Partie 8

3609 Words
Avant tout je vous demande de m'excuser du retard, j'attendais la correction de la partie....BONNE LECTURE. Rappel pour la partie précédente Il s'était réveillé tôt le matin, comme la plupart des jours précédents, pour préparer la prière du Fajr, habillé de son jellaba de couleur blanche. Il avait réveillé ses petits frères afin qu'ils se préparent eux aussi pour aller à l'école. Après ceci, il s'est dirigé vers son père pour le saluer et discuter un peu avec lui et comme d'habitude Père Saliou lui a donné de bons conseils, surtout concernant sa relation avec Ndack qu'il tenait à officialiser. Lors de cette dite discussion il remarqua que les pieds de son vieux père avaient enflées parce que sa pommade était finie. Mais il avait tout fait dans la journée pour en acheter d'autresaprès avoir donné à ses frères leurs argent de poche et le transport. Il avait presque oublié que Ndack lui avait donné un rendez-vous, et en arrivant à l'entreprise il avait quelques minutes de retard par faute d'avoir dormi entre temps. Le but de ce rendez-vous était que Ndack voulait lui donner le poste de superviseur, il avait refusé au début mais avec la détermination de sa copine il avait fini par accepter. Des heures après le départ de Mouha, Kadia la meilleure amie de Ndack s'était rendue à l'entreprise histoire de la voir. Elle profite de l'occasion et lui conseille de quitter Mouha prétextant que ce dernier n'allait rien lui apporter mais heureusement que Ndack avait la maturité de la stopper. *Buur bih dafaa bind téi yamaléiwoul, waxtou binga xamni gnéine gni gnongi xeip lileinn Buur bih djagléil gnéinéine gni niongi santt akk lou néiw lign leign mayy* PDV de Clauvice: "Enfin j'ai pu me libérer, je suis épuisé comme pas possible en plus je n'ai pu accomplir les deux dernières prières de la journée" dis-je une fois dans ma voiture. Le dîner de Gala que je devais organiser venait tout juste de terminer, je n'avais pas pu partir car je devais m'assurer que tout était bien fait afin que celà puisse se passer à merveille. L'événement avait commencé tard ce qui m'avait obligé d'attendre jusqu'à la fin, malgré le nombre de traiteurs qui existent dans le pays je suis le seul qu'on avait appelé pour bien gérer, je n'avais pas droit à l'erreur et al-hamdoulillah je m'en suis bien sorti avec mon équipe. C'est avec un grand plaisir que la soirée s'est terminée, et c'était une réussite pour mes mon et moi. Ça nous avait pris des jours de durs labeurs. C'est vers 02h du matin que le dîner s'est terminée et comme on devait tout prendre en charge, tout le personnel était là. Après celà on rangeait nos affaires afin de partir vue que nous avons accompli notre objectif, de plus les invités étaient contents de ce qu'on leur avait préparé. Beaucoup d'Hommes d'affaires qui étaient invités nous on demandé nos cartes. On donnait nos coordonnées avec plaisir mais à la fin on en avait plus, tellement que y'avait trop de demande. Après tout ce soit terminé en beauté je pars dehors pour m'assurer que mes employés avaient rejoint le bus dédié au personnel. J'étais le dernier à partir parce que c'est le travail qui les avait retenus ici et que je suis leur patron, ils sont sous ma responsabilité. Beaucoup de femmes sont mariées et c'est un peu difficile si tu n'as pas un mari compréhensif, la plupart d'entre elles m'ont présenté à leurs maris et ces derniers ont fini par devenir mes amis et ils me font tous confiance. Comme j'étais exténué, j'avais  demandé à Balla, le chauffeur de Tata Kathy de venir me prendre vu que j'était pas en mesure de conduire, de plus, il habite à la maison il ne rentre que les dimanches. Serviable comme lui j'en connais peu en plus il est comme un ami, dans ce genre de situation il vient me récupérer sans problème. J'ai une faim de loup, j'étais trop occupé à vouloir tout rendre parfait que j'ai moi-même oublié ma propre personne. Pour ne pas m'ennuyer j'avais allumé mes données mobiles pour un peu surfer sur f*******: et comme d'habitude j'y trouve des tonnes de messages. Les uns complimentaient mon travail, d'autres voulaient savoir comment faire pour adhérer chez nous. Mais je défilais en répondant juste à quelques-uns de ces messages