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FIN D'UNE VIE

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La vie est une longue suite de difficultés. Ce n'est pas parce que certains les évitent ou refusent d'y faire face que celles-ci disparaîtront. Tout le monde s'habitue aux souffrances, c'est dans la nature humaine. Elle s'appelle Asbath BOUFALE. Elle est algérienne. Issue d'une famille polygame, elle a dû se battre contre les membres de sa propre famille pour survivre. Innocente, la vie lui a fait payer les erreurs commises par son père. Chanceuse et dévouée à réussir, elle a échappée belle aux affres de la vie. Lisez << FIN D'UNE VIE >>.

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CHAPITRE 1 : Asbath BOUFALE agressée.
( Asbath BOUFALE ) J'interprétais une chanson de Zaho. Le titre du morceau est [ma meilleure]. C'était ma façon de me vider l'esprit. J'aime la musique. Mon rêve est d'entreprendre une grande carrière musicale. Hormis ma mère qui me soutient, le reste de ma famille me le déconseille. Mon père ne cesse de me répéter que la musique est proscrite en islam. Il a raison. Je le sais. Mais c'est l'unique moyen par lequel j'arrive à organiser mes pensées. Il était tard. Il sonnait 23h30 par là. J'étais allongée sur le lit de ma chambre. Maman n'était guère à la maison. Je suis l'unique enfant de maman et quant à mon père Ziyad BOUFALE ; il a épousé quatre femmes. Ma mère est la première de toutes ses épouses mais malheureusement elle est celle qui a accouchée en dernière position. Et oui. La vie est parfois ainsi. L'amour que mon père éprouvait envers ma mère a disparu. Le pire est qu'il a commencé à haïr ma mère depuis le jour où je suis né. En fait mon père était déçu que ma mère est mit au monde une fille. Lui ; il ne voulait que des héritiers. Selon lui, la femme ne sert à rien. Sa place est à la cuisine pour préparer à manger et au lit pour concevoir un enfant. Malgré que ses trois autres femmes lui ont donné rien que des garçons, il était quand-même déçu d'avoir une fille. Et d'ailleurs je suis sa seule fille. Il n'aimait pas me sentir. En effet,je n'avais pas sommeil. Maman était à l'hôpital. Sa soeur jumelle a eu un terrible accident de voiture. Elle est allée l'a soutenir. J'interprétais tranquillement ma chanson préférée lorsque mon père m'interpella. Je me lève de mon lit, je sors de ma chambre puis je me dirige au salon. Il était assis avec ses trois autres femmes. Une fois auprès de lui, il me demandait pourquoi la lumière de ma chambre était encore allumée jusqu'à l'heure là. Je lui répondais que je n'avais guère sommeil. J'étais encore en éveil. Il se mit à me hurler dessus jusqu'à ce que son téléphone portable sonne. Il décrocha. Après quelques minutes de conversation téléphonique intense, il raccrocha en disant : - C'est ta mère qui vient de m'appeler. Tu iras la rejoindre à l'hôpital. Tu lui diras que je n'ai pas d'argent à dépenser sur l'état de santé de sa soeur jumelle. Et qu'elle ne me rappelle plus pour me demander de l'argent à ce sujet. - Mais père ; il est presque minuit. Sortir de la maison à cette heure est un peu risqué. (Disais-je) - De qu'elle manière me parles-tu? Et avec quelle audace tu t'opposes à mon ordre ? (Ajoutait mon père) - Je t'ai toujours dit que cette fille est irrespectueuse (disait la deuxième femme de mon père) - Veillez m'excuser s'il vous plaît (répliquais-je) - Va rejoindre ta mère et en sortant n'oublie pas d'éteindre la lumière de ta chambre. Vous ne me payez pas les factures. (Ajoutait mon père). - D'accord père (disais-je) Je quitte ensuite le salon puis je me dirige vers ma chambre. Je m'habille puis je sors de la maison. Il se faisait très tard. J'avais peur. La zone dans laquelle nous vivons était obscure. Il n'y avait personne dans les parages en plus. N'ayant pas d'argent sur moi, je marchais. Mon père a eu l'audace de me laisser sortir de la maison à pareil moment sans argent. Parfois je me demande s'il est humain. Je marchais tout en chantant. Je fredonnais toujours ma musique préférée jusqu'à ce que j'aperçois au loin une voiture. Elle avait l'air d'une Mercedes Benz. Je continuais de marcher jusqu'à ce que la voiture arrive à mon niveau. A peine elle me dépassa et un groupe de jeunes hommes s'interposaient sur mon chemin. Je ne les connaissais pas. L'un d'eux m'a demandé de lui remettre mon portefeuille. Je lui ais fait comprendre que je n'avais rien sur moi. Il ne m'a pas cru. Ils se sont mit à me porter des coups. Moi seul contre eux, je ne pouvais pas tenir le poids. Ils m'ont ensuite transporté et m'ont amené dans une maison abandonnée. Là-bas, mon calvaire était pire. Ils m'ont déshabillé. J'étais toute nue. Ensuite on m'a attaché sur un lit et je fus v***é. Ils étaient plus d'une dizaine. Je fus v***é par un nombre