bc

Une Romance inachevée

book_age16+
1.3K
SUIVRE
6.5K
LIRE
autres
sombre
drame
tragédie
Comédie
doux
humoristique
lourd
sérieux
spiritual
like
intro-logo
Blurb

Mously Aïdara.

- maman je vais voir papa....cria aboubacar.

- tu n'ira nulle part après les cours tu attend Tata et elle va venir te prendre sinon tu vas me sentir.

- je blaguais juste et tu te fâche.

- chip suis ta mère pas ton pote maintenant va rejoindre ta soeur et Tata elles sont déjà dehors.

- bonne journée maman.

- à toi aussi.

Après leur départ je me suis préparé pour le bureau. J'y allais à 09h comme tous les jours. Ma secrétaire m'accueillit avec une tasse de café et des journaux.

- bonjour madame.

- bonjour à toi.

- madame le grand patron vous demande... M'informa ma secrétaire.

- quoi ? Tôt le matin ?

- il est passé avant votre venue et m'a dit de vous dire de passer le voir dès votre arrivée.

- j'y vais. Je sens que ma journée ne va pas être bonne. Souhaite moi bonne chance.

Je me suis dirigé vers le bureau en me préparant de ce rencontre dès le matin.

- salut ton patron est là ?

- oui il vous attend.

J'ai poussé la porte en inspirant avant d'entrer.

- Bonjour mously.

- madame Aïdara je préfère.

- il fut un temps où tu étais Madame Bathily.

- tu as bien conjugué. Il fût un temps. Ce temps n'est plus.

- certes on a divorcé mais je reste toujours le père des enfants alors je te prierai d'arrêter d'emmener des amants chez toi sachant que les enfants sont là-bas.

- des amants ? Non mais tu te moque de qui là bianchi ? J'invite chez moi qui je veux ma vie ne te regarde pas alors mêle toi de tes oignons et oublie moi un peu. Ici on est au bureau si tu as des choses personnelles à me dire tu attend qu'on finisse notre travail.

- je te parle de mes enfants là c'est plus important que le travail.

- bien-sûr et on y croit tous. Passe une excellente journée.

Je suis sorti en claquant la porte qui fait sursauter sa secrétaire.

Travailler avec bianchi était vraiment trop dure. On travaillait ensemble depuis quelques mois. Son entreprise était au bord du gouffre il lui fallait des capitaux sa mère à proposer de racheter quelques parts et elle me les a donné. Ça n'a pas vraiment plu à bianchi. Il aurait voulu que sa mère lui choisisse et il n'a pas bien digéré.

Chaque jour je terminais à 16h. Pour pouvoir me reposer et faire mes cours de soirs à 18h chez moi. Je connaissais rien au gestion alors il me fallait apprendre pour mieux gérer.

Dès que je suis arrivée je me suis mise au lit. Je n'ai pas perdu l'habitude de faire une sieste.

Même pas une demi heure de sommeil les enfants me sautent dessus.

- laissez moi dormir s'il te plaît.

- papa a appelé il vient nous chercher.

- OK va ranger tes affaires ceux de ta soeur sont déjà prêtes.

J'ai fini par me lever pour de bon. J'ai donné son bain à hapsatou avant de vérifier leurs affaires puis de me préparer pour mon cours.

Mon prof est venu à 18h et on s'est installé dehors près de la piscine.

- alors tu as fait ton exercice mously ?

- oui oui.

J'ai tourné mon ordinateur vers lui et il s'est mis à lire mon travail.

- bien c'est bien. Qui t'as aidé ?

- weuh je vais me vexer d?

- je blague. Maintenant on commence le prochain chapitre. Tu apprends vite.

- j'ai un bon prof.

On était déjà à fond quand abou vint vers nous.

- maman papa est là.

- oui vas-y je te retrouve tout de suite.

- je reviens tout de suite Ablaye...dis-je à mon prof.

- prend ton temps.

Bianchi était dans le Salon entrain de discuter avec hapsatou.

- va prendre vos affaires Abou.

Bianchi s'est levé et s'est avancé vers moi.

