Chapitre 2.

2703 Words
************* Dolce *********** Papa m'a conduit dans un salon privé et une domestique m'a apporté des rafraîchissements. Roberto Montenero : Alors comment va ta mère Dolce : Si tu voulais le savoir, tu aurais dû l'appeler ou aller la voir J'ai senti sa gêne, mais il devait entendre la vérité et c'est la vérité que j’ai faite sortie, même s’ils ne sont plus ensemble, quelque chose leur lie, moi ! Et même si je n'étais pas en vie, ils ont vécu leur vie ensemble, pourquoi faire comme s’il ne s'intéresse pas à savoir si elle est en bonne santé ou, si tout va bien Même un appel de deux ou cinq minutes est suffisant, ce n'est pas comme si on les demandait de revenir ensemble ou si on leur demandait d'aller b****r et faire de nouveau frère pour moi ou même se remettre ensemble. Je soupire agacé, je déteste tout ça, je suis gentille certes, mais certaines choses m'énervent au plus haut point comme cette situation. Dolce : Alors dis-moi comment tu vas toi ! Roberto Montenero : Je vais bien ma puce. Roberto Montenero : Tu es devenu encore plus belle que la dernière fois. Je rougis de gêne. Roberto Montenero : Je ferais mieux de te protéger des imbéciles profiteurs. Dolce : Je suis grande, papa. Roberto Montenero : Tu es et tu resteras la fille de Roberto Montenero, ce qui signifie ta protection. Dolce : Je ne suis pas... Avant que je ne lui dise le fond de ma pensée, il lève la main pour me stopper. Roberto Montenero : C’est pour ton bien si je te protège surtout durant ton séjour ici ! Roberto Montenero : Je ne veux pas de familiarité avec mes gardes ou les servantes et autres personnes Dolce : Comme toujours, tu ne fais que m'accueillir avec les satanées règles de ta maison Dolce : J'aurais dû rester en Floride Il soupire bruyamment en me fixant Roberto Montenero : Domestique, montrez-lui sa chambre Dolce : C'est bon, je connais le chemin ou là encore, il y a une règle ? Son visage s’adoucit et il ricane voyant ma mine serrée, en plus ça l'amuse Dolce : Papa, ce n'est pas drôle, je suis en colère ! Roberto Montenero : Tu es tellement mignonne même ainsi Je grogne en montrant mes griffes et il commence à rire aux éclats Roberto Montenero : Tu es tellement mignonne Dolce : Je te montre que je suis dangereuse et toi, tu me trouves mignonne ? Roberto Montenero : Tu as vu ton visage ? Je roule les yeux Dolce : Je ne suis pas si mignonne alors arrête de dire que je le suis Je lui tire la langue avant de me diriger dans les escaliers. J'ouvre la porte de ma chambre et je souris, elle est comme toujours, rien n’a changé Je souris lorsque je vois le bouquet de fleurs sur mon lit, papa est tellement mignon Je me précipite et je me laisse tomber gaillardement sur le lit avant de soupirer bruyamment Bon, je dois aller me laver et me reposer, le voyage a été long ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ *********** Pablo ************ Nous sommes tous installés dans la voiture, Matéo prend le volant Nous sommes tous calmes, chacun encaisse du mieux qu’il peut son deuil et pour cela, nous avons besoins de tranquillité Le chemin ma maison à celui de Montenero a à peu près une grande distance Ça ne fait qu’attiser encore plus la flamme en moi pour lui démonter le visage Lorsque nous arrivons enfin, je descends de la voiture avec fracas et je cours comme un fou pour pénétrer dans sa maison Je n'ai pas besoin de le chercher longtemps, car il vient à moi, ses gardes ont dû le prévenir de mon arrivée Roberto Montenero : Pablo ! Comme un félin, je saute sur lui et je lui donne un coup de poing en chemin Je le balance violemment, son corps percute un pilier en pierre qui se situe dans son hall, Roberto