bc

MA BELLE FAMILLE

book_age12+
407
SUIVRE
1.1K
LIRE
famille
amour après le mariage
puissant
Tordu
brillant
génie
abus
trahison
discipline
sacrifice
like
intro-logo
Blurb

#Ma_Belle_Famille

#Prologue

Braver à l'école, trouver un travail digne de nos longues études, trouver un homme adéquat avec qui jouir de tout ce qui précède, avoir de beaux enfants qui courent et cassent tout dans la maison... C'est la finalité de la majorité des femmes. Seulement, une jeunesse vagabonde peut nous ruiner ce futur, ma jeunesse vagabonde à bien failli me détruire. Grace à Dieu, j'ai trouvé l'homme de ma vie, il m'a accepté, même s’il cachait derrière notre amour un secret assez lourd : lui aussi était comme moi. Malgré mon incapacité à lui donné un enfant, il m'a mise sous son toit et ceux depuis deux années déjà.

-je t'ai accepté comme ça. Il n'y a pas un jour où je t'ai reproché ça. Nous nous aimons et nous avons déjà une fille. Même si elle n'est pas fille biologique, je l'aime beaucoup.

Comment faire lorsque la belle famille n'adhère pas au choix de vie de leur fils? Comment vivre un mariage dans lequel ma belle-mère veut ma peau?

-c’est de la faute à qui ? Si tu ne vagabondais pas pendant toute ta jeunesse c’est que tu aurais peut-être du travail et plein d’autres enfants. Voilà que tu as donné ton corps ici et là, te voilà sans travail, sans enfant. Femme fainéante et stérile. Où c’est même quelle malchance que Serges a porté pour amener dans la famille comme ça ooo ?

Aujourd'hui on m'accuse d'avoir mis fin à ces jours. Je dois me battre non seulement pour me sortir de cette situation, mais aussi pour recoller tous les bouts de mon mariage. Nous, femme qui ne pouvons donner d'enfant à nos maris, avons droit au véritable bonheur comme toute autre femme.