- ton amant est là encore ? Dit-il en Souriant

- oui tu veux peut-être le saluer.

- je ne suis pas ton égale mously.

- ça on le sait déjà.

- fais attention.

- tu vois tes putes et moi j'ai pas le droit de voir mon petit ami ?

- contrôle tes paroles.

- sinon quoi ? Tu vas me frapper devant ta fille?

- assez sinon je vais perdre mon sang-froid.

- il n'a jamais été froid ton sang. Pff

Il s'est retourné vers sa fille et l'a pris dans ses bras.

- bientôt tu vas perdre les enfants.

- c'est ce qu'on va voir bianchi.

- vous vous disputez encore... Se plaignit Abou qui venait de redescendre.

- non non beau gosse viens.

Il s'est dirigé vers son père qui pris les deux sacoches.

- on y va maman. On va t'appeler avant d'aller au lit.

- d'accord chéri à dimanche.

Je me suis approché de bianchi pour pouvoir embrasser ma fille.

- profite bien de ton amant... Chuchota leur c*****d de père.

Je décide de ne pas répondre vu que c'était juste pour m'énerver.

Quand ils sont parti suis retourné à " mon amant" comme le prétendait bianchi. Il est trop jaloux pour voir les choses telles qu'elles le sont. Je n'ai rien à voir avec Ablaye sauf que c'est mon professeur et y'a rien d'autre entre nous. Je le laisse croire le contraire il peut croire ce qu'il veut je m'en fou.

Après son départ je suis resté seule à la maison. Bintou partait chaque week-end vu que les enfants partaient chez leur père.

Je me sentais toujours vide quand ils partaient les vendredis soirs pour revenir les dimanches soirs. Mais je devais me sentir chanceuse car il n'a pas obtenu la garde des enfants. C'est juste pour que les enfants ne grandissent pas sans père. Ils avaient besoin

d'un repère masculin dans leur vie c'est uniquement pour ça que je les laisse partir chez leur père le week-end.

J'ai regardé " into the badlands" toute la saison en une nuit c'est à dire 10 épisodes. Et quand le muezzin à fait l'appel pour la prière de l'aube j'étais toujours debout.

J'ai prié avant de me coucher. J'ai pas boulot donc y'a pas feu.

C'est la sonnerie de la porte qui m'a réveillé. Je me suis pas tout de suite levé car j'espérais que la personne qui était derrière la porte allait partir mais non. Au final je me suis levé.

Quand j'ai ouvert la porte je suis tombé sur Mariama.

- oh la dreing.

- qui est la dreing ici ?

- pffff entre.

- tu viens de te réveiller on dirait.

- les enfants ne sont pas là alors hier j'ai fait soirée cinéma jusqu'au petit matin et tu viens de me réveiller.

- il est 15h 39min Mously.

- non tu rigole.

- vas prendre un bain on sort.

- pour aller où ?

- surprise.

- fais comme chez toi madame la dreing.

- impolie.

Quand j'ai pris une douche je me suis totalement réveillé. Ne sachant pas où elle allait m'emmener je me suis habillé avec une jupe et chemise.

- waouw madame bathily vous êtes superbe.

- c'est aïdara ichh.

- j'ai le sentiment que vous allez retourner ensemble. Mously vous vous aimez c'est évident alors pour quoi ne pas vous expliquer et vous pardonner mutuellement.

- je n'ai rien à me faire pardonner.

- on en a toujours surtout quand on a la langue pendue comme toi.

- OK on va où ?

- arrête de fuir Mously on va en parler un jour ou l'autre.

- alors ce sera sûrement un autre jour. Mariama j'ai faim alors tu me dis où on va.

- on va déjeuner d'abord.

- moi je vais prendre le petit déjeuner et le déjeuner.

- gourmande.

- et fière.

- bon allons-y

- Je ferme les portes vas-y devant.

- OK.

J'ai fermé toutes les portes avant de la retrouver dans la voiture. On est directement allé au resto.

- tu me dis toujours pas où on va?

- nulle-part je voulais juste passer un peu de temps avec toi.

- et tu pouvais pas dire ça avant petite folle.

