Nos quatre amis prennent la route, ils arrivent peu après à l'entrée de la meute de la Lune Blanche qu'ils passent sans problème.
Au bout de quinze à vingt minutes ils commencent à traverser la forêt de Domania,
- Comment vous êtes vous rencontrés ? Demanda Louis à Gabriel,
- Ça ne te regarde pas dit Gabriel,
- Ce n'est pas une affaire d'État dit Liona, nous nous sommes rencontrés dans la forêt la semaine dernière.
- Ok dit Lois, vous vous connaissez très peu.
- Où veux-tu en venir Louis ? Demanda Gabriel,
- Nulle part dit Louis je posais juste quelques questions comme ça pour faire la conversation,
- J'en doute dit Gabriel, tu cherches toujours à connaître ton intérêt Louis, que je ne t'y prenne plus.
- Il faut que tu comprennes que tu n'as pas à te rencarder sur ma vie privée, pigé ?
- Oui, dit Louis comme tu veux mon Alpha,
- Ne te mêle pas de ce qui ne te regarde pas dit Pierre.
Ils avaient maintenant dépassé la forêt de Domania, ils marchaient tout droit en direction de la cabane de Liona.
- On est encore loin demanda Pierre ?
- Non dit Liona, elle est juste derrière le bosquet qu'on voit au loin.
Ils arrivaient en vue de la cabane.
- Louis tu vas faire le guet à l'extérieur tandis que nous irons dans la maison.
- Ok mon Alpha !
Ils rentrèrent dans la cabane, Liona s'attendait à voir le corps de son père, seulement il n'y était plus, la maison était sans dessus dessous, comme s'ils avaient cherché quelque chose qu'il n'ont pas trouvé. Elle se disait que certainement les hommes qui l'avaient tué étaient revenus le chercher pour que les soupçons ne pèsent pas sur eux.
Puis, elle s'est mise en tête de chercher la baguette, elle a regardé partout, mais au niveau du sol, se dit-elle, aussi s'est elle mis à quatre pattes pour regarder sous les meubles, et finalement elle l'a trouvé sous le meuble à vaisselle, encore dans son écrin, mais il y avait quelques chose d'autre, un morceau de papier mis en boule.
Elle le montra à Gabriel, qui était fort content qu'elle l'ait trouvé, mais elle lui montra aussi le papier qu'il déplia et il avait trois noms dessus : Léopold SING, Martin PISCHER, José PINT, ces noms lui étaient vaguement familiers, mais elle ne saurait dire pourquoi.
- Tu sais j'ai un pressentiment que ce papier avec ces noms dessus ont une importance capitale, il faut absolument les garder, mon instinct ne me trompe jamais dit Gabriel.
- Je suis d'accord Liona ne t'inquiète pas on va le garder et le mettre en lieu sûr, au cas où il ait quelque chose à voir avec les meurtriers de ton père, ce que je crois être la vérité, car sinon pourquoi auraient ils cherché et mis tout sans dessus dessous.
- Bon, je vais aller prendre quelques affaires et ensuite nous pourrons y aller.
Elle fit toutes les pièces de la maison et rassembla quelques affaires importantes pour elle, y compris des vêtements, mais une fois rassemblés, cela faisait beaucoup trop de choses, elle en parla à Gabriel qui lui dit :
- Nous allons tous prendre, mais pas tout le même jour, nous n'allons prendre que le principal le plus urgent.
Il eut la bonne idée de les planquer sous un buisson dans la forêt â coté d'un arbre où nous mettrions une croix, seulement ça supposait de faire quelques allers et retours ; ce qui n'était pas grave en soi.
Alors, ils commencèrent par en faire un puis deux puis trois mais à huit bras, ce fut vite fait, mais lors du dernier voyage trois hommes armés jusqu'aux dents firent leur apparition.
Ils commencèrent par nous poser des tas de questions, du genre : qui nous étions, ce que nous faisions là, nous avons répondu à quelques-unes d'entre elles que nous jugions anodines et futiles.
Mais quand les questions devinrent insistantes alors là, nous avons arrêté de répondre, simplement ces messieurs n'étaient pas contents du tout, aussi ils nous mirent en joue, seulement là Gabriel, Louis et Pierre se sont transformés à la vitesse de l'éclair et une fois loup, leur sautèrent dessus sans aucune pitié, une fois les humains à leur merci, cela a été notre tour de poser des questions.
