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3400 Words
Le samedi, on décide de rentrer, il dit devoir venir à Paris en avion, et que si on veut, on peut mettre la voiture au train, et qu'il nous emmène, disant qu'il passera les deux jours à l'hôtel, je lui ai dit, oui et pourquoi pas dans la niche du chien, d'ailleurs, je vais profiter de vous mener par le bout du nez, pour vous obliger à dormir à la maison, à chaque fois que vous venez. Comme il devait aller à paris, bien évidemment qu'on a préfère l'avion à la voiture, le train, c'est le prix du carburant et des péages, les PV en moins et surtout le confort, ainsi qu'une demi-journée de vacance en plus, en fait, il avait forcé un rendez-vous, pour passer trois jours de plus avec moi. Mon mari bien sûr, content de piloter, il a dit au client, "j'abuse", il lui a répondu, "j'abuse bien plus" et j'ai répondu, "vous n'abusez pas encore assez", je n'avais prévenu personne de mon retour, mais comme ne me voyant pas revenir la semaine d'avant, seuls les amis avec qui on a fait de l'ULM savaient que j'avais des jours en plus, alors ils sont passés le samedi après avoir appelé au boulot qui leur on dit qu'on avait pris une semaine de plus, ils m'ont préparé la maison, le ménage, aérer, des courses, le dimanche, il y avait Marie et Henri, le copain privilégié, et une bonne copine. Comme je n'avais rien à faire, ils sont resté manger, j'ai présenté le client et ami, j'ai eu un peu de gène, suite au décès du même genre d'ami qu'Henri et Marie avaient perdu, mais cela s'est très bien passé, Henri avait compris, à table, en revenant avec un plat, je les regarde et je me dis, tous ceux et celles présents, je couche avec et aucun ne me b***e à part mon mari, pour rappel, le client ne peut pas et le copain ainsi qu'Henri, n'ont pas autorisation de me pénétrer, par amitié. Le dimanche soir, mon mari a été b****r ailleurs et j'ai passé une grande partie de la nuit avec le client, je lui devais bien ça, le lundi, on ne s'est vu que le matin et à midi à la maison, ou j'ai mangé sur le pouce, il m'a dit, "vous voulez venir, la porte est ouverte 24/24, 7/7, mon patron était super content, j'avais déjà des libertés de jours et d'horaires, et trois mois plus tard, une grosse affaire arrive, une société qu'on avait perdue, qui demande que ce soit moi qui m'en occupe personnellement. Mon patron me demande si je connais, je regarde les noms et rien ne me tilte, ce n'était pas mon client, j'ai su longtemps après, en 2001, que c'était le client que j'avais insulté et avec qui je m'étais réconcilié, celui qui m'avait offert un superbe collier, qui faisant mes éloges, m'avait conseillé à une de ses connaissances du milieu d'affaire. Avec cette affaire en plus, je devenais intouchable, car je n'étais que chef de service, mais j'avais aussi comme charge, d'accompagner à certains repas d'affaires, mon patron disait, "pendant qu'il vous parle de leurs loisirs, ils ne posent pas de questions, et c'est plus détendu", ce genre de travail m'avait posé problème déjà, mais si j'étais stressé aux premiers repas, à force, avec mon patron en protection et qui ne cherchait pas à en profiter, ça me convenait. Une soirée d'affaire et le lendemain, je restais à la maison ou alors je cumulais pour un autre jour, de plus, comme on avait les horaires libres aussi, la pointeuse, elle ne me voyait plus, j'avais le respect des employés et chefs comme moi, les supérieurs, eux, ne me cherchaient pas, et depuis cette affaire, mon seul supérieur, c'était mon patron. Si je me disputais avec un directeur et que je disais que le feu ça mouille et que l'eau ça s'enflamme, mon patron lui disait que c'était un imbécile et que j'avais raison, (c'est une image), bien évidemment, j'ai une conscience