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Le client me dit, "tu dois remercier ce monsieur pour nous avoir offerts à boire", je réponds, "c'est la moindre des choses", si j'étais venue seule pour ramener un homme, chose que je ne fais jamais, mais si cela avait été le cas, j'aurais ramené celui-ci.
La voiture a les vitres teintées à l'arrière, il lui demande de retirer ma robe, et mon soutif, je suis nue et tripotée, la lune éclaire un peu, le client mate, le danseur me tripote les seins, et me caresse les cuisses puis tout doucement se rapproche de mon sexe, je suis super excitée, surtout que je sais qu'il va finir par découvrir que je suis occupée d'un côté.
Il me caresse le corps, m'embrasse, timidement, il me caresse le sexe, ma réaction à sa caresse le conforte à continuer, je le sens qu'il augmente doucement son périmètre d'exploration et fatalement trouve le plug, à partir de là, son comportement a changé, le client dit, "aller cette s****e aime qu'on prenne des initiatives, alors vous avez une autoroute devant vous, hein, tu aimes la bite petite p**e", pendant que mon client parlait, mon danseur lui m'avait allongée et me suçait la chatte.
J'étais complètement partie, le client m'insultait, le danseur me suçait et fatalement, je me mets à jouir, il me lève et me retourne, nous sommes tous les deux, la jambe gauche à genoux sur le siège et l'autre à terre, il enfile la c****e et me pénètre, sexe moyen, mais vaillant, il me b***e en me tenant fermement les hanches.
Le client me tripote les seins et me traite, il me fait me redresser et baisse son siège, mes seins son sur son visage, il me les embrasse, les s**e, je jouis encore une fois, il continue encore un peu, puis me retire le plug, sachant pourquoi, je fais le "ho non" automatique, elle n'aime pas la sodo qu'il dit, le client dit, elle adore, il me présente son sexe, le frotte, me re pénètre, le re frotte sur mon anus pour lubrifier.
Puis pousse doucement, puis la tête rentrée, il pousse à fond, qu'est-ce que j'ai aimé, ça faisait longtemps qu'a part mon mari, qu'on m'avait fait cela, il faut savoir que la sodomie, est principalement cérébrale, bien plus que la b***e, mon mari, toujours lui, joueur à l'extrême, avait une fois voulu jouer, me faire cela à l'hôtel, comme si j'étais une p**e, et me b****r les yeux.
Toujours partante, je le rejoins dans cette chambre, après le boulot le soir, il me caresse, me chauffe, me b***e en levrette puis en sodomie, il se retire, en disant, "je suis un puriste, avec les putes, il faut mettre un capuchon", il se remet en position, me s******e, lime, je prenais plaisir normalement, puis devant moi, une main me retire le bandeau, il était devant moi à me tenir les bras pour pas que la surprise me fasse trop sursauter.
Quand j'ai su que c'était un autre, une vague de plaisir m'a envahie et j'ai joui dans la foulée, sans rien me dire, lors de trio ou duo, un homme réussi à me faire jouir après un peu de préliminaires en moins de trois minutes de sodomie, mon mari, il lui en faut plus de six en étant bien excitée.
Mon danseur donc, est en train de me s*******r, mon client, lui s'occupe de mes seins, puis sa main droite vient en dessous, m'agacer le clito, dans cette voiture, malgré le peu de confort, pour moi, c'est le paradis, mon corps ne m'appartient plus, je me donne à mes deux partenaires, sans conditions.
Mes mains en appuis sur le dossier d'un coté, et sur l'accoudoir de la porte de l'autre, je ne suis plus une femme classe comme il se dit, je suis une boule qui brûle d'un plaisir intense, même mon danseur s'y est mis à m'insulter, "elle aime ça la s****e que je l'e****e, hein, tu aimes ça", je réponds par l'affirmative, lui demandant de me défoncer et de jouir aussi, si les insultes m'excitent, lui demander de me défoncer lui font la même chose.
Il dit, "ho la s****e, elle va me faire jouir, ho p****n, il est bon son c*l", j'ai tellement envie de l'entendre jouir, que je lui réponds, "oui, vas-y, rempli mon c*l, vide toi, soulage-toi, en même temps, on jouit en même temps et toi aussi continu avec mon clito", je me penche un peu plus et lui attrape le sexe a travers le pantalon, mon danseur explose, personne ne nous entend d'où on est, en jouissant, il accélère et comme j'étais prête, je jouis à mon tour en hurlant sans retenu.
J'aime mon mari, j'aime son sexe, mais le sexe d'un inconnu, d'un autre, à un autre pouvoir excitant, quand je jouis, mon anus donne des petites contractions, je n'ai pas vu cela chez toutes mes partenaires et de ce que disait le danseur, ainsi que ce que m'avait dit aussi le client, ça serait plutôt rare.