- et si on allait à ta boutique ? Un peu de shopping.

- on attend quoi ?

- nos commandes.

- j'ai failli oublier la nourriture. sacrilège.

- ha-ha Mously arrête tu es folle.

- c'est reconnu mondialement.

Après avoir mangé on est allé a la boutique. J'avais toujours la boutique Michelle. J'ai pris un gérant et woly l'a seconde.

Mariama s'est mise à tout essayer. Moi je n'avais plus de place pour mettre de nouveaux habits. C'est la nuit tombante qu'on est revenu à la maison.

- merci de m'avoir tenu compagnie.

- c'est toujours un plaisir de sortir avec toi.

- je voulais passer cet après-midi avec toi car je ne voulais pas penser à une chose.

- à quoi ?

- mon ex-mari est revenu.

- hé bien vas le reconquérir.

- il s'est remarié aujourd'hui.

- le c*****d.

- cela fait des années qu'on a divorcé. Je suis même étonné qu'il ait laissé passer tout ce temps.

- c'est un c*****d qu'en même. Tu l'aime toujours pourquoi tu ne lui a rien dit. Suis sûre qu'il t'aime toujours.

- on se faisait trop de mal ensemble.

- et maintenant tu vas mal.

- on va mal. Toi aussi tu vas pas bien.

- je vais bien.

- à d'autres. On va pas bien et moi au moins je l'admet. Admet au moins que tu n'es plus le même depuis le divorce.

- je ne peux pas être le même Mariama. Mais j'essaie d'aller bien pour mes enfants.

- et toi? Tu pense pas à toi ?

- si mais je pense d'abord à mes enfants. Désormais je ne suis pas seule.

- le bonheur de tes enfants c'est d'être avec leur père et leur mère pas de les voir séparément.

- c'est mieux ainsi.

- ça ne l'est pas et tu le sais

- n'en parlons plus s'il te plaît. Tu vas passer la nuit ici. Je ne veux pas que reste seule cette nuit.