s'écroule au sol Il lève la main en signe de capitulation, mais rien n’y faire, j’ignore sa demande et je lui donne un coup de pied dans le ventre Il se tord de douleur en grognant Je le lève par le col pour qu'il me fasse face Pablo : Espèce de sale ordure ! Je lui donne encore un coup de poing v*****t et je commence à enchaîner les coups de poing en rafales, il recule par la force de ma violence Montenero lève encore la main, cet abruti pense que je vais l’épargner après ce qu’il a fait, jamais ! Roberto Montenero : Je t'en supplie, écoute-moi, j'avais une bonne raison Pablo : QUELLE RAISON TU AVAIS POUR ME TRAHIR MONTENERO ! Je m'approche vers lui, mais il recule Pablo : Carlos attrape le et maintient le bien Carlos : Oui boss Roberto Montenero : Tu sais que les Montenero ont prêté allégeance à la famille Cortès ! Pablo : C'est ça ton allégeance ? (Grogné je, encore plus énerver par les pacotilles qu’il fait sortir de sa bouche) Roberto Montenero : Écoute-moi Pablo Roberto Montenero : Por favor Roberto Montenero : S'il te plaît Je respire bruyamment et je le regarde avec rage Pablo : Tu as une minute pour m'expliquer Roberto Montenero : Je....je....je t'ai épargné tu sais ? Roberto Montenero : Ils ne sont pas de la police italienne, ce sont ces gars du FBI, ils ont réussi à me tracer et a remonté jusqu’à moi après la mission que j'avais faite pour toi à Los Angeles. Ils avaient des éléments contre moi, une grosse pression contre moi si je ne te dénonçais pas. Mais je ne pouvais pas te vendre ! Roberto Montenero : Alors, j'ai amené Veronica vers toi, je savais que tu n'aurais pas résisté à une fille comme elle, je savais que tu serais resté avec elle au lieu de partir à la descente Roberto Montenero : Alors lorsque Veronica m'a confirmé que tu seras avec elle, j'étais rassurée et j'ai balancé l'adresse Je le regarde avec le regard un peu relâcher contrairement à avant Roberto Montenero : Je savais que tu allais amener des gars à toi et c'était mieux pour qu'ils sachent que j'ai tenu ma promesse, après cela, j'ai amené le fils de la famille Los partes pour assassiner les gars qui avaient les informations sur moi, c'était mon affaire et c'était à moi de le régler et je l'ai fait ! Roberto Montenero : Je ne t'aurais jamais trahi Sting : Ça aussi, ça s'appelle une trahison Roberto Montenero : Non, j'ai protégé Pablo, j'ai respecté mes engagements de loyauté Pablo : ET TU AS TUÉ ARTHURO PARCE QUE TU ÉTAIS TROP CON À GARDER CETTE INFORMATION POUR TOI Il me regarde les yeux grands ouverts et il déglutit Roberto Montenero : Ar...Arthuro est...est mort ? Pablo : TU ES SOURD OU QUOI ? Pablo : CES IMBÉCILES LEUR ONT TENUS UNE EMBUSCADE Matéo : ET CE P(U)TAIN D'ARTHURO A VOULU JOUER LES HÉROS ! IL EST ALLÉ SEUL SE BATTRE CONTRE UNE ARMÉE, IL A ÉTÉ CRIBLÉ DE BALLES BORDEL, TOUT ÇA POUR SAUVER NOS CULS, IL A LANCÉ DES BOMBES DE COULEUR POUR NOUS AIDER À FUIR POUR QU’ON SE RÉFUGIE ET PRÉPARER UN PLAN POUR SE BATTRE Carlos : IL A DONNÉ SA VIE POUR QU'ON AIT DU TEMPS POUR PRÉPARER NOTRE ASSAUT, IL EST RESTÉ AVEC DES MITRAILLETTES POUR SE DÉFENDRE SEUL CONTRE DES CENTAINES DE PUTAINS DE POULET Ils ne m'avaient pas expliqué cela, maintenant que j'entends, je comprends que c'est tout Arthuro le p(u)tain d'héro qui se lance toujours tête baissée. Plusieurs fois, il avait fait ça, mais aujourd'hui ça a eu raison de lui Plusieurs fois, il s’est mis comme appât pour titiller les autres avant notre arrivée, il avait des tendances suicidaires, mais c'était notre phénix jusqu'à aujourd'hui, notre phénix n'est pas revenu de ses cendres comme il avait l'habitude de faire, aujourd'hui c'est terminé, nous avons perdu notre phénix