professionnelle, je ne bâcle pas le boulot et je n'en abuse pas, de plus, j'avais les clefs de la boite avec les codes alarmes, et en l'absence des directeurs et du patron, c'est moi qu'on venait voir pour une décision à prendre. Tout cela pour dire qu'on peut avancer, en se servant de ses compétences et de son charme, sans pour autant vendre son c*l, le client téléphonait souvent au boulot, j'avais une ligne directe, et des fois, le soir, il m'appelait aussi, pour ne pas le froisser, quand il n'avait pas appelé depuis plus longtemps qu'habituellement, c'est moi qui l'appelais, il avait le tact de dire qu'il était en ligne, qu'il terminait et me rappelait derrière. C'était le temps ou les télécoms rackettaient le coût des communications, alors il faisait tout pour que se soit sa société qui paie, il ne venait jamais de lui-même, c'est moi qui le lui demandais, cela avait l'inconvénient qu'il nous amène toujours un cadeau, porto pour mon mari et lingerie pour moi, il lui donnait mon bonjour à chaque fois, disant, que je suis très contente de mes achats faits quand j'étais venu, de cette manière, elle comprenait l'allusion indirecte. Au mois de septembre, il n'est pas venu, je lui avais fait comprendre que ça serait le défilé des copains comme le dimanche, c'était un peu vrai, mes petites coquineries avec certains d'eux me manquaient, il est venu en octobre, en train, le temps n'était pas adapté pour voler en sécurité, en offrant 3 bouteilles de porto à mon mari, et lui demandant s'il peut m'enlever quelques heures, celui-ci lui dit, mais avec ça, (le porto), vous la prenez la journée complète, il répond qu'il va revenir avec un fut la prochaine fois. Mon mari ne le lui disait pas, mais me disait, avec lui, que s'il était jaloux, il faudrait qu'il soit c*n, il était de bonne conversation, je ne m'ennuyais pas avec lui, j'ai eu le malheur en passant devant une vitrine de regarder un tailleur que je trouvais pas mal, il a fallu qu'il me l'achète, il prenait aussi un chemisier, sous réserve de couture immédiate en la payant, une fois, la patronne n'avait pas pu, il lui a dit, si j'ai ça dans une heure et bien fait, je donne cinq cent francs pour la couture, quand on est repassé, c'était fait. La promenade après, c'était en évitant les rues commerçantes, le soir, il m'a sortie et j'ai mis ce tailleur avec sa lingerie, heureusement que j'avais un imper, pour quitter le restaurant et aller au ciné ensuite, le tripoteur du ciné, c'était lui, un type avait vu ce qui se passait, mais il n'est pas venu, je ne pense pas que si cela avait été le cas, que ça l'aurait dérangé, mais moi, je subis toujours, c'est très rare que je fasse le premier pas. À la maison, il m'a "mangé" disait-il, pour finir par me faire jouir avec sa bouche, ce weekend là, c'est passé ainsi, et en novembre, quand il est revenu, le vendredi, au lieu du samedi, il m'attendait à la maison, il savait ou était les clefs et le code, comme beaucoup de nos amis de confiance. Seulement voilà, je n'étais pas seule, mon amie dînait et couchait à la maison, mon mari était parti faire du cross, car il savait que j'étais en bonne-main, du coup, il nous a emmenées au restau et au ciné, la copine est comme moi, elle n'est pas réfractaire au changement de situation de dernière minute, à l'époque, je le cachais, mais, Marie, Henri et elle, se doutait que mon client était du même registre que celui qu'avait Henri. Au cinéma, la copine, dit au client, qui sachant se tenir, ne mettait son bras ni de mon côté ni du sien, elle lui dit, "ne restez pas comme ça, donnez-moi la main", le client étonné me regarde et je lui dis, "elle a raison, au diable les convenances, ici, oubliez nos rapports professionnels, donnez-moi aussi la main. Et cette fois-là, je reconnais que