Chapitre 1
1820
La fée Marianne était tombée amoureuse d'un humain, et il l'avait mis enceinte très rapidement, pour Marianne qui aimait son Romain, toute sa grossesse avait été faite de plaisirs et de bonheur, son aimé était aux petits soins pour elle qui portait avec joie son enfant.
1821
Arrivée au terme de sa grossesse, elle perdit les eaux en étendant du linge, elle appela son aimé :
- Romain, Romain le bébé arrive,
Romain courait et arriva auprès de Marianne complètement essoufflé,
- Que dois-je faire ma chérie ?
- Eh bien, appelle une sage-femme, il y en a une au village, tu dois aller la chercher !
Bien ma chérie, j'y vais, mais d'abord je t'installe dans le lit.
Il l'installa bien confortablement puis alla chercher la sage-femme.
Il court quasiment jusqu'au village, puis trouva la sage-femme, il lui dit qu'elle devait venir de toute urgence, que sa femme était en train d'accoucher.
Ils firent le chemin dans le sens inverse, seulement là, la sage-femme ne courait point, elle marchait, mais pour lui elle était trop lente, aussi il la pressa de marcher un peu pus vite.
Mais au bout d'un moment la sage-femme eut un point de côté et dit qu'elle n'en pouvait plus.
- On est encore loin ? Demanda-t-elle,
- Non il reste à peu près 200 m lui dit Romain,
- Je n'en peux plus, je suis incapable d'avancer dit-elle,
- Bon je vais vous porter, lui dit-elle.
Romain la porta, une fois dans ses bras, puis une fois sur son dos et réussit à arriver à sa maison avec la sage-femme.
Sa femme n'avait plus les yeux ouverts, la sage-femme l'ausculta et elle dit que le bébé se présentait mal, elle dit à Romain :
- Votre femme ne va pas très bien, je vais tenter de faire des manipulations pour que le bébé se présente par la tête et pas par le siège. Pendant ce temps, apportez-moi du linge, des serviettes bouillies.
- Elle commença à manipuler le ventre de Marianne, elle réussit à retourner le bébé pour qu'il passe par la tête.
Elle eut ensuite de violentes contractions, ce qui la réveilla,
- Je vois la tête du bébé dit la sage-femme, maintenant il faut pousser Marianne, allez poussez, poussiez, poussez, poussez, poussez stop, arrêtez de pousser c'est bien on relâche, on voit les épaules, encore un effort Marianne, on y va, poussez, poussiez poussez, poussez, poussez, stop. C'est presque fini, lui dit-elle, mais Marianne s'endormait.
Elle dit à Romain, réveillez-la et maintenez la éveillée s'il vous plaît.
Ils réussirent à la maintenir éveillée puis le bébé sortit enfin et ne pleurais pas, la tuile !
- C'est une fille dit la sage-femme puis elle l'entoura d'une serviette propre pour le nettoyer du liquide amniotique.
Ce qu'ils ne virent pas tout de suite, c'est que la mère n'était plus là, elle n'avait pas survécu à l'accouchement.
Quand on dit à Romain que sa femme n'était plus parce qu'elle avait perdu trop de sang et n'avait pas survécu, il était désemparé et se demandait comment il allait faire pour élever seul sa fille.
Mais il le fit bien, puisqu'il éleva seul sa fille de la meilleure manière qui soit, avec des valeurs, même si les années avaient passé elle ne ressemblaient pas les unes aux autres.
1839
18 ans avaient passé, Liona avait grandi et était devenue une jolie jeune fille.
Elle ne savait pas qu'elle avait des pouvoirs parce qu'ils ne s'étaient pas encore manifestés, mais elle était bel et bien une fée comme sa mère.
Un jour qu'elle rentrait de l'école et se promenait dans la forêt, elle rencontra un loup blanc avec un œil tacheté de noir, mais elle ne savait pas au début que ce loup était aussi un humain, il était devant elle et il lui parla et lui dit :
- N'aie pas peur jeune fille, attends un instant, alors Liona lui fit confiance et attendit et le loup devint un beau jeune homme, nu.
- Tu vois il ne fallait pas avoir peur jeune fille, mon nom est Gabriel LOCKWOOD, pour vous servir Mademoiselle.
