Aida Nelson 2

4

Trois jours passèrent rapidement, trois jours pendant lesquelles Nill n’avait pas laissé de répis à sa femme, ils avaient eu le temps de réellement se découvrir de se parler et de s’écouter, Aida qui semblait ne plus vouloir continuer cette relation, retrouvait progressivement une raison de rester auprès de cet être qu’elle aimait tant.

- à quoi est-ce que tu penses dit Nill en s’asseyant près d’elle

- à rien, je ne pense à rien Nill

- euh Aida demain, je prenais le vol en direction des USA, et je ne reviendrais pas avant longtemps, je t’avais réservé un billet afin que l’on puisse y’aller ensemble, alors je voudrais te demander Aida, est-ce que tu viendras avec moi

Aida resta un moment silencieuse, elle savait que si elle venait à lui dire non, cela lui brisera le coeur, elle ne voulait pas le blesser, elle ne désirait pas non plus s’éloigner de lui, car elle l’aimait.

- Nill.............Je ne sais pas si les choses seront encore comme avant, avant je considérais ta mère comme la mienne, je lui vouait un très grand respect, et tout ce que je voulais c’était dela rendre heureuse ce qui n’est plus le cas à present. Aujourd’hui quand je pense à notre relation, je pense directement à ta mère, à ce qu’elle pourra mettre en oeuvre pour nous séparer et lorsque je pense à tout ça tu vois, je ne voudrais pas reprendre notre relation.

- Aida je comprends ce que tu peux ressentir je comprends parfaitement, je ne te demande pas d’avoir une bonne relation avec ma mère non, si tu le veux ne lui adresse meme plus la parole Aida, cela ne fera absolument rien, tu as assez fait, tu as tout fait pour qu’elle puisse t’aimer, mais elle n’a pas pu voir la fille formidable qu’elle avait, moi je ne veux pas perdre la femme formidable que j’ai Aida tout ce que je te demande c’est de nous redonner une chance d’être heureux ensemble et je te promets que tu n’auras plus des raisons de te plaindre de moi

- je ne me suis jamais plain de toi Nill tu as toujours été un bon mari, un peu fils à maman mais un bon mari

- ce n’est pas faux, alors est-ce que tu viendras avec moi Aida

- oui je viendrais avec toi Nill, je t’aime mon amour lui avait-elle dit

Nill se sentit très heureux, il embrassa sa femme avant de la prendre dans ses bras.

- je viendrais ici, nous attendrons l’heure du vol ici et après nous partirons à l’aéroport

- oui d’accord, il faudra venir avec Aaron je voudrais vraiment lui parler avant qu’on ne s’en aille

Le lendemain dans la soirée, Nill était fin près pour aller prendre son vol, il traîna sa valise jusque dans le salon où se trouvait sa mère et s’arreta au seuil du canapé sur lequel cette dernière était assise.

- qu’est-ce que tu fais avec cette valise Nill, tu repars pour les USA

- oui en affet maman

- mais tu ne t’es pas encore marié

- maman je ne suis mmee pas encore divorcé et déjà tu veux que je me maris.........Bref cela n’est pas important, je suis entrain de m’en aller maman, sache que je ne me marierais jamais à une autre personne qu'Aida, c’est ma femme, c’est mon amour et ça pour toujours

- pitié arrete, pourquoi est-ce que tu n’essaies pas de comprendre ce que j’essaye de te faire comprendre, cette fille n’est pas fait pour toi

- je ne comprends pas maman, pourquoi est-ce que tu détestes à ce point Aida, et pourtant cette fille t’aime tellement

- tu parles de quel amour toi, elle ne nous aime pas elle sait juste que si elle se détachait de nous elle n’aurait plus d’endroit où aller, c’est le pourquoi elle reste accrochée à toi

- d’accord, sache juste que je m’en vais au revoir maman

Mère Natsaha n’avait plus rien dit, elle regardait son fils s’en aller impuissante, au oins il n’y avait plus Aida dans sa vie. Aaron et Nill partirent à l’appartement afin de chercher Aida, lorsqu’ils arrivèrent elle venait tout juste de finir de boucler ses valises.