Nous leur demandâmes leurs noms et prénoms, et comme il s'agissait des trois noms sur le bout de papier trouvé, nous trouvâmes de quoi les attacher et nous les emmenâmes avec nous.
Comme me l'expliqua Gabriel, les loups-garous avait des techniques bien particulières pour les interroger, et aussi ils préféraient le faire à la meute.
Sur ce ils partirent tous les sept à destination de la meute, quand ils atteignirent enfin les portes de la meute, Gabriel aboya des ordres à destination des gardes à l'entrée et apparut cinq minutes plus tard d'autres loups de la meute qui nous prirent les prisonniers.
C'était l'heure du déjeuner aussi nous sommes allés directement à la cantine où il y avait de la paëlla à manger.
Nous, nous attablèrent tous les quatre et mangèrent cette succulente paëlla, de temps en temps, nous échangeâmes quelques mots. Nous prîmes ensuite le café sur la terrasse, car aujourd'hui il faisait un temps magnifique de printemps.
Ensuite dès que nous eûmes terminés note café, nous nous dirigeâmes vers le bâtiment de la prison ou Gabriel avait l'intention d'interroger les trois hommes que nous avions amenés.
Gabriel était dans une salle d'interrogatoire avec l'un des hommes Martin PISCHER, et il commença à lui poser des questions, moi je regardais l'interrogatoire depuis une petite salle à l'extérieur ou il y avait une glace sans tain,
- Que faisiez-vous il y a deux jours en fin d'après midi ?
- J'étais à la chasse répondit Martin,
- Seul ou accompagné ?.
- Accompagné de José et Léopold,
- Parfait, nous allons voir ça,
- Sinon que faisiez-vous à la maison des SWING toujours en fin d'après-midi (il y allait au bluff pour voir s'il se dévoilait),
- Nous y étions allés pour faire des affaires avec Mr SWING,
- Ce n'est pas cohérent ce que vous me dites un moment vous êtes à la chasse et l'instant d'après vous êtes chez Mr SWING, vous étiez où véritablement alors ?
- Chez Mr SWING,
- Quel genre d'affaires deviez-vous faire avec Mr Swing ?
- Il voulait nous embaucher pour l'aider à cultiver ses fruits.
- Et l'avez-vous vu ?
- Oui nous avons même beaucoup discuté,
- Et avez-vous réussi à faire affaire,
- Oui, nous sommes censés y aller lundi pour commencer à cultiver ses fruits.
- Êtes-vous responsable de sa mort d'une manière ou d'une autre ?
L'homme, Martin PISCHER nous regarde tour à tour moi, Louis et Pierre d'une drôle de façon,
- Comment ça que voulez-vous dire ?
- L'avez-vous tué lui demanda Gabriel dans les yeux,
- Euh... Non ce n'est pas moi, c'est...
- C'est qui ?
- Heu... c'est Léopold.
Martin fut surpris d'avoir dit la vérité, ce qu'il ne savait pas, c'était que Gabriel avait le pouvoir de faire dire la vérité à n'importe qui.
- Ok, ce sera tout pur le moment, remettez le en cellule, dit-il à Louis et Pierre, et ramenez-moi José PINT.
Ils l'amenèrent dans la salle d'interrogatoire.
- José que faisiez-vous il y a 2 jours en fin d'après midi ?
- Nous chassions avec Léopold et Martin,
- Que faisiez-vous à la maison des SWING après la chasse ?
- Nous devions parler à Mr SWING,
- Pour quelle raison ? Demanda Gabriel,
- Il devait nous embaucher pour cultiver son jardin !
Ils avaient apparemment un discours bien rodé, ils avaient dû se concerter pour dire la même chose tous les trois et s'y tenir, mais c'était sans compter sur le pouvoir de Gabriel.
- Avez-vous réussi à faire affaire avec Mr SWING ?
- Non il ne voulait pas nous payer assez.
- Et alors que s'est-il passé ?
Gabriel regarda droit dans les yeux de José pour qu'il dise la vérité.
- Très vite le ton est monté, Léopold s'est énervé et il lui a tiré dessus.
- Non mais pourquoi j'ai dit la vérité, ce n'est pas normal !