Mais elle était gênée qu'il soit nu alors elle lui mit son châle dessus en attendant qu'on lui trouve des vêtements.
- Mon nom est Liona SWING dit-elle,
- Enchanté Liona,
- De même dit-il,
- Tu habites où jeune demoiselle ?
- Là-bas dans une cabane à 2 - 3 kms,
- Et toi ?
- A la meute de la côte du sud.
Gabriel proposa de la raccompagner, il se retransforma, les os craquants les uns après les autres, et il lui dit :
- Tiens monte sur mon dos, nous aurons vite fait de faire les kms qui te séparent de ta maison.
Puis, il gambada dans la forêt, Liona s'accrochant à sa crinière de loup.
En deux temps et trois mouvements, ils y étaient arrivés.
Seulement son père l'avait vu arriver et il avait un fusil, il lui dit :
- Éloigne-toi de lui, c'est un loup.
- Mais non papa dit elle c'est aussi un homme.
Malgré tout Gabriel s'écarta de Liona et lui dit :
- Au revoir jeune fille à bientôt.
Puis, il partit à toute jambe ou à toutes pattes et repartit dans la forêt.
Le père de Liona n'ayant pas eu le temps de le toucher.
- Allez rentre Liona.
Liona rentra fort déçue de l'attitude de son père,
Son père lui dit :
- Maintenant que tu as 18 ans, tu vas pouvoir aller à l'école des fées.
- L'école des fées, mais je n'en suis pas une.
- Mais si tu en es une, comme l'était ta mère,
- Bien et quand pourrais-je y aller ?
- Bientôt ma petite, bientôt !
- Tiens d'ailleurs à ce propos, j'ai un cadeau pur toi.
Liona regarda le paquet rectangulaire, ne voyant pas ce qu'il peut y avoir dedans.
Elle ouvrit le paquet délicatement et à l'intérieur, il y avait une baguette.
- C'est ta 1ère baguette de fée lui dit son père,
- Ah chouette dit-t-elle ! Je suis très contente, merci papa.
- De rien ma chérie.
C'était l'heure du dîner et elle le prépara tout en chantonnant.
Ensuite, ils mangèrent en silence.
Après le dîner elle alla faire un tour dans la forêt pour voir si elle trouvait son ami Gabriel, mais il n'était pas là, tout du moins pas encore.
Un ours qui cherchait probablement son dîner ne se tenait pas loin d'elle, elle eut peur.
Pendant ce temps dans la meute de la Côte du Sud, l'alpha Gabriel était en train de terminer de dîner, quand il sentit la peur de Liona dans ses entrailles, il sortit de la meute en se transformant, mais en mettant soin ses vêtements dans un polochon qu'il emmena, il se hâta d'aller jusqu'à l'endroit où se trouvait Liona, qui avait reculé, l'ours était prêt à faire mal à Liona quand Gabriel posa son polochon, et il arriva et lui sauta dessus.
- Éloigne-toi de lui, lui dit Gabriel.
Elle écouta son ami et se mit hors de portée de l'ours.
L'ours surprit par Gabriel se remit à quatre pattes et fila sans demander son reste.
Gabriel se mit prêt d'elle et lui dit :
- Que faisais-tu toute seule dans la forêt ?
- Je me promenais dit-elle,
- Tu ne crains donc rien ma jeune amie.
- Non à part cet ours qui ne trouvait pas à manger, s'il n'avait pas été affamé il ne m'aurait pas attaquée.
- Oui peut être dit-il,
- J'aime bien venir dans la forêt pour dessiner,
- Montre-moi tes croquis lui demanda-t-il, après s'être transformé puis habillé.
Elle lui passa son carnet de croquis, il y avait des arbres, des fleurs, des animaux croqués avec une telle dextérité, avec un tel œil, que c'était beau.
- Tu es douée, lui dit-il,
- Merci ça me fait plaisir.
Puis, ils marchèrent dans la forêt côte à côte, ils sentaient tous les deux, même s'ils ne voulaient pas se l'avouer, qu'il y avait une sorte d'électricité dans l'air une alchimie particulière.