chap-preview
Aperçu gratuit
Chapitre 1
Il est cinq heures du matin, il fait froid. J’ai envie de pleurer à nouveau mais je sais que je dois être forte. Mon cœur se sert, mes yeux gonfles, bientôt ils vont exploser. Mais que devient ma vie ? Est-ce le sort de tous ceux qui aiment trop leur homme ? Je ferme à nouveau les yeux en espérant qu’à mon réveil il soit l’heure de mon jugement. Seulement, cet endroit est tellement puant qu’il n’y a pas moyen de dormir. Il est tellement humide, non pas d’eau mais d’urine datant de je ne sais combien de mois et appartenant à je ne sais combien de personne. Je ne suis encore que dans une cellule mais ce soir ils m’amèneront en prison pour cet infâme crime que je n’ai pas commis. Quelques petites heures passent, cette grosse femme dont l’uniforme de police entre à peine sur elle arrive. Elle fait raisonner son bâton noir sur les grilles, ce bruit est insupportable. Ça me met plus en colère qu’il ne le faut. Je ne peux pas m’empêcher de lui dire quelques mots un peu choquants. Moi : au lieu de vous lever à une telle heure pour venir me casser les oreilles, vous devriez être en train de trottiner là dehors pour diminuer cet excédent de graisse. Ça devient seulement quoi ? Rassurez-vous, je n’ai rien contre son corps, je verse juste sur elle toute ma colère. Elle me regarde et souri. Elle sait très bien que dans quelques heures je n’aurai plus la langue aussi pendue. -quand on va dire condamné à vingt ans je vais voir si ta bouche va même encore s’ouvrir. Ton procès aura lieu dans deux heures de temps. Tu as dix minutes pour prendre une douche. Moi : deux heures c’est encore long. Vous me pressez pourquoi ? -ton mari va venir te rendre visite. Moi : Il vient s’assurer que je suis bien installé dans ma nouvelle maison ? Vraiment l’amour, si je connaissais sa vraie définition avant c’est que je suis en train de prendre une bonne douche pour aller au travail et non pour aller encaisser des peines en prison. -tu sais, tu as peut-être une bouche qui ne me plait pas beaucoup mais je sais que tu es innocente. Je ne sais pas pourquoi mais je ne vois pas en toi une criminelle. Moi : waouh ! Vous croyez donc en mon innocence ? Hé bien… Merci… Au moins vous -je trouve aussi que tu es une femme très forte. Depuis ton arrestation, je n’ai vu aucunes gouttes de tes larmes. Elle n’en a juste pas vu. J'ai tellement pleuré que mes larmes ont tari. J’ai pleuré pour ma pauvre petite fille qui, comme mon mari me crois capable de tuer. J’ai pleuré pour toutes les humiliations que j’ai subies. Tout ça pour finir dans cet endroit. Moi : merci de croire en moi, ça me redonne de la force. Excusez-moi pour… -on me fait très souvent ce genre de remarque, ne t’en faites pas. Maintenant, vas prendre une douche. J’allai enlever ces odeurs nauséabondes sur moi. Pendant que je me lavais, je sentis comme une autre présence dans la douche. Son parfum ne pouvait pas me tromper, son gabarit restait le même. Je me retournais, il était là. Il se donnait encore le droit de me voir toute nue, normalement je devais être en colère et équerré mais cœur désirait autre chose. Je le regardais, je voulais tant lui faire comprendre que je n'avais rien fait. En même temps je voulais lui cracher au visage. Moi : tu penses avoir encore le droit de me voir dans mon intimité ? Tu sors d’où et tu veux quoi ? Haaa, je sais… Ne t’inquiète même pas, ils m’ont mis dans un endroit qui sent bien même. Je dors sur le sol comme ta famille et toi l’avez exigé. Serges : je suis là pour que tu me dises la vérité, je veux savoir ce qui s’est réellement passé. Pourquoi est-ce que tu l’as tué ? Moi : si je comprends bien, tu as coupé ton ignoble sommeil pour venir m’accuser de quelque chose dont je suis compétemment innocente. Héé bien je vais dire, va au diable, toi et toute ta famille, allez au diable. Quand je vais sortir d’ici, j’irai prendre ma fille et on ira très loin de vous. Serges : Pourquoi tu te comportes comme ça avec moi? Je veux juste savoir si la femme que j'aime plus que tout est vraiment innocente. Il parlait en se rapprochant de moi, son souffle diminue sur mon cou diminuait ma sale bouche. Moi : Je ne l'ai pas tué, je ne suis une meurtrière et tu le sais. Tu sais que je suis incapable de faire une chose pareille... Toute nue devant lui, je me demande s’il me croit, s'il va me soutenir malgré que ce soit lui qui ait porté plainte contre moi. Moi : va-t’en Serges, je finirais mes jours en prison ou pas mais sache que toi tu finiras tes jours avec ta nouvelle femme. Serges : écoutes