chapitre 9

961 Mots
Je ne sais plus quoi penser. Mon coeur se met à tout rompre que j'ai dû mal à respirer. Je le vois se mettre devant moi debout et de se rapprocher de moi alors que son souffle commence à me caresser ma peau. - Vous êtes remplis de ressource, Mademoiselle Wilson, et je sais très que vous essayez de vous convaincre de ne pas aller plus loin. Comment il sait ça ? Je suis si accessible que ça ? Je suis comme un livre où on peut lire comme un livre ouverte. Je continue à le regarder à le regarder droit dans les yeux. Bon sang ! Ça m'énerve ! C'est tellement énervant que j'ai envie de tapper ce qu'il y a autour de moi. Nos doigts s'entremêlent. Nous partageons un  semblables instant d'intimité intense. D'une main libre, il cale derrière mon oreille avec tendresse, avec beaucoup de tendresse, une mèche tout en frôlant mon visage; Mon coeur rate un battement; j'incline la tête vers sa main. Son regard s'adoucit, et il caresse ma lèvre inférieure de son pouce. Mon sang brûle mes veines. C'est la première fois que ça fait ce genre de chose. - Monsieur Genovese, qu'est-ce que vous faites ? Demande-t-il. - Je suis en train de vous regarder et d'essayer de me convaincre de vous embrasser. Il est en train de se convaincre de m'embrasser. Alors pourquoi il ne fait pas ? Embrasse moi, tout de suite ! Je ne suis pas assez bien pour lui ? Je ne suis pas assez riche pour lui ? Pas besoins d'argent pour être désiré, alors embrasse moi ! Il me regarde avec telle intensité que son regard s'assombrit. Des frissons parcourent mon corps. Mon corps tremblent d'impatience en entendant le moment ultime. Cependant il lâche ma main brusquement et s'éloigne de moi. - Mais je ne vais pas le faire, vous risquez de perdre votre emploi, dit-il en faisant le tour de mon bureaux. À notre prochaine rencontre. Je lâche un long soupire que je garde depuis le début. Je tourne légèrement vers lui et aperçois un petit sourire. Pendant une seconde, j'ai senti quelque chose de chaud envahir mon corps. Je tombe raide sur ma chaise et laisse tomber ma tête sur le dossier. Je mordille mes lèvres. J'avais raison depuis le début, il est en train de jouer avec mes nerfs, mes limites. Quelques heures plus tard en fin de journée, je sors du cabinet et retrouve Monsieur Genovese actuellement adosser à sa voiture. Je le détourne en essayant de me raisonner de ne pas aller vers lui. Je rentre dans ma voiture et commence à partir. Il m'obsède à telle point qu'il est gravé dans mon cerveau. Quand je suis dans la même pièce que lui, sa présence s'impose et fait place un tension que je n'arrive pas mettre nom dessus. Quand j'arrive chez moi, je me dirige directement vers la salle de bain après avoir pris mon pyjama qui est totalement basique. Je déboutonne ma chemise et me regarde grâce à miroir. - Je suis tellement pathétique... Désormais nue, je rentre dans la douche et fait couler l'eau extrêmement froide. Je lève mes bras légèrement. Même l'eau ne réussi pas à baisser la température de mon corps. Pourquoi il y a que lui qui fait augmenter la température et réveille une telle sensation de désir ? Je ne sais plus où j'en suis maintenant. Parfois j'ai l'impression que nous avons des points aux communs et que nous sommes proche, et il revient aussitôt poli et distant. Je n'y comprends rien. C'est extrêmement fou les situations que je me trouve. Je ne sais pas plus dans quelle catégorie je dois me mettre. Je sors de la douche et regard mon reflet. Peut-être que je ne suis pas assez attirante pour lui. Il peut avoir toute les femmes plus attirantes et avec beaucoup plus de forme. Alors pourquoi il ne lâchee pas prise, juste instant. Je me rends compte ce que je viens de dire. Cette phrase peut être interpréter dans un sens. Je confirme ce que j'ai dit tout à l'heure, je suis clairement pathétique. Je m'habille en vitesse et me dirige vers la cuisine pour me préparer un sandwich. Tiens quand j'y pense Mikasa n'est pas là ce qui est bizarre peut-être qu'elle est sorti. - Isabelle ! J'ai parler beaucoup trop tôt en dirait. Je continue à me préparer un sandwich sous les yeux de Mikasa et de Clyde. Ils veulent poser toute sorte de question et pour une fois je ne sais pas sur quoi. - Alors ça y est ? Demande Mikasa qui est tout est exciter comme une puce. - Je vais très bien et vous ? Dis-je tout en restant concentré sur mon sandwich. - Brève de bavardage ! On t'a vue sortir de ton travail, il t'a attendu avec sa voiture, dit Clyde avec un sourire malicieux. Vous sortez ensemble ? - Non, dis-je avec un ton sec qui a pour but de les faire taire. Vous avez passé une bonne journée ? - Ne change pas de sujet ! Ils sont épuisants à la longue. Ils sont pire que  des enfants en plein croissance. p****n ! J'ai envie de relancer la balle, mais il ne sont pas en couple. Merde ! Je range tout les ingrédients avant de revenir vers eux. - Il s'est rien passé. J'ai seulement tracé ma route. - Tu es tellement un cas désespérée, dit Clyde en lâchant un longuement d'agacement. Quand vas-tu sortir avec un mec pour enfin te caser. - Jamais ! Je vais très bien dans ma vie de célibataire et je veux reste comme ça pendant un long moment. - Mais voyons, je vais te donner un mec tu verra
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