important d'hommes. Après cet acte malsain de leur part, ils m'ont détaché et m'ont laissé dans cette maison abandonnée. Ils portaient des cagoules et donc je n'avais guère vu leur visage. J'étais dévasté. J'avais des courbatures. Je saignais puisque j'étais vierge avant qu'ils ne me v*****t. Inondé de larmes, mon visage n'était pas beau à voir. Durant toute la nuit, j'ai été v***é. Ce n'était qu'au lendemain matin que ce drame s'était arrêté. Je peinais à respirer. J'avais mal au plus profond de moi... (Ziyad BOUFALE ) Je venais de me réveiller. Je devais ensuite me préparer pour le travail. Aïchath, ma quatrième épouse m'a déjà préparé la douche et mon déjeuné. De toutes mes épouses, c'est elle j'adore le plus. L'amour en début d'une relation amoureuse est tellement romantique qu'on se croit dans un conte de fée. Aïchath m'adore et je l'aime à la folie. Il m'est parfois venu à l'esprit de me poser la question de savoir si je l'avais rencontré en première position, peut-être que je ne serais pas polygame aujourd'hui. Aïchath est tout simplement l'incarnation de la femme parfaite. Une fois sur pied, je me douche puis je passe à table prendre mon déjeuné. Je dégustais tendrement mon riz au gras accompagné de la viande de bœuf. J'adore manger un repas consistant les matins. Fatima ; la mère d'Asbath arriva. Elle venait de rentrer de l'hôpital où elle assistait sa soeur jumelle victime d'un terrible accident de voiture. - Bonjour DADA (disait-elle) En effet, {DADA} est un prénom par lequel mes épouses m'appellent. C'est interdit pour elles de prononcer mon prénom alors par respect pour ma personne elles disent DADA. Contrairement à elles, moi j'ai tous les droits. Je suis le chef de famille. - Oui Fatima bonjour. Comment va ta soeur jumelle ? (Répondis-je) - Hier soir je t'ai appelé et tu m'as raccroché au nez. Tu n'as même pas eu pitié de l'état de santé de ma sœur. Pourquoi fais-tu cela DADA ? (Demandait Fatima) - J'ai chargé une commission à ta fille Asbath. Et d'ailleurs où est-elle ? Ne t'a-t-elle rien dit? (Répondis-je) - Je n'ai pas vu Asbath hier. Elle n'est jamais arrivé à l'hôpital me charger une quelconque commission. (Répondit Fatima) - Est ce que toi même tu vois le genre de fille que tu as? Je t'ai toujours dit qu'Asbath est une erreur. Voilà la belle preuve. Elle a donc découché. Si elle n'est jamais arrivé à l'hôpital et qu'elle n'a pas passé la nuit à la maison alors elle a découché. Éduque bien ta fille. Maintenant laisse moi tranquille. Je veux finir ma nourriture en paix (ajoutais-je) Suite à mes mots, elle s'en alla. Je déteste répéter les mêmes choses. J'ai toujours dit à Fatima que j'internerai Asbath. Cette fille me fatigue. Voilà mon déjeuné achevé. Je me rends alors au service. Je m'apprêtais à quitter la maison lorsqu'elle arriva. Asbath venait de rentrer. Sa robe était tachée de sang et déchiré. Elle peinait à marcher. Aussitôt que nos yeux se croisaient elle s'écroula. Je n'avais pas le temps pour m'occuper d'elle. Bien que sa venue m'ait semblé bizarre j'ai dû interpeller sa mère afin qu'elle vienne voir l'état dans lequel se trouvait sa fille. Si je devais me prononcer ou agir, j'allais la frapper. Je n'avais pas ce temps à perdre... ( Fatima ) Je vis un calvaire. Je suis méprisé. Je n'ai aucune importance aux yeux de mon époux. Ziyad me traite d'insignifiante. Je n'ai pas le droit de me séparer de lui puisque je n'ai nulle part où aller. Mon père à promit de me rejeter de la famille si je quittais mon époux. Ma mère m'a supplié et m'a conseillé de rester auprès de lui peu importe les tempêtes que je traverserai. Je devais simplement rendre honneur à ma famille. Mon propre bonheur n'a point d'importance. J'étais plongé dans mes soucis jusqu'à ce que ma sœur jumelle eût un accident. Mon époux ne veut pas m'aider à la soigner. Et comme si cela ne suffisait pas Asbath a disparu. C'est bien la première fois qu'elle fait une bêtise pareille. J'ignore ce qui a bien pu se passer mais j'ai conscience que ma fille n'a rien fait de grave. Je l'espère en tout cas. Et je souhaite simplement que rien de mal ne lui arrive. Plongée dans mes pensées, Ziyad m'interpella. Il venait de m'avertir de la venue d'Asbath. Je sors de ma chambre pour la rencontrer puis je trouve ma fille dans un état critique. Elle était évanouie. Elle était dénudée à cause de sa robe déchiré et taché de sang. J'avais peur et affolé de l'état de ma fille. Inconsciente au sol elle ne réagissait pas. J'ai demandé de l'aide à mes coépouses. J'ignorais ce que ma fille avait. QUELQUES HEURES APRÈS Asbath a retrouvé ses esprits. Je me mis à lui poser des questions mais elle ne réagissait pas. Elle ne faisait que pleurer. Au bout d'un moment ma fille se mit à vomir du sang. A suivre..

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