mon amour, une fois qu'ils t’auront libéré, les choses vont reprendre leur cour normal. Laisse-moi juste te reconquérir. Je me sens toujours aussi faible devant lui. J'ai beau l'avoir en horreur, c'est mon mari et je l'aime énormément. Je ne sais pas comment il a fait pour entrer dans cette douche, tout ce que je sais c'est qu'il a verrouillé la porte. Moi : qu'est-ce que tu fais Serges? Serges : je veux que tu saches que je te crois. J'ai porté plainte à cause de ce tas de chose qui t'inculpait, à cause de la pression que m'a mis la famille. En plus nous n'avons même pas eu le temps de parler avant que la police ne s'en aille avec toi. Tu sais que c’était ma mère et que sur le coup de la colère… Moi : tu n'as même pas cherché à m'écouter et... Arrête Serges... On est dans un commissariat. Serges : tu dois savoir que je vais te sortir de-là coute que coute. Moi : même si toutes les preuves sont contre moi? Serges : le simple fait que je sache que tu es innocente me suffit. Il est toujours aussi sauvage, ses caresses sont toujours aussi profondes. Il est vraiment prêt à me f***********r dans cet endroit. Je ne vais pas nier que moi aussi j'en ai besoin. Et on frappe à la porte... Moi : qui nous coupe le Nton comme ça ? Serges : hahaha… tout va bien se passer ma chérie, sois confiante. Moi : ne m'abandonne plus jamais mon chéri... Serges : ne pleure pas... Je serai avec toi même si je m'assois du côté opposé. Les choses vont très bien se passer. Il s'en va, j'ai du mal à le laisser partir. C'est fou comme l'amour peut être imprévisible. Il y'a quelques minutes, je pouvais même le frapper mais là, je suis prête à tout pour sortir de là et reprendre ma vie avec lui. On m’amène dans une salle où on me donne des vêtements propres et de quoi m’arranger les cheveux et le visage. Je suis particulièrement bien traiter sans en connaitre la véritable raison, peut-être est-ce grâce à mon mari ? Plus que trente minutes avant mon procès. Nous ne sommes qu’à deux pas du tribunal. Pendant qu’on y avance à petit pas, mon avocat m’intercepte en route. Il est plutôt très enthousiaste. Moi : on dirait que vous avez déjà gagné le procès, Maitre Ndjelou -je sais que nous allons gagner. C’est en ce moment que vous croirez avoir déjà perdu que je vais sortir une dernière carte. Vous n’avez tué personne et je vais le prouver. Moi : d’après ce que j’ai déjà entendu sur vous, il parait que vous n’avez jamais perdu aucun procès, mis à part ceux où votre client est vraiment coupable et que vous voulez rendre justice. -vous en savez des choses sur moi… Nous allons gagner ce procès coute que coute Moi : Votre femme Margarette se coiffe souvent dans la boutique où je travail. Elle sait faire du marketing pour vous. Vous avez donc quelles nouvelles preuves en ma faveur ? -vous être très impulsive ces derniers temps. Si je vous en parle, vous allez réellement commettre un meurtre. Je ne voudrai pas gâcher mon moment de gloire. Moi : il s’agit de mon procès Maitre, je vous paye non seulement pour me libérer mais aussi pour me faire part de tout ce qui… -chuttt… Gardez votre énergie pour ce procès. Je sens qu’il sera le meilleur de toute ma vie. Quel était donc ce mystère qui donnait tant de joie à mon avocat ? De toutes les façons, tout ce que je voulais, c’était ma liberté. Les portes du tribunal étaient pleines de monde. Personne ne voulait rater ce procès. "Une coiffeuse tue sa belle-mère". Ce titre était en première de couverture de tous les journaux de la ville. Même la radio en faisait des débats. A peine nous sommes arrivés qu’une tournée de journalistes arrive vers moi. Des questions par-ci et par-là. "Est-ce vrai que vous aviez déjà mis le poison dans le verre avant d’y renverser la boisson ?", "que gagniez-vous en abrégeant les jours de cette pauvre dame", "aviez-vous déjà tué avant ?", "que devient votre fille ?" Moi : allez tous vous faire voir, je ne répondrai à aucunes de vos questions Après les journalistes, c’est la population qui cour vers moi. D’aucun m’envoie des "werrr… on va prouver ton innocence" tandis que d’autres me maudissent des "meurtrière, tu vas périr là-bas" J’avance la tête haute jusqu’à ce que je pose mes yeux sur ma fille dans le tribunal. Elle a l’âge de comprendre ce qui se passe. Elle est là, près de Serges. Il lui chuchote des choses à l’oreille. Surement qu'il lui demande de croire en moi. Je ne peux pas supporter de ne voir ma fille qu'à distance. Je dois savoir si elle me condamne comme tout ce beau monde ou si elle croit en l’innocence de sa mère. Je crie haut