet d'eau potable pour calmer notre soif. Carine : je sens que si je ne bois pas un coup je vais sécher. Pardon, allons acheter l'eau. Moi : tu as l'argent? Tu sais que depuis que j'ai barré tous mes gars pour bucher il n'y a plus rien nor. Là-où je suis là, mon devant derrière ce sont mes sous-vêtements, rien d'autre. Carine : j'ai soixante et quinze franc. J'espère que le gars la va accepter de nous donner deux sachets d'eau. Carine n'était pas mieux que moi en classe sociale mais elle ne visait pas aussi loin. Elle savait se contenter de ce qu'elle avait. Pour refaire ses poches sans toutefois se sentir obligé de demander aux parents, elle avait su se faire un fond de commerce. Spécialisé dans la vente de plantains et de prunes braisés, elle s'en mettait pleine les poches pendant les grandes vacances. Tous les soirs après les cours, elle allait démarrer son commerce afin de pouvoir préparer les frais de scolarité de l'année suivante. Moi par contre, je ne me voyais pas me salir dans ce genre de chose. Et si je me cassais un ongle? Et si je me brulais ? On alla jusqu'au jeune boutiquier. Il était assez costaud et belle l'homme mais il manquait d'entretien. À notre arrivé, il s'amourachait avec sa femme au point de ne pas se rendre compte de notre présence. Ce qui me mit très en colère. Moi : je dis hein? On part? Sa femme courut nous demander ce qu'on voulait. -désolé ooo, vous voulez quoi les filles? Moi : on vous a dit que c'était une chambre ici où vous pouviez vous toucher les joues comme vous vouliez? Votre matelas est seulement percé? Stuippp... On veut deux sachets d'eau, on a 75 frs. Elle me regarda de la tête aux pieds avant de faire battre ses cils comme pour me toiser. -ma chérie je plein tes parents, je sais qu'ils t'ont donné une bonne éducation mais tu as décidé de devenir ce qui est devant moi. Vraiment hein... Ma coo tu fais comment pour marcher avec elle (à Carine). Moi : attends un peu, tu parles à qui comme ça? Tu te prends même pour quoi pour me parler de la sorte? Tu vas voir ce que je vais te faire. Attends seulement et tu verras. Salope... Pardon Carine, on part. On s'en alla après mes menaces. De loin, je pouvais entendre les paroles de cette femme. -tu penses que tu peux me faire quoi? À part tourner tes sales fesses-la... Stuippp... Il était hors de question que quelqu'un pense à me piétiner. J'étais ''Belinda la star'' et tous le savait. Je n'avais pas besoin de rouler en grosse voiture pour imposer mon respect. Tous savaient déjà à quoi s'attendre en ce qui me concerne. Un peu plus loin de la boutique, je constatai le mécontentement de mon ami. Moi : akieuuu... C'est quoi Carine? Tu boudes? Carine : ma chérie tu as 18ans. Tu as encore le temps de changer et de devenir quelqu'un de meilleure. Si ton comportement continu dans cette lancé tu vas te retrouver dans les pièges de la vie. Tu penses même que quoi? Que tout le monde va te regarder sans rien faire comme la femme-là? Un jour quelqu'un va appuyer ton cou en route tu vas comprendre. Moi : que la personne appuie pour voir. Si c'est un homme je vais finir avec sa génération avant de suffoquer, on va voir qui va gagner. Carine : si tout se passe bien on va devenir des étudiantes. Tu vas arriver au campus avec ce comportement? Je souhaite vraiment que tu changes. Moi : excuse-moi pour ton eau. Je sais que tu avais soif mais on arrive même déjà à la maison. Une fois là-bas on va boire notre eau. Carine : je ne veux plus l'eau, je veux maintenant que le jus. Tu penses même que quoi? Moi : quitte-la, c'est l'insulte? Je t'ai dit que même 5franc je n'ai pas. On continua notre route en riant de tout et de rien jusqu'à ce qu'on se trouve face à un de nos professeurs du lycée. Un homme assez calme et amoureux de moi depuis le début de cette année. Je devais me concentrer pour mes examens alors j'avais limité mes relations au moins pour cette année en lui promettant de repenser à ses avances après le baccalauréat. Dans ma pauvre situation, le voir sur mon chemin était une bénédiction. Moi : Carine oooo, Carine... Ce n'est pas Monsieur Mbock là-bas? Carine : c'est lui nor, il y'a quoi? Moi : tu disais que tu veux le jus nor. Moi je veux le champagne. Allons le voir. Carine : maaasssaaa, tu ne manques pas d'occasion. Tu vas vraiment lui demander le jus? Moi : tu dors ta vie dors. Moi je suis bien éveillé. Carine : je dois déjà rentré m'occuper de ma fille et installer ma marchandise. Je dois vite commencer aujourd'hui. Carine et moi menions une vie vagabonde après notre BEPC. Seulement, pendant que préservais mon corps, je l'incitais à offrir le sien pour nous rapporter plus. Elle termina son tour avec un ventre ballonné qui donna naissance à une petite et belle fille. Depuis ce temps, elle m'avait laissé continuer la besogne toute seule. À vingt et quatre ans d’âge, elle se sentait dans le besoin de se stabiliser. Je l’avais trouvé en classe de sixième, elle y avait déjà fait bien des années. Ma compagnie avait augmenté son quotient intellectuel, bien que l’ayant apporté plus de problème qu’il n’en fallait. Malgré tout, elle me restait loyal. Moi : en tout cas je vais rentrer avec ta part. Il faut me faire confiance pour ça. Carine : Mama, tu coupes part le carrefour tu donnes d'abord ma part avant de rentrer. Moi : ne dis pas à maman que tu m'as vu ooo, je ne veux pas qu'elle me dérange. Dis-lui juste qu'après les cours je suis allé bucher et tu ne sais même pas où. Carine : je vais te couvrir mais je continu à te dire que ce n'est pas un choix. J'accepte juste ton choix en tant qu'amie. Moi : tu es une vraie amie. Pendant que Carine continuait la route pour le quartier, je réajustais ma mini-jupe et ressortais mes seins de mon bustier extravagant. Pour être plus séduisante, j'enlevai mon pull et l'enfouis dans le sac avant de me diriger vers mon professeur. J'étais une jeune fille de 18 ans mais je donnais l'aire d'être une femme accomplie. Une fois devant sa belle voiture blanche, je m’adossai dessus, attendant qu'il se rende compte de ma présence. Il était au téléphone, de dos par rapport à moi. Voyant qu'il ne terminait pas, je dus forcer une petite toux pour l'alerter. Il se retourna et son sourire détacha son beau visage. Cet homme était d’un charisme qui ne m’avait pas laissé indifférente depuis ses avances. La fraicheur qui ressortait de son habillement avait dû faire tomber plus d’une élève. Physiquement dans la trentaine, sa richesse avait toujours été un grand mystère pour tout le monde. Je comptais bien laisser de côté les superstitions pour avoir une part de ce luxe. « Vas-y Belinda, c’est ton jour de chance. S’il te le souhaite même, il va me prendre cette virginité qui va surement me faire gagner gros avec lui’’. Cette pensé animait le sourire que je lui jetais lorsqu’il me dévisageait. Albert Mbock était l’intégralité de son nom. Il était la star des professeurs. A suivre...

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