Quand tout à coup Liona trébucha sur une souche, elle tomba en avant mais Gabriel était rapide et il l'attrapa au vol, tant et si bien qu'elle finit par se retrouver dans ses bras, avec leur visage à 5 cm l'un de l'autre, et inévitablement ce qui devait arriver arriva, ils s'embrassèrent très tendrement, leur b****r dura une éternité, on dirait qu'ils étaient soudés l'un à l'autre.
Et puis ils finirent quand même par se séparer, même si ce fut extrêmement dur de s'y résoudre.
Ils se regardèrent comme s'ils pouvaient voir l'un et l'autre leurs âmes à travers leurs yeux.
Quelqu'un n'a-t-il pas dit un jour que les yeux étaient le miroir de l'âme !
Finalement Liona était si bien avec Gabriel qu'elle avait envie de rester dans ses bras.
Même si elle le connaissait très peu, elle sentait qu'elle pouvait avoir une totale confiance en lui, elle se sentait en sécurité dans ses bras.
- Dis moi je peux te poser une question ? Demanda Liona,
- Oui bien sûr demande-moi ce que tu veux,
- Tu fais du sport ?
- Oui un peu dit-il, je m'entretiens, je fais des pompes, des abdominaux, un peu de musculation, pourquoi ?
- Parce que je te trouve musclé, je parie que tu as de superbes tablettes de chocolat, je me trompe ?
- Non tu ne te trompes pas.
Il souleva sa chemise et lui montra ses fameux abdominaux.
Elle éprouva tout d'un coup une irrésistible envie de les toucher , ce qu'elle fit instantanément.
Il fut surpris, mais il la laissa faire, surtout qu'il appréciait beaucoup qu'elle le touche.
Puis tout à coup elle retira spontanément sa main et lui dit :
- La nuit commence à tomber je ferais mieux de rentrer.
- Ok, je te raccompagne.
Alors il la raccompagna, mais au moment où ils atteignirent la maison de son père, ils entendirent un coup de feu, ils pressèrent le pas, puis ils rentrèrent dans la maison, son père était allongé sur le sol, mourant, avec une balle en pleine poitrine.
Elle s'accroupit et dit
- Papa, papa que t'est-il arrivé, qui t'a tiré dessus ?
Puis son père dit quand il vit que Gabriel était là :
Gabriel s'agenouilla :
- Oui, je vous écoute,
- Promettez-moi de vous occuper d'elle et de la traiter dignement !
- Bien sûr, je vous le promets, dit Gabriel,
- Ma chérie, ne t'en fais pas, c'était mon heure, c'est tout, accepte-le,
Tout en lui disant ces paroles, elle pleurait à chaudes larmes,
- Je t'aime papa, sois en paix,
Puis il mourut.
Puis Gabriel dit à Liona :
- Je te souhaite mes condoléances les plus sincères dit-il,
- Merci Gabriel dit-elle,
- On ferait mieux d'y aller maintenant tant qu'il fait encore un peu jour. On reviendra demain pour l'enterrer.
- D'accord répondit-elle.
Ils fermèrent bien la porte et ils s'en allèrent.
- Aller je vais me transformer et tu monteras sur mon dos, comme cela nous irons plus vite.
On entendit les os craquer les uns après les autres, puis les poils se dresser, et enfin il se mit à quatre pattes pour achever la transformation.
- Allez grimpe,
Puis, ils firent la dizaine de kilomètres qui les séparaient de la Meute de la Lune Blanche.
Heureusement une fois arrivée ils ne rencontrèrent que les gardes à l'entrée.
- Bonsoir Alpha Lockwood, qui est cette demoiselle ?
- Cette personne est avec, moi dit-il.
- Ok bonne nuit Alpha Lockwood, et ils firent une révérence. Liona était tellement dans ses pensées qu'elle n'avait rien remarqué, et c'est tant mieux, car il ne tenait pas plus que ça à lui expliquer tout ça maintenant.
Il alla jusqu'à la maison de la meute et se hâta en espérant ne rencontrer personne. Il dit à Liona, voilà ton nouveau chez-toi, tiens prend une chaise et assieds-toi
Liona s'assit volontiers :
- Que t'as dit mon père avant de mourir ?
- En gros que je m'occupe de toi dorénavant et que je te traite avec respect.
- Ah ok dit-elle, il ne t’a rien dit d'autre ?