et fort pour qu’elle m’entende. Moi : Anita... Elle quitte son siège et court vers moi. Je me détache de ces policiers qui malgré les menottes ne cessent de me sérer les bras. Mon bébé vient me donner ce câlin qui est toute ma force dans un moment pareil. Ma petite fille chérie ! Elle sait que sa maman ne serait pas capable de tuer une mouche. Anita : je sais que tu n’as rien fait maman. Je crois en toi et même si on te juge coupable, je ferai tout pour qu’on te sorte de là. Tu n’es et ne sera jamais une meurtrière. Je le dis à vous tous ici présent, Ma mère n’a tué personne. Cet enfant est ma copie conforme. Peut-être pas sur le physique mais sur le caractère. Elle sait sortir ses griffes comme sa mère. Moi : voilà mon bébé, dis-leur comme ça. Bon va t’asseoir. Anita : courage maman, quand c’est trop dur tu me regarde un peu. Je vais te redonner de la force. Moi : je t’aime fort ma chérie Anita : et moi encore plus maman On m’installe dans le box des accusés. Serges s’installent avec son avocat et sa sœur à l’autre bout de la salle. Les jurys sont déjà en place, le greffier à même déjà commencé son travail. Le procureur me jette un regard froid, je sens qu’il ne va pas me laisser de répits. Cinq autres minutes à attendre et le juge entre dans la salle. Une voix grave se fait entendre. -levons-nous pour accueillir le juge Fongang Ghislain Ce que fait tout le monde. Le juge baisse les mains et tous regagnes le siège sauf moi. Le juge : nous sommes face à une affaire colossale là ! Ce procès appose Madame innocente Tchamba né Innocente Kingue contre son époux Serges Tchamba. Monsieur accuse madame d’avoir assassiné sa mère en l’empoisonnant. Madame Tchamba, que plaidez-vous ? Coupable ou non coupable ? Moi : non coupable votre honneur. Je n’ai tué personne. Le juge : vous savez très bien que si vous avouez votre crime, vous aurez une remise de peine. Vous avez encore du temps pour changer d’avis Moi : je ne peux pas avouer un crime que je n’ai pas commis. Le juge : que commence l’interrogation des témoins alors Ils commencent par ma ménagère, ou puis-je dire ma coépouse. Elle est tout d’abord interrogé par l’avocat de Serges. Cette petite fille a tout pour être la meurtrière. Elle avait son but bien précis en venant dans ma maison. Avocat : alors, dites à la cour depuis combien de temps vous travaillez chez le couple Tchamba Sabine : ça doit faire deux mois déjà. Avocat : comment qualifiez-vous la relation de l’accuse avec la défunte ? Sabine : l’eau et le feu. Mamaaa, les deux-là se détestaient grave seulement. Injure par ci et bagarre par là. C’est toujours cette sorcière qui commençait (en me pointant du doigt). Assise dans ce maudit box je sentais mon sang se surchauffer. Si cette tchiza continu à parler de la sorte, ce tribunal va se transformer en champ de bataille. Avocat : pensez-vous que l’accusé aurait vraiment pu commettre ce crime ? Sabine : elle l’a tué jusqu’à tout le monde sais déjà. C’est une meurtrière. Avocat : j’en ai terminé avec mes questions Maitre Ndjelou prend la relève. Mr Ndjelou : dites-nous madame, quel est votre rôle dans la maison du couple Ndjelou ? Sabine : laver les assiettes, les habits, le sol… Mr Ndjelou : donc vous vous occupé de laver les verres aussi Sabine : oui, tout ça c’est mon travail Mr Ndjelou : qui a lavé les verres de la maison le jour du meurtre ? Sabine : en fait… Me Ndjelou : répondez à ma question, qui a lavé les verres le jour du meurtre ? Sabine : c’est la sœur de Serges. Elle m’a demandé de prendre ma mâtiné en me promettant qu’elle allait s’occuper de tout. Avec un sourire aux lèvres, Maitre Ndjelou termine son tour et on passe à une autre personne. C’est à mon tour d’être interrogé, pourquoi on a sauté tous les autres témoins ? Je n’en sais rien. Je prête serment et Maitre Ndjelou commence l’interrogatoire. Me Ndjelou : la cour aimerai connaitre dans quelle circonstance vous vous êtes marié avec Serges Tchamba, votre mari. Moi : déjà, vous tous ici présent devez savoir que je porte le nom de ce que je suis. Je suis innocente et eux autres sont coupables. Voici l'histoire... #A_suivre…

editor-pick
Dreame-Choix de l'éditeur

bc

La fausse amante de mon patron

read
4.2K
bc

LA VIERGE SOUS CONTRAT

read
3.2K
bc

ACHETÉE PAR LE MAFIOSO

read
8.2K
bc

Vengeance Bien Méritée

read
16.6K
bc

L'Oméga Rebelle

read
15.2K
bc

Mon mariage inattendu devient une vraie histoire d'amour

read
3.1K
bc

Le rejet de Sky

read
16.4K

Scanner pour télécharger l’application

download_iosApp Store
google icon
Google Play
Facebook