************* Dolce ************
Je sors de la salle de bain et pendant que je m’essuie pour me diriger à ma valise, j'entends des voix et des cris
P(u)tain c'est quoi ce vacarme
Et ce n'est pas la voix de papa
Je devrais voir ce qui se passe
Je me précipite vers ma valise prendre des vêtements
Je les enfile, je passe précipitamment la serviette pour essorer mes cheveux, j’enfile rapidement des babouches
Je me précipite dans les escaliers, les cris deviennent de plus en plus fort lorsque j’avance
Les gouttes d'eau dégoulinent de mes cheveux qui n'ont pas été bien essorées
??? : QUE ME CACHES TU PARLE !
??? : JE VAIS TE TUER SI TU NE PARLES PAS ET JE VAIS OUBLIÉ CE QUE TU AS ÉTÉ POUR MON PÈRE
P(u)tain, on parle de tuer quelqu'un !
C'est quoi tout ce cirque ?
????? : MONTENERO TU VAS CRACHER LE MORCEAU OU C'EST MOI QUI TE TUERAI !
Montenero ? Comme.....comme mon nom de Famille ?
Mon cœur se met à battre à cent à l'heure dans ma poitrine, je cours encore plus vite, échappant même de tomber
Papa va se faire tuer ? Pour quelle raison ?
Lorsque j'arrive à la fin des marches des escaliers, je vois un homme grand, imposant et musclé près de mon père, p(u)tain, il est vachement beau.
Mon cœur se met à battre encore plus vite et je me surprends à rougir et à sourire bêtement à la vue du bel apollon, je n'avais jamais ressenti ça avant, mon cœur se retrouve dans un état second en regardant ce beau prince. Il y a trois hommes aussi bien musclés, mais cet apollon dégage quelque chose qui me perturbe
Pablo : JE VAIS TE FAIRE PARLER MÊME SI JE DOIS FAIRE SORTIR TES TRIPES
Je sursaute à sa menace
Je respire bruyamment lorsque l'homme envoie un coup de poing dans le ventre de papa, paniqué et apeuré, je cours en criant
Dolce : Papa !
Comme une marathonienne aux jeux olympique, je me précipite vers mon père
Dolce : Papa, parle, dits ce qu'ils veulent entendre, ils sont dangereux et tu as un problème d'estomac, si ça continues-tu...snif.....snif snif.....snif p****n dans quoi tu t'es fourré ?
Roberto Montenero : P(u)tain qui est cette fille et...et pourquoi tu m'appelles papa ? On ne se connaît pas jeune fille !
Dolce : Papa ??
Dolce : Tu es sûr que tu vas bien ?
Je m'approche très près, je passe devant l'homme, je me faufile au milieu d'eux et mon cœur accélère le rythme
Dolce : Excusez-moi ! (Proféré je, en glissant légèrement mon corps au sien au point de sentir son souffle dans mes cheveux mouillés, cela crée immédiatement une vague de chaleur en moi au point de mouillé de sitôt ma culotte)
P(u)tain Dolce tu es malade ou quoi, cet homme est une menace et il est en train de menacer ton père de mort alors contrôle-toi !
Mais p(u)tain, je n'avais jamais ressenti ce que je ressens en ce moment pour un homme, je n'ai jamais autant désiré autant un homme jusqu'à ce que ce beau ténébreux fasse son apparition
Dans les secondes d'après, il me tire et me tourne vers lui, sa main puissante saisie mon avant-bras et il me fixe du regard
Pablo : Qui es-tu ?
Mon cœur fait un énorme bond dans ma poitrine, il n'a pas l'air gentil, il est vraiment terrifiant, sa voix est imposante et terrifiante, son regard est rempli de colère et de rage destructrice
Dolce : Ne...ne faites pas du mal à mon père s’il vous plait, je...
Roberto Montenero : LA FERME ET ARRÊTEZ DE DIRE DES BÊTISES JEUNE FILLE ! JE NE SUIS PAS VOTRE PÈRE
Roberto Montenero : C'EST UNE FILLE QUE J'AI RENVERSÉE AVEC MA VOITURE ELLE A PERDU SES SOUVENIRS ET ELLE PENSE QUE JE SUIS SON PÈRE ET...
Dolce : Papa comment tu....tu...