- Si dit Gabriel, le secret était trop lourd à porter !
- Bien, remettez le en cellule et allez me cherchez Léopold SING.
Ils incarcérèrent José et ramenèrent Léopold.
- Léopold que faisiez-vous chez les SWING il y a 2 jours.
- Nous étions allés chez lui, car il devait nous embaucher pour cultiver ses fruits.
- Et que s'est-il passé ?
- Eh bien, tout allait bien, mais quand il nous a dit qu'il nous donnait un salaire de misère, je n'étais pas d'accord,
- Et qu'avez-vous fait ?
- Le ton est monté, mais il ne vouait rien entendre alors j'en ai eu marre, j'ai perdu mon sang froid, et j'ai tiré sur lui d'une balle en pleine poitrine.
Mais ça ne va pas la tête, comment avez-vous réussi à me faire dire ça ?
- C'est vous qui l'avez dit spontanément.
- Ah bon ?
- Eh oui, seulement maintenant vous allez tout droit en prison pour longtemps pour meurtre, et vos amis messieurs PINT & PISCHER de la prison pour complicité de meurtre.
Liona était derrière la vitre sans tain de l'autre côté et elle avait tout entendu.
Elle était soulagée qu'en 2 jours à peine ils avaient réussi à trouver l'assassin de son père et le faire avouer.
- Ramenez Léopold en cellule dit Gabriel à Louis et à Pierre.
Liona alla voir Gabriel et le remercia du fond du cœur pour avoir trouvé, puis fait avouer l'assassin de son père.
- Au fait comment avez-vous réussi le tour de force de lui faire avouer ?
- Les gens quand ils me regardent sont obligés de me dire la vérité avoua Gabriel.
- Écoutez je ne le dis qu'à vous, mais ne le répétez pas à qui que ce soit, j'ai un don, quand ils me regardent ils sont obligés de dire la vérité, c'est pratique non ?
- Bon Liona, je souhaiterais te montrer ce qu'est la meute de la Lune Blanche, tu veux bien m'accompagner.
- Oui, bien sûr.
Ils marchèrent un peu :
- Ça à gauche, c'est le magasin de vêtements, et puis à droite, c'est le magasin d'armes, et ce grand bâtiment gris au milieu, c'est l'hôpital.
Ils firent quelques pas et ils rentrèrent dans un bâtiment où il y avait des hommes qui se battaient.
- Ça, c'est notre salle d’entraînement, si on s'asseyait un peu,
- C'est impressionnant de les voir se battre,
- Nous sommes obligés de nous entraîner régulièrement pour toujours être au top !
Un de ses hommes accourut vers lui :
- Alpha, Solène a disparu on ne sait pas où elle est.
- Ah bon, mais depuis quand vous ne l'avez pas vue ?
- Depuis hier soir à la veillée.
- Vous vous inquiétez sûrement pur rein, elle est sûrement dans un coin à cuver sa bière !
- Néanmoins prend deux hommes avec toit et fouillez toute la meute.
- Ok mon alpha,
- Dis-moi Liona, ça te dirait que je t'entraîne ?
- Pourquoi pas dit-elle ça peut être intéressant et comme ça je pourrai me défendre !
- Ok alors on commence demain.
Ils continuèrent à marcher, et il dit :
- Tu vois ce bâtiment devant nous, c'est l'arsenal, tu pourras venir chercher toute arme que tu souhaites.
- Ah bon, merci beaucoup, j'avoue que ça ne sera pas inutile dans un premier temps.
- Et là juste à gauche tu as le lavoir,
- Un peu plus loin tu as la salle de jeux/
Ils ont fait quelques pas de plus.
- Là tu as la salle de couture, ou on coût nos vêtements,
- Puis là sur main droite tu as la bibliothèque,
- Et là au fond tu as le haras avec les chevaux ! Tiens ça te dirait une ballade à cheval ?
- Oui j'aimerais beaucoup dit-elle,
- Avant cela je tenais à te montrer notre hôpital où il y a une guérisseuse avec une infirmière.
Je vais te présenter la première,
- Victoria je te présente Liona ma protégée,
- Bonjour Victoria dit Liona,
- Ton prénom est charmant jeune file, si tu as quelques soucis de santé, que ce soit n'importe quoi, mal au ventre, à la tête ou autre, c'est moi qu'il faut venir voir dit-elle.