- Non je te le promets,
- Je te crois Gabriel,
- Il va falloir que je fasse ma petite enquête pour savoir qui a tué mon père,
- Et je t'y aiderai Liona, mes avant tout je te dois toute la vérité sur moi.
- Quoi donc ?
- Je suis l'alpha Gabriel Lockwood et tu es ici sur le terrain de la meute de la Lune Blanche.
- Qu'est-ce qu'un Alpha ?
- Tu ne sais pas ?
- Non pas du tout.
- Je suis en fait le roi de la meute, celui qui à tout pouvoir sur chacune des personnes de la meute, enfin de loups-garous qui vivent dans cette meute.
- Tu veux dire que vous êtes tous des loups-garous ?
- Presque il n'y a que quelques humains, mais ils ne vivent pas ici, ils y travaillent, ce sont les journalistes, car il a un journal de la Meute de la Côte du Sud.
Et c'est pour cela que les gardes à l'entrée m'ont fait une révérence.
- Ah bon, je n'avais pas remarqué, j'étais perdue dans mes pensées, je pensai à ce qu'a dit mon père avant de mourir. Figure-toi que je te dois la vérité sur moi aussi dit Liona.
- Ah sur quoi au juste ?
- Eh bien sur moi, je suis une fée Gabriel, ce n'est pas facile à expliquer, car moi je ne l'ai appris qu'avant-hier ou hier je ne me souviens plus. Mais je voulais être honnête avec toi comme tu l'as fait pour moi. Tu sais mon père m'a dit que je devrais bientôt aller à l'école des fées, mais je ne sais pas quand c'est, et surtout où c'est.
- Moi j'ai peut-être une idée pour découvrir où et quand c'est,
- Ah bon je t'écoute,
- Eh bien à la maison de la meute, nous avons un devin, il sait pas mal de choses sur les personnes surnaturelles, comme toi, nous irons le voir demain dit Gabriel.
- Là, il est tard jeune fille, nous allons manger quelque chose et après nous verrons.
- Ok Gabriel, ça tombe bien je meurs de faim.
- Au moins tu ne te laisses pas abattre c'est bien !
Ils allèrent jusqu'à la cantine, il y avait encore une personne, Glenda.
- Ma petite Glenda que reste-t-il à manger ce soir, nous mourrons de faim.
- Ça vous dirait une omelette aux cèpes avec une salade,
- Oh oui volontiers ! dirent ils en même temps.
Glenda leur fit l'omelette bien baveuse comme la préfère Gabriel, il restait de la crème brûlée en dessert, qu'ils engloutirent aussi vite qu'elle leur avait été apportée.
- Bon merci pur tout Glenda, c'était fameux comme d'habitude.
- Oh oui Mme Glenda c'était très bon,
- Tu peux m'appeler Glenda sans Madame jeune file,
- Bien Madame... euh Glenda,
- Bonne soirée dit Gabriel,
- Vous aussi dit Glenda.
Et Gabriel fort content, c'est fendu d'un large sourire, qui étonna fort Glenda, qu'elle se dit, il y avait longtemps que je ne l'avais pas vu sourire, surtout depuis la mort de son bêta Jérémy, c'était il y a une éternité, se dit-elle.
Liona et Gabriel retournèrent dans leurs chambres, Gabriel montra à Liona où elle allait dormir, c'était la porte juste à côté de la sienne, comme ça si elle avait le moindre souci il pourrait intervenir vite !
Il lui dit bonne nuit et elle en fit de même en lui faisant une bise sur la joue gauche, tout près de ses lèvres. Il rougit jusqu'aux oreilles et rentra dans sa chambre pour qu'elle ne le voie pas.
Le lendemain matin Gabriel se réveilla en premier il alla voir si tout allait bien pour sa protégée, il était 9 h, il frappa à la porte de Liona :
- C'est moi Gabriel, Liona tu es réveillée ?
La porte s'ouvrit sur Liona qui était fraîche et dispos ! manifestement elle était prête.
- Comment tu vas ? Demanda Gabriel, tu as bien dormi ?
- Oui répondit-elle, et toi ?
- Oui très bien ! On va prendre le petit déjeuner ?
- Oui je te suis dit-elle.
