l'horreur de la famille

Derrière chaque méchancetés ce cache quelqu'un de sensible et pertubant

-Elle était vraiment suspecte. C'était une personne très égoïste et sympathique. Elle ne m'appréciait pas du tout. Tandis que ma sœur, elle était très enthousiaste et sympathique avec elle. Je m'étais senti abandonné et triste. Elles profitaient pendant que je restai enfermé dans ma chambre. Tout d'abord, je ne devais pas sortir de la chambre une seule fois, sauf pour aller aux toilettes et manger. Je n'avais que quelques petites voitures et un livre que je lisais tous les jours. Puis au début, le temps passa et c'était d'un dire interminable. Il fallait que moi et ma sœur nous nous levions environ de midi à treize heures. Après, en attendant le repas, nous discutions pendant des heures avec ma sœur. On avait juste hâte que cet enfer se termine et qu'on puisse rentrer chez notre mère. Malheureusement, cela n'est pas aussi facile que ce que l'on pense. Un jour, toujours enfermé dans ma chambre, nous crevons de faim avec ma sœur. Ensuite, elle décide de voler de la nourriture dans le placard pour qu'on puisse grignoter, sauf qu'elle m'a prévenue au dernier moment et il s'était rendu compte tout de suite. Elle s'est fait engueuler, mais cela ne lui a pas permis de recommencer sans qu'il en rende compte.

-Les années passèrent, je commençai à approcher de l'adolescence, mais je décidais après un temps d'hésitation de m'en fuir de cette maison et de cette famille ignoble. Personne n'était au courant de ce que je souhaitais faire, mon seul but était de courir pour rejoindre la maison de ma mère. Sauf qu'une fois toqué à la porte, personne n'ouvre. Je décide d'attendre des heures et des heures, toujours personne. Je commençais à perdre espoir quand je vois la voiture de notre père arrivée. Ensuite, j'ai décidé de ne pas rentrer dans la voiture, sauf qu'il m'a forcé. Donc, j'ai décidé finalement de retourner dans la voiture.

-Une fois arrivée à la maison, j'étais punie, mais heureusement, il ne restait qu'un jour avant de retourner chez notre mère. Puis ma sœur raconta ce que j'ai fait et elle n'était pas du tout contente. D'un côté, elle comprenait, car elle savait que de vivre avec lui était un m******e, mais sauf qu'on ne doit pas faire ce genre d'acte. J'étais privé de téléphone pendant 1 mois. Cela ne permet pas de vite le récupérer. Comme on peut le voir, j'avais un téléphone dès 7 ans, tandis que ma sœur avait 13 ans et elle était en 4e.

-Les semaines passées chez notre mère étaient les semaines les plus cools et amusantes. On pouvait jouer, rigoler et s'amuser le plus possible sans contraintes. On en profitait le maximum, car ce sont des moments cours avant de retourner chez notre père inconscient. Ce n'était pas une personne qui fallait croiser tous les jours, car ce n'était pas une bonne personne.

-Pendant ce temps-là, après les vacances, nous retournons à l'école et ce n'était pas une partie de plaisir pour moi. Je n'avais aucun ami, personne ne m'aimait. Les élèves me laissaient seul sauf une personne avec qui je ne pouvais pas souvent la voir, car elle était externe. Je me sentais abandonné et triste. Cela m'a marqué et je m'en rappelle : j'étais assis chaque récréation devant une porte qui était jaune. Les élèves de ma classe ne me prenaient pas en compte. Je n'étais pas très apprécié pour eux, je n'étais qu'une sale m***e qui ne savait pas se défendre. Le professeur qui m'avait enseigné était vraiment formidable et adorable. Il disait à toute la classe que personne ne voulait jouer avec moi. Beaucoup de personnes levaient la main. Puis je me suis dit, c'est cool, je ne serais plus seul, sauf que c'était le contraire. On m'insultait et se moquait de moi. Là, seule fois où on m'a demandé de jouer avec les élèves. Il y avait toute ma classe qui jouait à un jeu qui s'appelait la balle aux prisonniers. Il restait deux personnes qui n'étaient pas touchées. J'ai couru et les élèves m'ont touché et tout le monde a rigolé. Je suis allé pleurer toutes les larmes de mon corps et je me suis assis à côté de la porte jaune. J'ai pris conscience que je ne servais à rien et que c'était trop tard pour me faire des amis. Toutes mes cours étaient très proches. Ils me disaient tous leurs secrets que je ne devais pas entendre. Puis, on faisait souvent du sport à l'école où il fallait choisir des coéquipiers. Malheureusement, j'étais toujours le dernier à être pris dans les groupes et les personnes étaient très déçues. ils disaient 《?? ??? ??? ??? 》ou bien 《 ????? ?????? 》. Cela fait tellement plaisir à entendre quand nous sommes un enfant avec un papa alcoolique, sans amis, avec la crainte de se faire insulter. Il fallait peut-être être musclé ou bien montrer qu'on est super fort pour avoir des amis ? Les questions que je me pose m'attristent et me font penser qu'il ne faut faire confiance à personne.

-Tandis qu'à ma sœur qui était déjà au collège et en route pour le lycée. Les cours se passaient très bien. Elle n'était pas forte du tout et son but était juste de bavarder dans les cours, car ça ne l'intéressait pas. Puis le brevet approchait et elle était sûre de ne pas l'avoir. Avant cela, en 4e, son institutrice lui a conseillé de faire sa troisième en lycée professionnel pour qu'elle ne soit pas en difficulté. Cela a plutôt bien fonctionné avec le brevet en poche. Elle s'est empressée de le dire à notre maman, car elle-même n'y croiait pas. C'était le début d'une réussite, car les années passèrent et elle s'améliorait de plus en plus. Au bout d'un an au lycée, elle voulait faire un cap petit enfance, car plus tard, elle voulait travailler avec des enfants en bas âge. Puis elle continuait et poursuivait les années qui défilèrent. Ensuite, son bac approchait et elle était super stressée, et cette fois-ci, elle avait révisé. Au final, elle a eu son bac sans mention, mais très contente.