Désire's Capture

Chapitre 2

Quelques semaines plus tard

Les choses s'étaient empirées pour lui. Il était devenu alcoolique, et même un drogué. Il avait commencé à prendre de la d****e. Il ne sortait plus de chez lui et en voulait à tout le monde. Il était rempli de haine et de colère. Jalil passait ses journées enfermé, buvant beaucoup. Même les prostituées ne voulaient plus venir chez lui car il devenait très v*****t et dangereux. Jalil vivait seul, toujours avec beaucoup de rancune. Sa maison ne ressemblait plus à rien. Tout était en désordre, avec des bouteilles d'alcool et des cartons de livraison éparpillés partout.

Un matin, Jalil se réveilla sur son canapé, complètement défoncé. Il mit un moment avant de pouvoir reprendre ses esprits et se lever. Il lança un regard autour de lui et se rendit compte qu'il vivait dans la misère, que sa vie avait complètement pris une autre tournure.

Comme si cela n'était pas suffisant, les problèmes s'accumulaient et Jalil n'était pas loin du gouffre. Il était au bord du désespoir. C'est là qu'il prit conscience de la gravité de sa situation.

Ses ambitions référent surface. Jalil devait retrouver sa vie et, surtout, se venger. Il n'avait toujours pas oublié ceux qui étaient responsables de ses malheurs. C'étaient les mêmes qui l'avaient dénoncé lorsqu'il avait détourné de l'argent. Jalil se disait qu'il devait agir immédiatement.

Jalil s'était fait traiter comme un bouffon par ses anciens collègues au travail, qui se moquaient de lui une fois de plus. C'était la deuxième fois que cela arrivait, et Jalil ne supportait plus d'être traité ainsi. Il décida de reprendre ce qu'il avait toujours fait.

Il se leva, prit une douche, s'habilla, monta dans sa voiture et partit. Sur la route, il tomba en panne d'essence. Il décida de s'arrêter à une station-service pour faire le plein. C'est là qu'il se rendit compte qu'il n'avait plus d'argent. Il venait de dépenser le dernier billet qu'il avait.

Jalil comprit qu'il était ruiné et qu'il devait rapidement trouver de quoi payer ses prochaines factures. Il était furieux. Il n'arrivait pas à croire qu'il avait dépensé autant d'argent pour des futilités. Il s'en voulait, mais ce n'était sûrement pas le moment de se lamenter. Il devait trouver un moyen de réparer son erreur.

•••

De l'autre côté, une jeune femme venait d'arriver en ville.

Elle se prénommait Amalie Reyes, âgée de 27 ans, et était la promotrice d'un grand restaurant cinq étoiles. Amalie venait d'une famille riche et avait décidé d'ouvrir un restaurant en raison de sa passion pour la cuisine.

Depuis toute petite, elle aimait cuisiner avec sa mère, et cela avait toujours été son rêve. Aujourd'hui, elle avait réalisé son rêve et était devenue une grande cheffe cuisinière. Son restaurant est l'un des plus appréciés. Elle vit à La Nouvelle-Orléans, mais est actuellement en vacances dans le Michigan.

Amalie est venue passer des vacances avec son frère. Elle veut passer du temps avec lui, mais ce dernier travaillait beaucoup. Le père d'Amalie est un homme riche, mais il z insisté pour que ses enfants travaillent et deviennent indépendants.

Amalie était est jeune entrepreneuse ambitieuse et dynamique. Elle adore voyager et découvrir de nouvelles cultures.

Ce jour-là, c'était un mardi. Son frère devait aller au bureau, et Amalie avait prévu de sortir un peu, car depuis son arrivée, elle n'était sortie que rarement.

Après avoir déjeuné avec son frère, ce dernier se prépara pour aller au bureau.

— Je t'aurais bien accompagnée, mais je n'ai pas de permission, dit son frère.

— Ne t'en fais pas, on rattrapera ça ce week-end.

— D'accord, et tu es sûre que tu peux te débrouiller toute seule ?

— Bien sûr, je ne suis plus un bébé, répondit Amalie.

— Je sais, mais tu restes le bébé de la famille.

— J'avoue, répliqua-t-elle avec un sourire.

— Bon d'accord, j'y vais. Allez, prends bien soin de toi et fais attention.

— D'accord.

— Attends, tu as de l'argent sur toi ? lui demanda son frère.

— Oui, oui. Je n'ai pas encore dépensé tout ce que tu m'as donné hier.

— D'accord, mais si tu en as besoin, tu me dis, ok ?