ma fierté, mon image, enfin, toutes ces conneries qui font qu'on n'ose pas pour ce que les autres vont penser, je n'ai pas été à la hauteur de nos attentes à tous les trois, le client n'aurait pas été contre de la tripoter, la copine n'aurait pas été contre de l'être, et moi non plus, je n'aurais pas été contre d'une nuit à trois. Le matin, petit déjeuner prêt, il avait été chercher cela, je l'avais entendu et je m'en doutais, j'ai rejoint la copine, mais on n'a pas eu tout le temps nécessaire, si j'ai mise une robe de chambre le matin, elle, elle nous a rejoint en teeshirt très court avec rien dessous, le client était gêné ce matin-là, mais quand elle a été à la douche, je lui ai dit que je n'étais pas jalouse du tout, et que s'il voulait. Bêtement, je me rends compte de ma connerie, c'est lui qui me rappelle qu'a part la tripoter, il n'a pas de quoi la satisfaire plus, j'ai dit à la copine de ne pas en parler avec Henri et Marie, petit rappel encore, le couple Annie, et Henri, cette copine et moi-même, on se promenait impudiquement devant un client à Henri qui nous tripotait un peu, elle se disait que peut être, avec lui, c'était pareil, elle avait raison, mais je n'étais pas prête à l'avouer, pas par jalousie, mais par bêtise comme j'avais expliqué. Elle a passé la journée avec nous, à la demande du client qui m'a dit, que du moment qu'il est en ma compagnie, cela lui suffisait, le matin, avec sa tenue à ras de la moule, alors que j'étais en robe de chambre qui ne dévoilait rien, le client la matait avec ma bénédiction, à chaque fois où on était isolé d'un autre, soit le client me tripotait, soit on s'embrassait avec ma copine, je me disais que peut être eux même quand je ne les voyais pas, faisait de même, mais je n'ai rien appris dans ce sens. La copine est plus grande, ma garde-robe ne lui va pas, elle retourne chez elle avant de nous rejoindre à la maison pour aller au resto, nous en avons profité pendant ce laps de temps, dés qu'elle est sortie, je sors le sac de matériel de mon armoire, je le pose à coté du lit de sa chambre en disant juste, voilà mes jouets, une fois le sac posé, je me dis que je n'ai pas envie d'être surprise, je vais fermer la porte ou seul un verrou est à l'intérieur. De retour dans la chambre, le sac est retourné sur son lit, il pensait que je lui avais amène le sac à jouets pour qu'il choisisse ceux qu'il voulait, bien sûr, il y avait des godes, des plugs, des boules, mais il y avait aussi, deux martinets, une cravache, une paire de menottes, des attaches poignets et chevilles, des pinces a seins, un bâillon boule, et aussi un masque cachant la vue. En plus, ce matériel n'a presque jamais servi, j'avais un copain qui me pratiquait cela, ou plutôt qui m'avait pratiqué, avec mon mari, nous avons essaye aussi, mais cela ne fonctionne pas entre couples, plus que le coté mécanique, c'est le coté cérébral qui fait tout. Le client, un peu gêné, a un des martinets en main, celui ou le manche ressemble à un phallus, voyant mon air, il devine qu'il n'aurait pas du, il s'excuse, disant qu'il a cru que je voulais qu'il choisisse un gode, ma surprise passée, je dis, "pas grave, vous savez tout maintenant, j'attendais juste un autre moment pour vous le dire, et comme je ne savais pas comment, au moins s'est fait". Je lui rappelle mes tabous que je ne peux pas dire à cause de la censure nationale bien-pensante, et lui indique ce qui m'excite dans cette pratique, par exemple : un type ventripotent, 120 kg pour 1.60 m, si on me demande de lui faire une gâterie, beurk, je ne pourrais pas, j'aime les hommes bien f****e, même ceux l'étant un peu moins, mais pas à ce stade. Hé bien avec quelques coups de cravache pour m'y obliger, je le ferais et prendrais plaisir, ou alors, si l'on