- vous etes vite arrivé dit-elle à ces derniers

- oui, j’étais impatient de te revoir mon amour dit Nill en touchant la joue de cette dernière

- uh uh fit Aaron en se raclant la gorge apparemment j’ai raté un épisode là

- oui Aaron je voulais justement te parler de ça, je suis désolé si je ne te l’ai pas dit plus tot

- oh tu sais cet abruti m’a déjà tout raconté et je suis heureux que tu redonne une chance à votre couple ce serait trop bete de gacher une si belle histoir à cause de maman, tu verras Aida, elle finira par t’accepter

- honnetement Aaron,, je ne recherche plus son amour encore moins son approbation, j’ai passé toute mon enfance jusqu’à il y’a peu à vouloir montrer à votre mère combien j’étais reconnaissance et combien je l’aimais mais elle n’a jamais reconnu mon amour et encore moins mes efforts, au contraire elle a voulu me tuer moi ainsi que mon enfant à naitre, et elle a réussi en partit car en faisant ça elle a bien tué un truc en moi, elle a tué tout l’amour, le dévouement et le respect que j’avais jusque là pour elle. Son opinion ne compte plus à présent pour moi, je me fous de ce qu’elle peut dire tant que ton frère m’aime

- tu as raison, tu as parfaitement raison Aida et je t’en prie oubli ça et soit heureuse avec mon imbecile de frère

- oh mais pourquoi est-ce que tu me traites d’imbécile dit Nill en faisant mine d’être énervé

- si si oh que si tu es un véritable imbecile

- bon d’accord je l’accepte, je suis un imbécile qui a une merveilleuse femme et toi tu es le jaloux

- oh tu n’es pas possible, vous devriez vous mettre en route à moins que vous ne vouliez venir rester avec nous à la maison une fois de plus

- oui oui nous nous en allons maintenant lui avait répondu son frère

- merci pour tout Aaron, merci infiniment

- ce n’est rien Aida maintenant allons-y avait répondu Aaron

Aaron les avait accompagnés à l’aéroport, il leur fit un dernier au revoir avant de tourner les talons et de rentrer chez lui, il espérait tellement que cette fois, Aida et son frère pourront etre heureux après tout ce qui s’était passé avec leur mère.

Installé confortablement dans son siège, le coeur d’Aida se libérait au fur et à mesure que l’avion décollait du sol, elle espérait que ceci était un nouveau départ pour elle et son époux, un nouveau départ vers un avenir remplit d’amour, de joie, oui il y aura des mauvais moments mais elle espérait qu’ensemble ils allaient pouvoir tout traverser, tout surmonter, sans que mère Natasha ne vienne encore tout gâchée, Nill avait remarqué le long silence de sa femme et il se demandait pourquoi est-ce qu’elle était si silencieuse.

- mon amour à quoi est-ce que tu penses demanda tendrement Nill à sa femme

- je pensais à beaucoup de chose en meme temps Nill. Mais je pensais surtout à nous et au future, je suis heureuse de quitter le Nigéria avec toi car j’espère que cela arque un nouveau départ pour nous, j’espère que l’on pourra vivre heureux, qu’il n’y aura plus tous ces mal entendu entre nous

- je l’espère aussi Aida, je ne reve que de ça, de pouvoir t’aimer comme il se doit, de pouvoir fonder notre famille, de pouvoir etre un bon mari pour toi, de te rendre infiniment heureuse, de pouvoir etre présent pour toi à chaque étape de ma vie, de pouvoir te donner tout l’amour que tu mérites et plus encore

- merci lui répondit simplement Aida en lui souriant

Aida espérait que leur bonne intention, se concrétisera, qu’ils auraient une bonne relation que celle qu’ils avaient eu depuis quelque temps déjà, elle l’espérait au plus profond de son coeur.

- si tu as sommeil, tu pourras poser ta tête sur mon épaule je ne compte pas dormir d’aussitôt

- merci, mais je n’ai pas encore sommeil, mais si toi tu as sommeil tu pourras également poser ta tete sur mon épaule Nill

- d’accord, lui répondit-il simplement

Le trajet se fit dans cette bonne ambiance, après des heures de vol ils étaient arrivé, ils quittèrent l’aéroport pour rejoindre leur maison, quand ils firent arrivé, Aida n’avait cessé de sourire cette maison lui avait manqué, elle y avait juste passé un mois, mais cela n’empêchait pas le faite que cet appartement lui avait cruellement manqué. La maison était très propre qui étonna Aida, vu que Nill n’y était pas revenu depuis des mois, mais elle s’était dit que certainement il y avait envoyé des gens pour nettoyer.