Ils prirent le long couloir et descendirent au rez-de-chaussée pour aller à la cantine.
Ils y allèrent et marchèrent tout droit jusqu'au bâtiment carré au milieu de la meute.
Arrivés à la cantine, là ils s'attablèrent et prirent des croissants avec de la confiture, de la brioche et du pain frais avec du beurre. Ils mangèrent d'un bon appétit.
Une fois qu'ils eurent terminé, Gabriel lui dit :
- On va voir le devin ?
- Ok répond Liona.
- Elle habite dans une cabane à l'entrée de la meute dit Gabriel.
Puis, ils marchèrent jusqu'à la cabane en voit de Devlin le devin, quand ils arrivèrent, ils frappèrent à la porte,
- Entrez dit une voix de femme
Liona qui croyait que Devlin était un homme.
- Bonjour Devlin c'est Gabriel, et je te présente Liona,
- Bonjour Devlin dit Liona.
- Nous venons pour te demander une petite chose ou deux demanda Gabriel.
- C'est pour la jeune demoiselle, nous voudrions savoir quand commence l'école des fées, où elle se trouve, ce qu'il faut faire pour y accéder, et combien de temps ça dure ?
- Parce que c'est une fée ?
- Oui dit Liona, ma mère était la fée Marianne et c'est héréditaire.
- J'ai connu ta mère dit Devlin, c'était une personne et une fée admirable.
- Merci pour le coup ça me fait plaisir dit-elle,
- Bon je vais vous dire ça dans un instant. Je regarde s'il me reste du tabac à pipe. Oui ça va il m'en reste, je vais pouvoir obtenir des réponses.
Elle prit du tabac à pipe dans un petit récipient puis elle en versa une partie sur une table et le fit flamber.
- Alors oui je vois une école de fée qui commencerait le 15 mai, elle va trouver l'entrée aux abords de la forêt à côté d'un buisson couleur argent et près d'un chêne, la porte s'ouvre grâce à votre baguette magique.
Elle pourra y accéder quand ses pouvoirs se déclareront à 18 ans et 2 mois, et pour terminer l'école des fées dure 5 ans.
- Quel âge as tu Liona ?
- dix-huit ans et un mois et demi,
- Ce qui veut dire que tes pouvoirs ne vont pas tarder à se débloquer dit Devlin.
- Nous sommes en avril le 25, ce qui veut dire que c'est dans 15 jours environ dit Liona. Il faut que je récupère ma baguette magique, mon père m'en avait offert une, un mois après mon anniversaire, elle a dû rester là-bas chez moi.
- Ne t'inquiète pas dit Gabriel, nos allons la chercher. Nous te remercions pour toutes ces informations Devlin.
- Oui merci beaucoup dit Liona, ça nous aide beaucoup.
Ils sortirent de chez Devlin, Liona demanda à Gabriel :
- Est-ce que nous pouvons aller chercher ma baguette maintenant ?
- Bien sûr, nous pouvons y aller, mais n'y allons pas seuls, dit-il, je vais amener mon bêta Louis Grimbert et un autre de nos meilleurs éléments mon Thêta Pierre Boulin.
Ils allèrent à son bureau, puis Gabriel passa un coup de fil à son bêta pour lui demander de venir et qu'il amène Pierre avec lui.
Au bout de trente minutes, Louis et Pierre frappèrent à la porte du bureau.
- Entrez dit Gabriel.
Louis et Pierre rentrèrent dans le bureau.
- Louis et Pierre, je vous présente Liona qui je tiens beaucoup, je voudrais que vous la défendiez au péril de votre vie comme si c'était moi.
Je veux que vous nous accompagniez pur chercher un objet précieux à l'ancienne maison de Liona peu après la forêt de Domania.
Son père ayant été tué dans des circonstances très mystérieuses, il est possible que les gens qui l'ont tué cherchaient quelque chose, il est donc possible qu'ils reviennent aujourd'hui, c'est pour cette raison que nous allons y aller à trois, ça devrait pouvoir le faire.
- C'est compris Louis et Pierre ?
- Oui mon alpha répondirent ils en chœur.
- Bien, êtes-vous prêts ?
- Oui mon alpha répondirent ils.
- Alors on y va.