Les filles que j'ai sucées jusqu'à jouir en leur mettant aussi un doigt dans l'anus, je n'en ai pas eu beaucoup qui avaient des contractions, déjà, il y avait celles qui aimaient être sodomisées, j'en ai eu qui ne voulaient pas, mais en insistant doucement pendant qu'elles étaient excitées, qui se sont laissé pénétrer et bien sûr, ont apprécié, mais il y avait aussi celle qui ne voulaient pas du tout, les coincées du c*l, des féministes, bien souvent, c'est elles qui portaient la culotte dans le couple.
Les mots étaient, "c'est avilissant, on va lui faire à lui pour voir, ha quelle horreur, ça jamais, pour ça, il n'a qu'a aller voir les putes", en fait, quelles connes, elles se privent d'un bon cheminement vers l'o*****e, peut être aussi était-ce le mari, qui était coincé, l'ayant prévenue en lui promettant une scène si elle se laissait faire, il ne faut pas croire, il y a beaucoup de jaloux chez les libertins.
Pour l'homme jaloux, le couple libertin idéal, c'est celui, ou l'homme à le sexe plus petit que le sien, ou la femme est plus s****e et s'abandonne complètement, pour la femme jalouse, c'est le couple ou l'homme à le sexe plus gros, ou la femme est moins belle qu'elle et qui est laxiste, pour mon mari et moi, le couple idéal, c'est celui, ou la femme est mieux que moi, et ou l'homme me fait le plus jouir.
On en a eu beaucoup des couples jaloux, bien souvent, on a eu envie de partir pendant les ébats, tellement on s'ennuyait, on en a même eu deux ou les deux l'étaient, et le pire, c'est qu'ils sont convaincus qu'ils n'y sont pas, ceux-là, fort heureusement, on les a refoulés devant un verre pour le feeling, comme dit mon mari, on ne fait pas dans le social, pour les handicapés de la tête et du c*l, il existe l'euthanasie.
Moi en tout cas, je suis une jouisseuse et j'en suis fière, je suis une s****e au sexe et j'en suis fière, même si je mettais une grosse gifle à ceux qui me le diraient en public, mais en privé, je prendrais ces remarques comme un beau compliment.
Mon danseur vidé, moi vidée aussi différemment, on s'assoit, on reprend notre souffle et moi mes esprits, le danseur s'essuie avec des mouchoirs papier, on discute un peu puis le client demande au danseur de monter devant, et il me demande de remettre mes chaussures et d'aller me mettre devant la porte du garage qui est en dents de scie, chose improbable, si une voiture arriverait, on ne me verrait pas dans ce renfoncement, fait des aller-retour très sexy me demande-t-il.
Je vois très bien ce qu'il veut, mais la magie de l'excitation passée, la femme respectable que je suis, veut montrer une image d'elle, qui se veut respectable, oubliant qu'il y a une dizaine de minutes, j'étais la parfaite s****e, sachant de quoi je suis capable, il me dit mieux que ça, encore mieux, aller encore mieux.
A force, sachant qu'ils me regardent et que peut être, plus haut, il y a une maison avec un type qui peut être, intrigué par les phares de la voiture, se demande ce qui se passe et mate aussi, (en fait, il n'y en avait pas, mais je l'ignorais à ce moment là), je ne suis pas seule, les deux hommes sont là, je fantasme donc sur le fait qu'un ou deux types s'approchent et demandent à participer.
L'excitation revient, et je fini par m'appliquer, j'avais pris des cours afin d'avoir des gestes sexy, danser autour d'une barre, même si je n'avais plus pratiqué depuis quelque temps déjà, j'avais des restes, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas, seule manque la souplesse de la pratique, j'avais un peu frais au début, mais de bouger et à l'abri du peu de vent, ça allait.
Mon client, impressionné aussi, me disait que dans la voiture, le danseur ne faisait que des compliments, il est vrai que si au début, je faisais nunuche, le jeu m'a emballé et je me suis transformé en une allumeuse, je me revoyais sur le billard avec les vicelards (voir vengeance heureuse d'un cocu).
Etre offerte par le client, et le risque que quelqu'un vienne, décuple mon excitation, pour me trémousser, je reste là ou c'est cimenté, je ne vais pas vers la voiture ou c'est du gravier.
Entre vantardise et modestie, ou commence l'une, ou s'arrête l'autre, alors comme cela se passait il y a plus de quinze ans, je vais faire comme si je parlais d'une autre pour me décrire, si aujourd'hui, j'ai de très beau reste, comme dit mon mari qui ne me ménage pas, les autres disent que je suis encore très belle et me le prouve.