- ah que je suis heureux

- je le suis également Nill

- pourquoi restes-tu ici, vient ranger tes vêtements dans la chambre, bien sur si tu n’es pas trop fatigué

- non je ne le suis pas, je vais terminer tout ça et après je pourrais dormir, toi tu peux aller prendre ta douche et te reposer un peu

- ah non, je vais t’aider, quand nous finirons nous irons dormir ensemble

- merci c’est très gentil de ta part

- je t’en prie Aida

Comme prévu ils allèrent ranger leur affaire, avaient prit leur douche par la suite avant de se coucher. Aida était dans les bras de son époux, elle ressentait un bonheur et une tranquillité d’esprit infini.

Pendant ce temps au Nigéria, mère Natasha n’avait pas l’esprit tranquille, Aaron lui avait informer que Nill était retourné aux USA avec Aida, lorsqu’il lui avit dit cette nouvelle, elle s’était mise dans une grande colère, elle ne voulait surtout pas qu’Aida soit avec son fils, mais ce dernier était beaucoup trop tetu et ne l’avait pas écouté. A présent elle ne svait que faire, elle était impuissante, car Aida était beaucoup trop loin pour qu’elle puisse l’atteindre, elle ne pouvait pas non plus appeler pour protester être malade, car ils ne la croiront pas après tout ce qu’elle avait fait auparavant. Elle était dans cette réflexion lorsque Aaron apparu devant elle en lui disant qu’il y avait l’une de ses amis qui était venu la rencontrer, elle reprit ses esprits et s’était bien assise dans le canapé afin de recevoir son invité.

- ah c’est toi Amada avait dit mère Natasha à son invité

Amada était la mère de la fille avec laquelle mère Nastasha avait voulu que Nill se mari

lorsqu'il fut séparé d'Aida

- oui c’est moi ma chère amie, comment est-ce que tu vas demanda mère Amada à son ami

- ça ne va pas, ça ne va vraiment pas mon ami, après tout ce que j’ai fait, après tout ce que j’ai fait, cet imbécile est reparti avec cette idiote de fille, dis-moi comment est-ce que cela est possible

- ah je ne savais pas, mais tu nous avais dit que Nill se marierai à ma fille, et maintenant tu dis qu’il est parti, comment ?

- oui, il est parti, je ne sais pas ce que cette maudite fille lui a fait, mais mon fils ne m’écoute plus, il n’écoute plus sa mere

- ce n’est pas vraiment grace Natasha tu sais, si ton fils aime vraiment sa femme alors laisse les vivre ensemble, et en paix

- quoi et qu’est-ce que tu me dis là, je ne veux pas d’elle dans la vie de mon fils

- tu sais ce n’est pas vraiment à toi de faire ce choix tu sais

- quoi ? Comment oses-tu me dire une chose pareille tu es mon ami et donc tu dois etre de mon coté

- non pass forcément pas quand tu as tort

- alors j’ai tort c’est ça ? VVa t’en, sors de ma maison sur le champ

- mais Natasha attend

- j’ai dis dehors sort rapidement

Aida était allongée avec son mari, mais ils n’avaient pas sommeil étant donné qu’ils avaient passé toute leur journée à dormir.

- je ressens une grande paix intérieur avait lancé Aida

- ah bon pourquoi ça lui demanda Nill

- je ne saurai te dire juste je me sens vraiment très en paix

- tu peux me le dire tu sais, tu peux me le dire que c’est parce qu’on est très loin de ma mère

- oui peut-etre ça se pourrait

- je suis heureux quand tu es heureuse

- merci Nill lui répondit Aida simplement. Je medemandece que l’on pourrait faire maintenant que l’on a pas sommeil

- j’ai une idée et si l’on inaugurait notre lit

- tu n’es pas fatigué demanda-t-elle à ce dernier

- pas quand il s’agit de te faire l’amour je ne m’en lasserai jamais, tu es ma femme

- ne parle pas aussi vite Nill, on ne sait jamais ce qui se passera plus tard euh

- oui, mais je le pense vraiment, je t’aime Aida

- je...T’aime aussi Nill

- maintenant je pense qu’il est temps d’inaugurer notre lit dit-il en embrassant sa femme

N/A : Chapitre non corrigé