chap-preview
Aperçu gratuit
Chapitre 1
Mously Aïdara. - maman je vais voir papa....cria aboubacar. - tu n'ira nulle part après les cours tu attend Tata et elle va venir te prendre sinon tu vas me sentir. - je blaguais juste et tu te fâche. - chip suis ta mère pas ton pote maintenant va rejoindre ta soeur et Tata elles sont déjà dehors. - bonne journée maman. - à toi aussi. Après leur départ je me suis préparé pour le bureau. J'y allais à 09h comme tous les jours. Ma secrétaire m'accueillit avec une tasse de café et des journaux. - bonjour madame. - bonjour à toi. - madame le grand patron vous demande... M'informa ma secrétaire. - quoi ? Tôt le matin ? - il est passé avant votre venue et m'a dit de vous dire de passer le voir dès votre arrivée. - j'y vais. Je sens que ma journée ne va pas être bonne. Souhaite moi bonne chance. Je me suis dirigé vers le bureau en me préparant de ce rencontre dès le matin. - salut ton patron est là ? - oui il vous attend. J'ai poussé la porte en inspirant avant d'entrer. - Bonjour mously. - madame Aïdara je préfère. - il fut un temps où tu étais Madame Bathily. - tu as bien conjugué. Il fût un temps. Ce temps n'est plus. - certes on a divorcé mais je reste toujours le père des enfants alors je te prierai d'arrêter d'emmener des amants chez toi sachant que les enfants sont là-bas. - des amants ? Non mais tu te moque de qui là bianchi ? J'invite chez moi qui je veux ma vie ne te regarde pas alors mêle toi de tes oignons et oublie moi un peu. Ici on est au bureau si tu as des choses personnelles à me dire tu attend qu'on finisse notre travail. - je te parle de mes enfants là c'est plus important que le travail. - bien-sûr et on y croit tous. Passe une excellente journée. Je suis sorti en claquant la porte qui fait sursauter sa secrétaire. Travailler avec bianchi était vraiment trop dure. On travaillait ensemble depuis quelques mois. Son entreprise était au bord du gouffre il lui fallait des capitaux sa mère à proposer de racheter quelques parts et elle me les a donné. Ça n'a pas vraiment plu à bianchi. Il aurait voulu que sa mère lui choisisse et il n'a pas bien digéré. Chaque jour je terminais à 16h. Pour pouvoir me reposer et faire mes cours de soirs à 18h chez moi. Je connaissais rien au gestion alors il me fallait apprendre pour mieux gérer. Dès que je suis arrivée je me suis mise au lit. Je n'ai pas perdu l'habitude de faire une sieste. Même pas une demi heure de sommeil les enfants me sautent dessus. - laissez moi dormir s'il te plaît. - papa a appelé il vient nous chercher. - OK va ranger tes affaires ceux de ta soeur sont déjà prêtes. J'ai fini par me lever pour de bon. J'ai donné son bain à hapsatou avant de vérifier leurs affaires puis de me préparer pour mon cours. Mon prof est venu à 18h et on s'est installé dehors près de la piscine. - alors tu as fait ton exercice mously ? - oui oui. J'ai tourné mon ordinateur vers lui et il s'est mis à lire mon travail. - bien c'est bien. Qui t'as aidé ? - weuh je vais me vexer d? - je blague. Maintenant on commence le prochain chapitre. Tu apprends vite. - j'ai un bon prof. On était déjà à fond quand abou vint vers nous. - maman papa est là. - oui vas-y je te retrouve tout de suite. - je reviens tout de suite Ablaye...dis-je à mon prof. - prend ton temps. Bianchi était dans le Salon entrain de discuter avec hapsatou. - va prendre vos affaires Abou. Bianchi s'est levé et s'est avancé vers moi. - ton amant est là encore ? Dit-il en Souriant - oui tu veux peut-être le saluer. - je ne suis pas ton égale mously. - ça on le sait déjà. - fais attention. - tu vois tes putes et moi j'ai pas le droit de voir mon petit ami ? - contrôle tes paroles. - sinon quoi ? Tu vas me frapper devant ta fille? - assez sinon je vais perdre mon sang-froid. - il n'a jamais été froid ton sang. Pff Il s'est retourné vers sa fille et l'a pris dans ses bras. - bientôt tu vas perdre les enfants. - c'est ce qu'on va voir bianchi. - vous vous disputez encore... Se plaignit Abou qui venait de redescendre. - non non beau gosse viens. Il s'est dirigé vers son père qui pris les deux sacoches. - on y va maman. On va t'appeler avant d'aller au lit. - d'accord chéri à dimanche. Je me suis approché de bianchi pour pouvoir embrasser ma fille. - profite bien de ton amant... Chuchota leur c*****d de père. Je décide de ne pas répondre vu que c'était juste pour m'énerver. Quand ils sont parti suis retourné à " mon amant" comme le prétendait bianchi. Il est trop jaloux pour voir les choses telles qu'elles le sont. Je n'ai rien à voir avec Ablaye sauf que c'est mon professeur et y'a rien d'autre entre