Roberto Montenero : La ferme (Grogne-t-il sèchement)
Mon cœur fait un bon dans ma poitrine et j'avale ma salive difficilement, mes larmes coulent à flot sur mes joues sans pouvoir les contrôler
L’homme me scrute de la tête au pied, il touche mes cheveux mouillés et d'un coup de poigne forte, il m'agrippe les cheveux au point de me faire pousser des cris
Dolce : Haaaaaaaaaaa
Roberto Montenero : Pablo s'il te plaît, lâche-la, elle n'a rien à avoir avec tout ça !
Roberto Montenero : Ce n'est même pas une Montenero
Dolce : Haaaaaaaaaaaaa
Sa prise devient encore plus forte quand mon père s’adresse à lui, mes larmes coulent à flot, j'essaie de m'attraper les cheveux pour atténuer la douleur, mais sa prise est trop forte
Dolce : S'il vous plaît vous...vous me faites mal
Il bascule ma tête d'avant en arrière, je commence à avoir un terrible mal de crâne
J’ai l'impression que mes cheveux vont s'arracher de mon crâne, si ce n'est pas déjà fait
Roberto Montenero : Pablo je t'en supplie lâche cette fille
Pablo : Échange équivalent fait, je la prends comme la dette que tu me dois, maintenant, nous sommes quittes
Roberto Montenero : NOONNNNNNNNN
Dolce : Papa !! à...à l'aide je...il me fait mal papa !
Roberto Montenero : Pablo s'il te plaît, je t'en supplie !
Pablo : Les gars, on y va !
Pablo : Désormais cette fille est ma propriété, elle appartient à Pablo Cortès ! Je suis le seul à avoir des droits sur elle
Roberto Montenero : ELLE N'EST PAS UNE MONTENERO
Roberto Montenero : TU NE PEUX PAS FAIRE ÇA
L'homme bascule ma tête un peu en arrière pour que je le regarde
Pablo : Désormais tu me serviras, je serai ton boss, tu suivras mes ordres, tu ne seras que soumise à mon autorité ! tu es ma propriété que j'ai gagnée !
Il me tire par les cheveux pour me diriger vers la sortie
Dolce : Lachez-moi
Roberto Montenero : PABLO !!!
Il se retourne avec moi en maintenant mes cheveux pour regarder mon père, un homme grand et musclé donne un coup à père au niveau du cou, papa tombe dans les vapes, cette vision me fait encore plus crier
Dolce : LACHEZ-MOI !!!!
Il me tire par les cheveux pour que je le regarde, il les serre encore plus fort, je commence à me débattre en lui donnant des tapes et en pleurant à chaude larme
Dolce : Snif.....snif snif.....snif
Dolce : Vous me faites mal, qu'est-ce que j'ai fait ? Lâchez-moi
Il me regarde avec les yeux remplis de stupeur, il maintient ma mâchoire avec sa grande main, il la serre tellement fort, que j'ai l'impression que ma mâchoire va céder et se briser dans sa prise.
Ensuite, il tire mes cheveux vers le haut, au point que je monte sur la pointe de mes pieds pour essayer d’atténuer la douleur, mais aucune des douleurs n'est prête à partir
Dolce : Snif.....snif snif.....snif....snif
Pablo : Ne pose pas tes mains sur moi, pour qui te prends-tu de me taper dit moi ?
Pablo : TU SAIS QUI JE SUIS ?
Je pleure et je secoue la tête
Pablo : JE SUIS PABLO CORTÈS !
Dolce : Je...je...ne connais pas de Pablo Cortès !
Pablo : Par ton accent, je vois que tu parles l'anglais ! tu es une Américaine ?
Dolce : Italienne !
Dolce : S'il vous plaît je...j'ai mal
Il me tire et on traverse la maison jusqu'à des voitures
Dolce : Où ...où vous....m'amener ?
Il ouvre la porte et il me jette à l'intérieur d'une voiture avant de monter près de moi
Je le vois agité sa main que je regarde, je couine, p****n mes cheveux, il en a plein, dans sa main, pas qu'un peu beaucoup
C’est sûr que ce gars m’a rendu chauve
Je sanglote ne comprenant pas ce que je fous là et pourquoi papa a ce genre de fréquentation