- Ok, c'est noté Victoria, merci,
- Bon si nous allions faire cette balade à cheval dit Gabriel,
- Oui on y va, dit-elle, au revoir Victoria,
- Au revoir Victoria et Gabriel.
Ils allèrent tout droit vers le haras, ils rencontrèrent Paul le palefrenier qui s'occupait si bien des chevaux dit Gabriel.
- Bonjour Paul nous souhaitons deux chevaux calmes pour faire une balade.
- Ok, je vais vous faire monter Désirée et Perciflor ce sont la crème des crèmes.
- Il prépara les chevaux et les selles.
- Liona prendrait Perciflor tandis que Gabriel prendrait Desirée.
Ils étaient prêts à monter quand un de ses hommes Vincent, qu'il avait envoyé chercher Solène, la jeune fille disparue, revenait de sa ronde dans toute la meute.
- Alors Vincent quelles nouvelles ?
- Pas bonnes je le crains mon Alpha, nous n'avons pas trouvé Solène,
- Bien, alors prend plus d'hommes et allez faire un tour à l'extérieur sans dépasser les trente kilomètres, à mon avis, elle n'a pas dû aller bien loin.
- Parfait, mon Alpha nous allons y aller avec nos hommes,
- Et surtout vient me voir dès que tu rentres de la recherche Vincent,
- Oui, bien sûr mon Alpha,
- Puis Gabriel aida Liona à monter sur le cheval, puis à son tour il se mit en selle.
- Pendant notre balade, nous allons ouvrir l'œil pour voir si on ne voit pas Solène,
- Ok Gabriel, c'est une bonne idée.
Ils commencèrent doucement au trot puis arrivée à l'entrée, il salua les gardes et leur dit que nous serons de retour d'ici à 2 h environ.
Une fois à l'extérieur de la meute, nous allions à une allure un peu plus rapide, à la limite du galop, nous avons pris des sentiers pleins d'herbacées, qui menaient tout droit à la forêt de Domania.
Quand tout à coup Gabriel arrêta brutalement son cheval, et Liona en fit de même.
Gabriel descendit de Désirée, car il avait vu un châle couleur orange qui était dans un buisson.
- C'est le châle que portait Solène l'autre soir la dernière fois qu'elle a été vue.
- Ah bon, tu en es sûr ? Demanda Liona,
- Certain, répondit-il.
Puis, il remonta en selle et ils continuèrent sur le chemin pour voir s'ils trouvaient d'autres indices du passage de Solène.
Et aux abords d'une grotte, ils trouvèrent une chaussure qui apparemment appartenait aussi à Solène, Gabriel du coup ne savait que faire.
- Il décida d'aller dans la grotte, tout au fond de cette grotte, ils trouvèrent Solène endormie dans une cellule, ils essayèrent de la réveiller, elle avait maigri et était méconnaissable.
- Solène, Solène, c'est Gabriel réveille-toi, il lui jeta des petits cailloux, mais cela ne lui fit rien. Il regarda tout autour de la pièce s'il pouvait trouver quelque chose pour l'atteindre, mais il n'y avait rien.
Il était décidé à aller dehors chercher un bout de bois assez long pur l'atteindre quand ils entendirent des voix qui se rapprochaient.
Il n'y avait pas un seul endroit pour se cacher, alors Gabriel se décida à les affronter qui que ce soit.
Les brigands apparurent et dirent :
- Qui êtes-vous, que faîtes vous là ?
- Je vous retourne la question, qui êtes-vous et pourquoi vous détenez prisonnière une des filles de ma meute.
- Pourquoi vous êtes qui ?
- Je suis l'alpha Gabriel de la meute de la Lune Blanche !
- Ah ! L'Alpha un gros poisson puis il se rua sur lui. Gabriel se transforma instantanément, ses os craquèrent les uns après les autres et il devint loup en un instant, le brigand apeuré recula, Gabriel lu sauta dessus à son tour et lui déchiqueta le bras droit, les autres brigands voyant ça détalèrent comme des lapins, seulement Liona je ne sais comment les retint en les figeant, elle chercha les clés de la prison, chercha à l'ouvrir pendant que Gabriel s'occupait du chef.