m'attache et me livre au type, qui me v***e, j'y prendrais plaisir aussi, car je serais violée en sécurité du fait que j'ai confiance en celui qui m'offre, contrairement à celles qui se font lâchement v****r. Hé oui, les chemins qui mènent aux plaisirs, à défaut d'entre impénétrables, sont très tortueux, même si les routiniers sexuels, ou la b***e à la missionnaire est pour eux déjà une perversité, mais ceux-là, ils lisent la bible, et pas mes récits. Je lui dis le temps que l'on a de dispos, avant le retour de ma copine, il pose la cravache et m'attache les mains dans le dos, en travers du lit, il me fixe les chevilles avec les attaches exprès et avec les sangles me fixe l'une au pied de tête de lit et l'autre au pied de lit, je me dis que je vais morfler, après m'avoir sucé pour que je mouille, mis un plug et des boules, quelques caresses et il me s**e, son unique but, me donner du plaisir, son plus grand plaisir m'avait-il dit, c'est quand il m'en donne. Après cela, il me regarde, et me dit, "toi ma petite, tu vas gueuler", disant cela, il repense au bâillon boule et me le met, qu'est-ce que j'ai joui, il m'a donné trois orgasmes l'un derrière l'autre, au premier, il avait oublié de mettre en marche les boules, cela faisait 24 heures que je n'avais pas joui, et rien eu avec la copine non plus. Cela n'a pas duré longtemps, je ne sais pas si j'ai tenu 20 minutes au total, mais je n'en pouvais plus, j'ai crié grâce, en le lui faisant comprendre, comme prévue, j'avais morflé, 20 minutes sur le grill, quand il m'a libérée, je l'ai pris dans mes bras, pour le remercier de ces minutes de plaisir intense, je sais également qu'il aime beaucoup ce genre d'élan de tendresse. On a câliné un peu, et j'ai été prendre une douche, je suis revenue en peignoir, la copine n'a pas trop trainée, j'allais m'habiller, elle est arrivé en tailleur très chic et très court, ou le client a dit, mais avec des beautés pareilles avec moi, on va me dévaliser, les hommes, s'affrontent sur les circuits, pour montrer leur force ou adresse, les femmes se rivalisent sur leur physique. J'ai mis exactement le même tailleur, le sien rose, le mien bordeaux, elle n'aime pas ses poteaux dit-elle, mais elles sont belles ses jambes, nous n'avons ni la même taille, ni la même corpulence, si on échangeait nos jambes, j'aurais l'air d'un tonneau et elle, elle aurait des cannes de serin, on avait mis nos impers. c'est tellement chiant de se garer, qu'on a pris un taxi, dans notre tenue, pas question de prendre le métro, le client est monté devant, et le chauffeur nous matait dans son rétro, comme toujours, très complice, nous n'avons rien fait pour l'en empêcher, de mauvaises langues auraient même dit, qu'on l'encourageait, les médisants, nous ne sommes pas comme ça. Rien de particulier au repas, mais comme après une nuit de jeux lesbiens avec la copine, j'avais prévue une sortie sexe shop avec le client, mais du fait qu'elle était là, on ne pouvait pas, elle a proposé shopping, j'ai dit, non, il a dit pourquoi pas, j'ai dit, ok, mais vous me donnez votre carte bleu, il n'a pas fait de difficulté, je l'ai pris, et avant de sortir, j'ai été aux toilettes. Nous avons pris un taxi pour se rapprocher, nous faisons comme toujours, on regarde, on fouille, et puis quand on a fait un maximum de boutique, on retourne là ou on a vu quelque chose qui nous plaît, quand on regardait, on se mettait le tissu sur nous et on lui demandait son avis, à l'écouter, tout allait, son objectivité me laissait dubitative, mais des fois, il disait préférer tel autre vêtement. On retourne dans un magasin ou on regarde ce qu'on a déjà vu, mais cette fois, en comparant avec ce que d'autres boutiques proposaient, on essaie à nouveau puis on va en cabine ou là, on le sollicite