Je reconnais qu'entre 30 et 45 ans, j'étais très belle, même encore maintenant, je ne peux pas faire un pas, sans qu'on me sourie de façon sans équivoque, avant, c'était pire, ceux qu'on appelle les beau gosses, ne pouvaient pas s'empêcher de venir me donner leur carte au restaurant, dès que mon mari partait au toilette.
Le midi, je déjeunais toujours avec un collègue (et encore maintenant), afin que justement, on ne vienne pas me déranger en me demandant si j'accepte que le dragueur s'assoie à ma table, les ronds de jambes, les fayots pullulaient autour de moi, s'en était pénible, trop petite et trop de sein pour faire mannequin, (1.60 m, 50 kg, 95 petit D), et il fallait faire la p**e avant, la réussite dans ces conditions, très peu pour moi, p****n, c'est un métier, je n'ai aucune compétence, même si je ne suis pas une sainte, j'ai ma fierté.
J'étais donc une très belle femme que tous les hommes hétéros bisexuels et lesbiennes auraient voulus, même certains gays qui disaient, qu ils voulaient bien essayer avec moi, cela m'a joué des tours parfois, et d'autres fois m'a été utile, un homme a du mal à dire non à une jolie femme, et il n'y a que la dessus que j'en ai profitée, en les laissant dans l'espoir et sans rien promettre, ceci étant dit, je poursuis.
Jouant de mes charmes, en étant moi même excitée par la situation, le client dit au danseur qui avait repris du tonus, de me b****r debout sur l'angle du mur, il sort dehors la bite capuchonné, il me retourne, et me met en appui sur un petit muret et me b***e, nous sommes plein phare, il m'a donné un o*****e, continuant à me bourrer, il a joui également, j'étais déjà bien préparé, surtout que j'avais le fantasme qu'on pouvait être vu, faire la p**e professionnellement, non, mais faire la p**e par jeu, oui.
Nous sommes rentrés dans la voiture, à l'arrière, j'étais nue et après l'o*****e, le corps refroidit, il m'a embrassé tout le long du retour, les seins principalement, mais j'étais repue, comme il le dira sur le retour, "au début, j'ai cru que vous étiez une femme délaissée qui venait trouver du plaisir, accompagné pour votre sécurité, par quelqu'un qui profitait aussi de votre charme", je lui demande, "et maintenant, vous pensez quoi", il répond, "vous êtes une femme qui pour le changement, aime bien s'abandonner à un autre et faire tout ce qu'il demande", le client me dira qu'il lui a un peu soufflé cela.
Une fois rentré, le client a voulu me tripoter, mais je lui ai demandé si on ne pouvait pas repousser jusqu'à demain, j'étais lessivée, coup de chance pour moi, mon mari qui n'avait rien eu jusqu'à là, à ce soir la trouvé de quoi se dégourdir le poireau comme il dit, me laissant la chatte au repos, je supporte mal la c****e et quand il m'a baisé, je ne mouillais pas abondement comme au premier o*****e.
Nous avons fait un tour en avion le lendemain et avons été voir le lieu de l'accident de haut, si les arbustes n'avaient pas arrêté les deux jeunes, ou s'ils n'étaient pas tombés une fois hors du chemin, une trentaine de mètres plus loin, ça descendait presque à pic, j'ai pris des photos, et je les ai envoyées au client qui a été leur porter.
Le temps était ensoleillé, mais avec du vent, pas terrible pour du ski nautique ni de l'avion, pour le voilier, je n'aime pas quand ça secoue de trop et le client non plus, et le voilier de son copain, a manœuvrer seul, mon mari n'est pas assez expérimenté et n'a pas voulu prendre de risque, nous avons visité, pique-n***e le midi et repas à la maison le soir, la gastronomie, c'est bien, mais a force, on regrette le steak-frites ou les pâtes.
Mon mari me disait que le client était ferré, je le menais par le bout du nez, ce qui était vrai, mon mari ne s'est pas gêné pour le lui dire, en lui disant, "reconnaissez le, elle vous demanderait de l'emmener au Seychelles, vous diriez oui", pour plaisanter, il répond, "attendez, j'appelle pour savoir à quelle heure est le premier avion", mon mari lui dit, "oui, mais imaginez que vous tombez sur quelqu'un qui ne cherche que votre compte en banque".
Il répond, "oui, mais elle n'est pas ce genre de femme, c'est pour ça qu'elle me mène par le bout du nez", pour plaisanter, j'ai voulu dire, "non, je ne suis pas comme ça, mais une grosse bague avec un saphir, ça ne me déplairait pas", je suis à peu prêt sur, que le jour même ou le lendemain, j'en avais une.
Une fois seule avec lui, je lui ai dit, pour me faire plaisir, c'est simple, avec le type hier soir, avec la vendeuse, de temps à autre le restau, mais que de temps à autre, être dans vos mains, cela me suffit largement, bien sûr que j'aime aussi le reste, mais cela est accessoire et très gênant.