Elle ouvrit la cage et se précipita auprès de Solène qui finit par se réveiller sous les douces caresses de Liona.
Et quand elle la vit elle se jeta dans ses bras, Gabriel en avait fini avec le brigand il était mort sous ses coups, aussi il vint la trouver,
- Que se passe t'il Solène ? Pourquoi es-tu là ?
- Eh bien, l'autre soir, j'étais saoule et je me suis retrouvée sur le campement de ces brigands, je ne sais pas comment, ils m'ont...
- Quoi ils t'ont... fait quoi ?
- Ils m'ont... euh... violée Gabriel, ils ont profité de moi toute la nuit et après ils m'ont enfermée, elle en pleurait.
- Il y en a un qui est mort, dit-il, mais il faut que les trois autres paient aussi, il trouva de la corde et les attacha tous les trois ensembles, puis ils se réveillèrent de leur torpeur, ils virent qu'ils étaient attachés, du coup, ils n'en menaient pas larges.
Gabriel dit :
- Je sais maintenant ce que vous avez fait à cette jeune fille, vous allez tous mourir pour ce que vous lui avez fait. Alors maintenant, je vous emmène à la meute pour y être jugé dit-il.
Il les mit devant les chevaux, eux étaient à pied, et Gabriel et Liona à cheval.
- Espèce de bougre d'âne, pourquoi as-tu voulu revenir ici pour t'occuper d'elle à nouveau dit le brigand à la dépouille de l'homme mort, on est dans de beaux draps maintenant !
Ils arrivèrent au bout d'un moment en vue de la meute, Gabriel dit aux gardes à l'entrée :
- Allez me chercher Louis et Pierre.
Un des gardes ne discuta pas et alla chercher Louis et Pierre.
Ils arrivèrent, et Gabriel leur dit
- Mettez-moi ces vermines en prison, quant à nous, nous allons d'abord voir Glenda qu'elle te trouve à manger et ensuite nous t'emmènerons voir Victoria à l'hôpital.
- Mais...
- Il n'y a pas de mais qui tienne, tu iras voir Victoria Solène !
Nous étions en fin d'après-midi et finalement, c'était l'heure du dîner, il était déjà 19h00, donc nous nous sommes attablés Liona et moi pour le dîner.
Menu du jour : Carottes râpées et saucisson de montagne avec Noix de veau farcie et gratin de pommes de terre.
Une fois le dîner terminé, nous amenâmes Solène voir Victoria à l'hôpital.
Ah et puis Gabriel chercha Louis et Pierre pour leur dire deux mots en ce qui concerne les brigands.
Une fois trouvés il leur expliqua ce que les brigands avaient fait à Solène, et que maintenant la meute allait les juger pour ce crime impardonnable.
Après-demain se tiendra le tribunal pour jugements des brigands à 9h30.
- Ok dirent Louis et Pierre, nous nous chargeons de les convoquer.
- Parfait dit Gabriel, je n'ai plus besoin de vous,
- Merci mon Alpha bonne soirée.
Liona et Gabriel se retrouvèrent seuls, Gabriel demanda à Liona :
- Que s'est-il passé dans la grotte, comment as-tu réussi à figer ces trois individus ?
- Je ne sais pas, j'étais en train de vouloir te dire qu'ils s'enfuyaient en les montrant du doigt, et j'ai pensé très fort, il ne faut pas qu'ils s'en aillent, et là tout d'un coup, ils se sont figés.
- Ça veut dire que tes pouvoirs se sont débloqués ça !
- Oui, sûrement dit Liona. Mais ça m'étonne, car je n'avais pas ma baguette magique avec moi.
- Eh bien, sûrement que tu n'en avais pas besoin dit Gabriel
- Il faut croire dit Liona.
- Demain est un grand jour dit Gabriel, nous jugeons les hommes qui ont tué ton père.
- Parfait tant mieux, je serais soulagée dit-elle.
À cet instant, ils étaient tous deux affalés sur un vieux canapé sur la terrasse, la journée avait été longue et ils étaient tous deux fatigués, si bien qu'en parlant, ils finirent par s'endormir dans les bras l'un de l'autre.
Glenda les trouva là tous les deux, et leur mit une couverture sur eux, pour qu'ils n'attrapent pas froid.