— Évidemment, répondit-elle.

— Allez, à plus.

Ils se firent un câlin avant qu'Alexandre ne quitte l'appartement. Amalie se retrouvait seule pour l'instant, mais elle était contente d'avoir passé du temps avec son frère. Elle avait prévu de sortir pour découvrir la ville. Elle se rendit dans sa chambre pour s'habiller avant de partir. Elle prit un taxi pour se rendre dans un guichet automatique et retirer de l'argent. Elle n'avait pas assez de liquide sur elle, donc elle devait en retirer.

Elle ne voulait pas que son frère l'apprenne, car elle ne voulait pas qu'il dépense encore plus pour elle, surtout qu'il envisageait d'acheter une maison. Amalie aime beaucoup son frère et souhaitait qu'il puisse être heureux et indépendant.

•••

Jalil, de son côté, après avoir repris la route, arriva au centre commercial. Il gara la voiture et, comme à chaque fois, s'assit sur un banc près du distributeur de billets. Il regardait les gens aller et venir. La plupart étaient des femmes, et il essayait de deviner ce qu'elles étaient réellement.

Des heures passèrent et les gens allaient et venaient. Jalil observait chaque personne. Certains le trouvaient suspect et le fixaient avec incompréhension. Jalil, lui, restait serein car il avait un objectif à atteindre.

Il n'avait pas le temps de suivre son plan habituel, c'est-à-dire passer des jours à observer sa cible avant de passer à l'acte. Cette fois, il devait réagir immédiatement, car il avait urgemment besoin d'argent.

Soudainement, il repéra une jeune femme dans la vingtaine, qui semblait venir pour faire un retrait. Il se dit qu'elle était nouvelle en ville. Elle attira son attention. Elle n'avait pas l'air d'être comme les autres femmes qu'il avait l'habitude d'escroquer. Elle ne cessait de demander de l'aide aux passants. Jalil comprit alors que c'était une nouvelle arrivée en ville, et elle était la cible parfaite. Il n'avait pas seulement l'intention de lui voler un peu d'argent, mais de tout lui prendre.

La femme avait l'air innocente et gentille, le genre de personne facile à manipuler pour Jalil. Même s'il la trouvait très belle, une fille à papa avec un fort caractère, il était prêt à exécuter son plan. Il pensait pouvoir en tirer plus avec elle.

Elle était grande, avec une silhouette fine et féminine. Sa peau, d'un teint olive, lui donnait un aspect exotique. Elle avait une belle chevelure blonde et lisse qui tombait sur ses épaules, brillante et soyeuse. Elle portait une robe noire qui mettait en valeur sa silhouette.

Cette jeune femme était Amalie Reyes. Elle se tenait juste devant le guichet automatique, prête à faire un retrait. Elle ne savait pas trop comment s'y prendre, raison pour laquelle elle posait des questions aux passants.

Mais Amalie n'était pas naïve. Elle ressentait qu'on la fixait bizarrement. Elle ne comprenait pas pourquoi Jalil la regardait ainsi. Leur regard se croisait à plusieurs reprises, et cela l'inquiétait beaucoup.

Jalil, quant à lui, attendit que la rue soit déserte pour s'approcher subitement d'Amalie. Il se positionna derrière elle, l'immobilisant. Étonnée, Amalie lui demanda ce qu'il voulait.

— Qu'est-ce que vous voulez ?

— Tu n'as pas intérêt à crier ! dit-il en pointant un couteau sur son ventre.

— Ne me faites pas de mal, je vous en prie, répondit Amalie, très paniquée.

— Tu vas faire exactement ce que je te dis, ordonna Jalil, déterminé.

Il la força à insérer sa carte bancaire, taper son code et lui ordonna de choisir le montant qu'il voulait. À cet instant, Amalie le poussa et cria à l'aide.

— À L'AIDE ! IL VEUT M'ESCROQUER !!

Au même moment, elle reçut un coup sur la tête de la part de Jalil et s'évanouit sur le coup. Plusieurs personnes assistèrent à la scène et certains étaient même prêts à appeler la police. Jalil, dans un état de panique, ne savait pas comment réagir.

C'était la première fois que cela lui arrivait. Il décida alors de prendre Amalie, toujours inconsciente, ainsi que ses affaires, et de l'installer dans sa voiture. Il démarra et rentra chez lui. Les témoins regardaient la scène, incrédules. Jalil portait un chapeau et des lunettes pour ne pas être reconnu.

À suivre...