Sting : On ne voulait pas le laisser seul, on a voulu se battre avec lui, mais on connait Arthuro pour savoir que c'était peine perdue quand il veut nous protéger, on savait tous que si nous étions restées, on aurait tous y passer. Il avait des putains d'armes de pointe, des drones, des mines ! Sting : On ne savait pas qu'il y avait des putains de service secret avec des armes de pointe, on pensait que c'étaient les hommes de la famille des Kibouti, qui veulent retrouver leur lien avec les Cortès en utilisant la force et on pensait les surprendre, mais lorsque tu nous as balancé ce sont eux qui nous ont surpris. Je soupire bruyamment. Les Kibouti ont été bannis de notre cercle familial en 1945, oui à la fin de la seconde guerre mondiale, ils sont allés s'installer au Mexique, mais depuis que la famille s'est agrandie et que j'ai conquis un territoire du Mexique, le chef familial des Kibouti me supplie de les reprendre, il m’a promis de me donner 25 % du territoire qu'ils détiennent au Mexique, ils veulent tout nous léguer pour que j'aie 75% du territoire, mais les Kibouti ne sont pas des Italiens, si nous nous associons avec eux, ça va créer une grande guerre. Si un des Cortès se marie avec une Kibouti, le fils qui naîtra devra accorder le même titre au Kibouti et aux Cortès, les Kibouti ne prête pas allégeance alors des indigènes dans notre famille apportera la division et des conflits internes courants. Et si ça arrive, il y aura maintenant deux générations, deux familles qui pourront monter au trône de chef de toutes les grandes familles Je connais leur ruse, je ne suis pas bête, je leur ai expliqué clairement ma logique et le chef a été vexé, et comme je m'étais attendu, après les avoir mis sur écoute, il avait cette intention de venir montrer leur supériorité en s'attaquant aux familles et en envahissant mon territoire avec des mercenaires Alors, on les attendait de pied ferme pour les exterminer, mais je ne savais pas qu'ils allaient aller jusqu'à faire impliquer les services secrets dans cette bagarre J’ai sous-estimé ces cons, et si les services secrets ont accepté de s’allier avec ces imbéciles, c'est après que j'ai amené Montenero à Los Angeles pour des affaires qui se sont terminées par la mort d'un sénateur. Ce sénateur me cassait le cul p****n alors oui, j'ai donné l'ordre de le buter. La famille des Montenero se sont bien occupé comme toujours même si le meurtre n'est pas leur domaine de prédilection. Ils sont spécialisés dans le kidnapping des jeunes filles pour trafic d’humain et de sexe et il recrute certaines filles qui veulent bien être des putes, ils font du trafic d'organes alors, je comprends que ce n'était pas son domaine, mais ces gars sont super entraîner et en plus, il y allait pour recruter et vendre des organes alors oui, j'ai demandé qu'il le bute et qu'il en fasse une œuvre d'art pour que ce soit un avertissement pour le prochain sénateur de la ville qui essaiera de se mêler de mes affaires dans cette p****n de ville. Alors, je comprends que les services secrets ont voulu me mettre la main dessus, ce qui me fait rire c'est que Montenero ne m'a pas tenu informé, alors ces p****n de connard se sont camouflé dans le paysage en se faisant passer pour des Kibouti, c'est la seule raison, parce que oui, j'ai demandé à mes hommes de faire comme si nous étions des ignorants et qu'on ne savait pas que ces satanés Kibouti allaient attaquer Ça a marché à un détail près. Les Kibouti ont fait entrer des poulets dans mon territoire, ensuite Montenero m'a caché qu'on l'avait découvert et menacé et ensuite, c'est nous qui avons eu chaud au cul Roberto Montenero : Je suis désolé Pablo je.. Il