encore en marchant dans l'allée pour qu'il juge, il est gêné vis-à-vis de la vendeuse, je lui dis, aller, c'est un avis d'homme que l'on veut, en même temps, ça veut dire à la vendeuse, qu'elle se taise. Nous prenons le même tailleur, comme toujours, nous sommes trois copines, copines autant que cochonnes, nous avons les mêmes goûts, sauf pour la couleur, avec consigne pour raccourcir pour moi et reprendre à la taille, et c'est au moment de payer, que le client intervient, il avait une carte dans les mains, je regarde dans mon sac, j'ai bien sa carte, mais c'était celle professionnelle, il paie nos tailleurs avec sa carte personnelle, je dis à la vendeuse, ça mérite quoi ça, elle répond, une grosse bise, la copine lui fait cela aussitôt, j'en fait de même moins enthousiaste, en disant, vous m'avez encore truandée. On va ensuite voir des déshabillés et des dessous sexy, je ne pouvais pas dire à la copine, que j'en ai à revendre, qu'il m'en a acheté à tout-va en vacance et à chaque visite, avant de rentrer, je lui dis, l'autre carte, sinon je reste là, il ouvre son portefeuille, me montre en disant, voilà, regardez, je n'en ai plus, je fais, "remettez celle-là (la pro), voilà, c'est rangé, alors donnez le portefeuille. Il me le donne, je le mets dans mon sac, et nous rentrons dans la boutique, j'ai pris une nuisette sexy et un déshabillé, je n'ai pas porté attention à la copine qui a dit quelque chose au client, pensant qu'elle demandait conseil, elle achète, deux paires de strings, soutif et porte jarretelle, et les bas allant avec, aurait-elle un copain et elle ne m'en parle pas, cela ne me regardant pas, je la rejoins à la caisse, et la encore, le client paie avec une carte, je lui demande de quel chapeau il les sort. La copine rigole comme un folle, le client se marre doucement, je dis, "regardez-moi-le, il dépense une fortune et ça le fait rire", il venait de me b****r, la carte dans son portefeuille, c'était celle de la copine, ils ont complotés lorsque j'étais aux toilettes, j'avais un cintre encore dans les mains, je l'ai frappé avec la main légère. J'ai dit, "on rentre, b***e de traitres", à la maison, j'offre un thé et café, la copine file dans la chambre qu'elle avait occupé, je reviens et sers, je pense qu'elle est au petit coin, je m'installe sur le canapé, mais pas à côté de lui, et à la surprise générale, elle apparaît en string, soutif et porte jarretelle avec les bas, le client, à failli avaler la tasse, rien n'était comploté, au magasin, elle savait qu'elle pouvait prendre de la lingerie, elle lui a demandé combien, il a dit, "faites-vous plaisir". Elle lui a dit, deux, je peux, il a répondu, même trois ou quatre, mais elle n'est pas profiteuse, je lui avais dit que ses moyens étaient plus que confortable, mais elle n'abuse jamais, j'ai compris aussi pourquoi quand elle est arrivée en petite tenue, pour justifier son exhibe. La copine est une belle femme aussi, elle doit être bandante pour un homme, elle s'assoit au milieu, prés de lui, je sais qu'elle ne fera pas d'impair, je lui avais dit en douce, que je croyais qu'il avait les mêmes problèmes sexuels que le client d'Henri, elle avait répondu, "on risque rien alors, il peut nous faire pareil", pareil, signifie avoir les yeux et mains baladeuses. Derrière elle, j'ai fait un signe au client qu'il pouvait "attaquer", mais il savait que ça devait être en cachette de moi, je vais donc dans ma chambre, du moins c'est ce que je dis, car par curiosité, je voulais savoir ce qu'il va se passer, je repousse simplement la porte du couloir menant aux chambres et salle de bains, dans le couloir sans lumière, on ne me verra pas et si l'un se lève, j'ai le temps de regagner ma chambre. A suivre.
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