nous. Je le laisse croire le contraire il peut croire ce qu'il veut je m'en fou. Après son départ je suis resté seule à la maison. Bintou partait chaque week-end vu que les enfants partaient chez leur père. Je me sentais toujours vide quand ils partaient les vendredis soirs pour revenir les dimanches soirs. Mais je devais me sentir chanceuse car il n'a pas obtenu la garde des enfants. C'est juste pour que les enfants ne grandissent pas sans père. Ils avaient besoin d'un repère masculin dans leur vie c'est uniquement pour ça que je les laisse partir chez leur père le week-end. J'ai regardé " into the badlands" toute la saison en une nuit c'est à dire 10 épisodes. Et quand le muezzin à fait l'appel pour la prière de l'aube j'étais toujours debout. J'ai prié avant de me coucher. J'ai pas boulot donc y'a pas feu. C'est la sonnerie de la porte qui m'a réveillé. Je me suis pas tout de suite levé car j'espérais que la personne qui était derrière la porte allait partir mais non. Au final je me suis levé. Quand j'ai ouvert la porte je suis tombé sur Mariama. - oh la dreing. - qui est la dreing ici ? - pffff entre. - tu viens de te réveiller on dirait. - les enfants ne sont pas là alors hier j'ai fait soirée cinéma jusqu'au petit matin et tu viens de me réveiller. - il est 15h 39min Mously. - non tu rigole. - vas prendre un bain on sort. - pour aller où ? - surprise. - fais comme chez toi madame la dreing. - impolie. Quand j'ai pris une douche je me suis totalement réveillé. Ne sachant pas où elle allait m'emmener je me suis habillé avec une jupe et chemise. - waouw madame bathily vous êtes superbe. - c'est aïdara ichh. - j'ai le sentiment que vous allez retourner ensemble. Mously vous vous aimez c'est évident alors pour quoi ne pas vous expliquer et vous pardonner mutuellement. - je n'ai rien à me faire pardonner. - on en a toujours surtout quand on a la langue pendue comme toi. - OK on va où ? - arrête de fuir Mously on va en parler un jour ou l'autre. - alors ce sera sûrement un autre jour. Mariama j'ai faim alors tu me dis où on va. - on va déjeuner d'abord. - moi je vais prendre le petit déjeuner et le déjeuner. - gourmande. - et fière. - bon allons-y - Je ferme les portes vas-y devant. - OK. J'ai fermé toutes les portes avant de la retrouver dans la voiture. On est directement allé au resto. - tu me dis toujours pas où on va? - nulle-part je voulais juste passer un peu de temps avec toi. - et tu pouvais pas dire ça avant petite folle. - et si on allait à ta boutique ? Un peu de shopping. - on attend quoi ? - nos commandes. - j'ai failli oublier la nourriture. sacrilège. - ha-ha Mously arrête tu es folle. - c'est reconnu mondialement. Après avoir mangé on est allé a la boutique. J'avais toujours la boutique Michelle. J'ai pris un gérant et woly l'a seconde. Mariama s'est mise à tout essayer. Moi je n'avais plus de place pour mettre de nouveaux habits. C'est la nuit tombante qu'on est revenu à la maison. - merci de m'avoir tenu compagnie. - c'est toujours un plaisir de sortir avec toi. - je voulais passer cet après-midi avec toi car je ne voulais pas penser à une chose. - à quoi ? - mon ex-mari est revenu. - hé bien vas le reconquérir. - il s'est remarié aujourd'hui. - le c*****d. - cela fait des années qu'on a divorcé. Je suis même étonné qu'il ait laissé passer tout ce temps. - c'est un c*****d qu'en même. Tu l'aime toujours pourquoi tu ne lui a rien dit. Suis sûre qu'il t'aime toujours. - on se faisait trop de mal ensemble. - et maintenant tu vas mal. - on va mal. Toi aussi tu vas pas bien. - je vais bien. - à d'autres. On va pas bien et moi au moins je l'admet. Admet au moins que tu n'es plus le même depuis le divorce. - je ne peux pas être le même Mariama. Mais j'essaie d'aller bien pour mes enfants. - et toi? Tu pense pas à toi ? - si mais je pense d'abord à mes enfants. Désormais je ne suis pas seule. - le bonheur de tes enfants c'est d'être avec leur père et leur mère pas de les voir séparément. - c'est mieux ainsi. - ça ne l'est pas et tu le sais - n'en parlons plus s'il te plaît. Tu vas passer la nuit ici. Je ne veux pas que reste seule cette nuit.

editor-pick
Dreame-Choix de l'éditeur

bc

Hell Hounds MC : Bienvenue à Serenity

read
2.1K
bc

LA VIERGE SOUS CONTRAT

read
3.1K
bc

La fausse amante de mon patron

read
4.1K
bc

La Mariée Indésirable d'Atticus Fawn

read
6.1K
bc

Mon mariage inattendu devient une vraie histoire d'amour

read
3.0K
bc

Le regret de mon ex mari millionnaire

read
7.5K
bc

Rentrer à la maison pour Noël

read
29.4K

Scanner pour télécharger l’application

download_iosApp Store
google icon
Google Play
Facebook