chapitre 7

878 Mots
La seul chose que je remarque c'est son beau sourire malicieux que je peux connaitre entre mille. L'éclairage répand dans cette vaste pièce froide et glaciale, en lui donnant un léger coup rafraichissant et les rayons de soleil qui tapent sur nos peaux qui nous réchauffe en quelque minutes. La chaleur du soleil cesse d'aggraver la situation qui devient actuellement inexplicable. Monsieur Genovese est assis au bord du lit, ses deux mains sont positionnées de chaque côté de mes hanches, et quant à moi, je suis figé, cloué au lit face à lui. Comment je peux être aussi faible face un homme comme lui ? Il dégage quelque chose de puissant que je ne peux pas expliquer maintenant. Je sursaute sur place lorsqu'il touche mon menton. En baisant légèrement ma tête, mes yeux se redresse légèrement pour le regarder, je me rends compte que maintenant que j'agis comme une gamine qui n'a jamais un homme au paravant. - Je suis désolée, dis-je en le fixant droit dans les yeux. - Pourquoi êtes-vous désoler, mademoiselle Wilson ? - Je suis désolée de vous obligez de venir ici, alors je suis particulièrement responsable de mon accident. Maintenant je prends note de ne plus prendre la route aussi tard. J'entends Monsieur Genovese grogner comme si j'avais quelque chose de mal et de travers. Il enlève sa main de menton pour rejoindre celui qui libre. - Ce n'est pas de votre faute, ça peut arriver à d'autre femme comme vous. Par contre, c'était vraiment dangereux ce que vous savez fait de rentrer aussi tard. Quelque douleur au niveau de ma tête viennent à la surface. Pourquoi il se préoccupe autant de moi ? Je ne lui ai pas demandé de venir aussi souvent que ma mère le fait. En dirait, que je suis son enfant qui est en train de se faire grondée par son papa. C'est tellement humiliant. - Je sais... Je ne suis qu'une idiote qui essaye de faire ses preuves dans un monde totalement inconnu. Je le sens mal de nouveau. Il se tourne une nouvelle fois vers moi. Il me regarde avec la même intensité que la dernière fois. En remettant une mèche derrière mon oreille droit, j'ai senti quelque chose de chaleur qui commence à envahir mon corps. - Et... Comment va se passer maintenant ? Est ce qu'ils ont retrouver mes agresseurs ? Demandé-je en essayant de changer le sujet de la discussion. Il continue de me regarder. Je me sens toute chaude. Pourquoi il me regarde comme ça ? J'ai quelque chose sur mon visage ? Je le vois s'approcher de moi. Le cœur battant, je recule de quelque centimètre et soutiens toujours son regard. Nos souffles se mélangent. Il va vraiment m'embrasser ? le moment tant attendu est en fin arrivé ? - Vous allez m'embrasser ? Demandé-je sans me rend compte ce sur je viens de dire. - Si vous voulez, oui. - Est-ce que... vous aimeriez m'embrasser ? - Selon moi.. Oui, j'ai très envie de vous embrasser... - Alors... qu'est-ce que vous attendez ? - J'attends le bon moment et je pense... que c'est le bon moment. - Ah oui ? Je ferme les yeux en entendant que mes lèvres se posent sur les miennes, cependant je ne sens plus son souffle caresser ma peau. En ouvrant mes yeux, je l'aperçois qu'il est en train de dire des mots à peine audibles. - Monsieur Genovese, je... - Vos agresseurs ne vous feront plus de mal, dit-il avec une voix sombre. - Qu'est-ce que vous voulez dire par là ? - Vous devriez vous reposer. Vous reprenez votre poste demain, dit-il en se levant. - Comment vous le savez ? - Vous devriez vous reposer, hurle-t-il. Il me donne des ordres maintenant. Je m'allonge en soutenant son regard noir comme l'abysse. Il passe une mains dans ses cheveux qui sont bien coiffés avec une air autoritaire. En pensant de nouveau à mes questions, je remarque qu'il m'a donné que des affines parties de réponse. D'un geste tendre, Monsieur Genovese dépose ses lèvres sur mes cheveux pour déposer un b****r. J'ouvre grand les yeux sous le choque. C'était quoi ça ? Mon corps bouillonne d'une manière soudaine. Le lendemain, je parcours le dossier de Monsieur Genovese dans la voiture. Mais mon esprit est totalement chamboulé, mes yeux fermés en essayant de comprendre la situation. Mm... Je ne sais pas quoi penser, j'ouvre les yeux et essaye d'apprécier le soleil qui caresse ma peau. Je soupire d'agacement et d'énervement. Mes yeux tombent sur une photo de la femme qui a porté plainte. Bonanno, Colombo, Gambino et Lucchese... Pourquoi c'est Monsieur Genovese qui est poursuivi ? Je sursaute sur place lorsque quelqu'un tape à ma fenêtre. Merde ! J'avais oublier que je suis stationnée devant un garage. Je me remets en route et mes yeux rivés sur la route. Une fois arriver devant mon bureau, je reste planté comme si j'étais hypnotisé par quelque chose. Mon téléphone se met à sonner pour désigner que j'ai reçus un message, comme je dois aller directement au tribunal. Je reçois un nouveau message, mais cette fois d'un numéro inconnu. Vous devriez sortir de cette affaire, si vous voulez être emmené dans une histoire que vous ne contrôlerez pas.
Lecture gratuite pour les nouveaux utilisateurs
Scanner pour télécharger l’application
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Écrivain
  • chap_listCatalogue
  • likeAJOUTER