5

1130 Words
Une semaine était passée depuis le retour de Nill et d’Aida aux Usa, leur vit était assez paisible, ce dernier avait reçu des nouvelles de sa mère par le billet de son frère, qui lui avait fait part du fait, qu’elle semblait calme, mais aussi très triste, Nill lui avait répondu qu’il ne voyait pas la raison pour laquelle elle devrait être triste, il fit abstraction de ça, car bien trop souvent elle avait usé des sentiments que ses enfants avaient envers elle pour leur rendre la vie difficile. On était lundi, Aida était fin prête pour son premier jour de cours à l’université, elle avait une grande boule au ventre car elle ne savait plus ce que ça faisait d’étudier, d’avoir des camarades, d’avoir des enseignants, de se lever tôt afin de ne pas être en retard à l’école, elle allait le redécouvrir et elle avait un peu hâte, car elle espérait finir ses études et avoir son indépendance financière, elle espérait ne plus compter uniquement sur son époux. - alors on y va demanda Nill à cette dernière - oui allons-y, tu me trouves comment demanda Aida à ce dernier - tu es magnifique Aida, et surtout porte bien ta bague, que l’on sache que tu appartiens déjà à quelqu’un - Nill mais qu’est-ce que tu dis - oh mais je ne plaisante pas, ils doivent savoir que tu es ma femme, ils doivent savoir que tu appartiens déjà à quelqu’un - ils le sauront dit Aida en souriant, on y va - oui mais pas avant que tu ne m’ai donné mon baisé pour la journée - d’accord alors vient par-là dit Aida en le prenant dans ses bras, avant de lui faire un baisé sur les lèvres. Passe une bonne journée monsieur mon mari dit Aida à ce dernier - bonne journée, mon rayon de soleil, je t’aime plus que tout lui répondit-il - moi également Après ce petit moment chacun pris la route pour se rendre à leur occupation. Lorsqu’Aida arriva dans sa nouvelle université, elle ressentait un stresse énorme, en pénétrant l’enceinte de l’école qui deviendrait la sienne dès à présent. Jamais elle n’avait pensée qu’elle aurait eu la chance de retourner à l’université après toutes ces années passées à la maison à servir mère Natasha, elle espérait pouvoir cette fois terminer l’université et avoir un travail qui lui permettrait d’avoir un peu d’argent. Etant encore novice dans cette université, Aida avait du mal à trouver son amphithéâtre, elle marchait le regard rivé vers le haut, regardant les noms des différents amphithéâtres afin de trouver le sien, elle continua de s’avancer ainsi jusqu’à ce que quelqu’un lui rentra dedans, ces manuels tombèrent au sol et elle s’empressa de les ramasser. - je suis vraiment désolé je ne vous avais pas vu lui dit la personne en face d’elle - oh ne vous en faites pas c’est aussi bien de ma faute répondit Aida - oh vous êtes en première année, nous faisons la même filière - ah bon, mais c’est bien ça, vous étiez entrain de vous rendre à l’amphithéâtre ? - oui, nous pouvons y aller ensemble si vous voulez - oui merci ça me ferai vraiment plaisir, depuis je ne fais que tourner en rond - bien ! je me nomme Fred Williams et vous comment est-ce que vous vous appelez - Aida Spark, je suis ravie de vous rencontrer, et je pense qu’il serait mieux que l’on se tutoie - oui en effet, alors allons-y Aida - oui allons-y Ils se mirent à marcher tous les deux vers leur salle comme prévu, Aida étaitheureuse d’avoir trouvé quelqu’un avec qui elle pourra discuter, au moins pour aujourd’hui. La journée se termina très bien, Fred rentra chez lui tandis qu’Aida s’assis sur un banc public afin d’attendre Nill qui viendrait la chercher, elle trouvait les cours un peu difficiles, mais elle pensait pouvoir s’en sortir avec le temps, le temps qu’elle reprenne l’habitude d’étudier. A présent elle devait allier ménage et étude, c’est pour ça qu’il était bon d’avoir du travail avant de se lancer dans un mariage, se disait-elle, elle espérait pouvoir arriver à consolider les deux. Aida sortit de sa réflexion lorsqu’elle entendit une voiture klaxonner, il s’agissait de son époux, elle arrangeait ses effets et alla grimper dans la voiture en disant un bonsoir à son époux. - bonsoir, alors comment a été ta journée dit-il en démarrant - oh bien, mieux que je ne l’avais pensé - d’accord, tu as l’air un peu épuisée - oui c’est vrai, c’est que j’ai perdu l’habitude d’aller en cours tu vois - oui je comprends, mais ne t’inquiète pas tu t’en sortiras, de plus si ça ne tenait qu’à moi tu ne devrais pas étudier - oui je sais et je te remercie de me permettre tout de même de pouvoir fréquenter, cela me fait vraiment chaud au cœur - je t’en prie ma chérie La discussion s’arrêta là entre les deux, ils arrivèrent chez eux, Aida alla prendre une douche rapidement avant d’aller faire le diner, pendant ce temps Nill alla prendre son bain, lorsqu’il termina il s’assit un peu devant la télévision avant qu’Aida ne l’appelle pour le diner. Ils passèrent à table et mangèrent en parlant de tout et de rien, lorsqu’ils eurent terminé, ils se mirent un peu devant la télévision, deux heures après, Aida eut l’envie de dormir, Nill avait tout éteint et ils allèrent dans leur chambre. Aida alla se brosser les dents en même temps que son époux et décida de prendre une fois de plus un bain car elle se sentait un peu sale, car elle ne s’était pas doucher après avoir terminé le diner, lorsqu’elle revint dans leur chambre elle trouva Nill debout en train de faire les cents pas, lorsqu’il la vit il se rapprocha très vite d’elle et se mit à l’embrasser avec fougue, elle répondait à son baisé, mais sentait qu’il voulait aller plus loin. - Nill..... - chute....Je sais que tu es épuisé, mais je te promets de ne pas te maintenir longtemps éveillé, laisse-moi te faire l’amour dit-il en continuant de l’embrasser Aida ne lui avait plus rien répondu, elle se lançait aller à ses baisés toujours debout au milieu de la pièce, son époux ne semblait pas vouloir rejoindre le lit, elle le sentit s’éloigner un peu d’elle, lorsqu’elle ouvrit les yeux elle le vit, enlever sa ceinture et par la suite son pantalon, il la reprit dans ses bras, et alla la coller contre le mur, il continua à embrasser sa femme tout en baisant son boxeur, il porta par la suite sa femme, tout en la collant au mur, il ne tarda pas à s’introduire en elle et de là tout se passa très vite.
Free reading for new users
Scan code to download app
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Writer
  • chap_listContents
  • likeADD