baisse la tête, honteux de la nouvelle Roberto Montenero : Arthuro est ton bras droit, un gars qui est indispensable à la grande famiglia Pablo : OUI IL ÉTAIT INDISPENSABLE JUSQU'À CE QUE TU TE COMPORTES COMME UN CON Je m'approche de lui Roberto Montenero : Pitié Pablo je... Pablo : J'ai besoin d'un échange équivalent Pablo : Même si tes intentions ont été pures et sincères, mon homme de main est mort, mon meilleur ami et tu es le principal responsable Pablo : Tu me dois une dette pour te faire pardonner et j'ai besoin d'un échange équivalent Roberto Montenero : Pablo je t'en supplie, je... Pablo : Tu n'es pas spécialisé dans ce genre de chose, tu aurais dû m’en informer et ensemble, on aurait fait quelque chose, mais non ! Tu as été le bras droit de mon père et je t'en remercie, tu as été gentil avec moi, mais j'ai perdu un ami et toi comme moi savons que mes bras droits comptent énormément pour moi Roberto Montenero : Je...je sais Pablo : Tu as essayé de me protéger comme tu peux, mais ce n'était pas à toi de régler ce problème sans me ternir, informer Roberto Montenero : Je ....c'était plus fort que moi, ils m'ont menacé, ils me tenaient par les couilles, comprends-moi Pablo : Si tu le dis, je te crois, il faudrait beaucoup pour te menacer au point de faire une bêtise du genre derrière mon dos Pablo : Mais ça ne changera en rien sur mon échange équivalent, tu m'as pris mon bras droit alors, je vais te prendre ton fils Enzo Je le vois ouvrir les yeux en grand Roberto Montenero : Non..s'il te plaît, il..il doit me succéder, tu le sais Pablo : Commence à faire un autre, de toute façon, tu as encore du temps, n'est-ce pas ? Roberto Montenero : S'il te plaît Pablo Pablo : Enzo ne sera plus ton successeur parce que ce droit lui sera arraché, cependant, son fils le pourra s’il en fait un avec une Italienne qui aura des épaules solides pour être une bonne femme et une bonne mère Pablo : Ton petit-fils ou ton fils qui va bientôt naître, si tu commences à rependre ta semence dans une femme, tu pourras l'éduquer comme tu l'as fait pour Enzo Roberto Montenero : Pablo Pablo : Je ne vais pas le tuer, n'est-ce pas suffisant ? Pablo : N'est-ce pas à cause de lui que ces enfoirés ont réussi à te tenir par les couilles ? Il me regarde pendant un moment avant de cligner des yeux, je l'ai fixé et il baisse la tête Roberto Montenero : Si P(u)tain ce vieux me cache quelque chose, je le sens Pablo : Dis-moi ce qu'ils t'ont dit ? Je veux les détails Roberto Montenero : Je... Je m'approche et il recule Pablo : Alors ? Roberto Montenero : Un truc du genre qu'ils le tueront Pablo : Menteur ! Roberto Montenero : Si..je.. Pablo : Dis-moi ce qu'ils t'ont dit tout de suite Pablo : Carlos, je t'avais demandé de le maintenir bordel ! Carlos se précipite pour le maintenir Pablo : Je veux savoir pour que ça n'arrive plus Roberto Montenero : Ça n'arrivera plus Pablo : Comment tu peux être sûr ? Je m'approche et je le regarde dans les yeux Pablo : Explique-moi textuellement du début à la fin Je commence à perdre patience et je lui donne un coup de poing dans son ventre Pablo : QUE ME CACHES-TU BORDEL ? Pablo : TU AS ENCORE L'INTENTION DE ME TRAHIR ? Je lui donne encore un coup, je n'arrive plus à maîtriser mes coups, alors je ne me gêne pas à les faire pleuvoir Pablo : QUE ME CACHES TU DIS MOI Pablo : PARLE ! Il se tait et ça m'énerve encore plus Pablo : JE VAIS TE TUER SI TU NE PARLES PAS ET JE VAIS OUBLIÉ CE QUE TU AS ÉTÉ POUR MON PÈRE Matéo : MONTENERO TU VAS CRACHER LE MORCEAU OU C'EST MOI QUI TE TUERAI ! Pablo : JE VAIS TE FAIRE PARLER MÊME SI JE DOIS FAIRE SORTIR TES TRIPES !
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