vu que je ne pouvais pas répondre tout. D'un coup j'ai aperçu le message d'une fille qui me remerciait des conseils que je lui avais donné. Spontanément, j'étais perdu car je ne savais pas de quoi elle parlait mais plus je lisais son message et plus je me retrouvais. C'était du poste  anonyme que j'avais lu dans un groupe privé sur f*******:. Elle disait avoir une déception amoureuse, larguée par son copain alors qu'elle venait tout juste de découvrir qu'elle était atteinte de cancer des os. De plus son message a duré quatre jours, oh mince!! Voilà ce qui arrive lorsqu'on est pas trop fan des réseaux sociaux, je n'y entre que rarement. J'ai constaté qu'elle me remerciait et qu'à travers mon commentaire elle avait su se relever pour vivre à merveille ses derniers jours sur terre sans oublier d'exceller dans la religion. En lisant son message on dirait que rien ne lui arrive tellement qu'elle parlait avec aisance, j'ai vraiment envie de la connaître davantage. En vérifiant son profil j'ai su qu'elle s'appelait Ndéye Aïda Dieng, une jeune fille de teint noir, pas du tout artificielle sur ses photos. Elle était très naturelle. Du coup j'ai eu plus envie de l'a connaître, son visage dégageait une innocence inqualifiable, ne dites pas que je suis entrain de tomber amoureux (surtout ne me jugez pas je vous connais) juste que ce n'est pas évident de voir une fille à fleur de l'âge qui sûrement va mourir d'ici quelques jours. Subitement je lui ai répondu essayant d'être plus ouvert avec elle et là j'ai constaté qu'elle était en ligne car elle avait répondu en l'espace d'une minute malgré l'heure qu'il faisait (03h du matin). Lorsque je lui ai demandé pourquoi elle ne dormait pas, elle m'a répondu que depuis quelques semaines elle dormait rarement pendant la nuit. Et là une discussion sérieuse a commencé. À part ça je sentais que le courant avait l'air de bien passer entre nous, elle était très taquine. En ce moment je ne voulais qu'une seule chose, que le temps s'arrête, rien d'autre que celà. J'étais dans mon petit monde quand d'un coup Balla s'est mit à rire alors qu'il ne se passait rien de drôle dans la voiture. Moi: Y'a quoi toi, qu'est-ce que tu ris là? Lui questionnais-je en souriant. Balla: Je constate que depuis quelques minutes tu souris bêtement surtout à cette heure, il n'y a qu'une femme qui peut être à l'origine de ce sourire. J'en mettrai ma main coupée. Moi: Maintenant tu surveilles mes faits et gestes, n'ai-je pas maintenant le droit de sourire en manipulant mon téléphone? Balla: Bien-sûr mais là, tu ne souris pas à n'importe quoi? Tu parles à une femme, c'est ça? Moi: Oui c'est à une femme que je parle mais rien de spécial, rassures-toi mec. Balla: Bon si tu le dis, en tout cas affaire à suivre. Moi: Tu joues à l'agent secret maintenant? Décidément on aura tout vu avec toi! Bien qu'il soit un chauffeur dans la maison, il n'est pas considéré comme tel. Déjà il est comme un frère pour nous, la plupart du temps on fait du footing ensemble. Je suis allé chez lui beaucoup de fois et ils m'ont accueilli comme si j'étais un des leurs. On passe beaucoup de temps ensemble, si je ne travaille pas il fait tout pour me faire sortir sachant que je m'enferme beaucoup. Le reste du trajet s'est bien passé, on était à la maison en moins d'une demi-heure. Balla avait garé la voiture dans le parking avant de rejoindre sa chambre et moi le mien, sans oublier de le remercier du fait qu'il soit venu me prendre. J'étais dans la cour de la maison en me dirigeant vers le bâtiment mais une fois à l'intérieur j'ai vu Tonton Birame dans la cuisine comme s'il cherchait quelque-chose. Moi: Salut Tonss, comment ça va? soufflais-je doucement afin de ne pas faire de bruit. Tonton Birame: Hey Clau ça va bien, tu viens de rentrer? J'imagine que tu dois être fatigué. Moi: Tu ne peux pas imaginer à quel point je suis épuisé, tu cherches quelques choses? Tonton Birame: Je voulais juste un peu d'eau mais ça va, je remonte dans la chambre. Moi: Ah ok et Cheikh, il dort? Tonton Birame: Oui il dort depuis longtemps, allez je te laisse et repose-toi bien. Moi: Merci, bonne nuit, dis-je en me dirigeant dans ma chambre. Avant de me mettre au lit il me faut d'abord prendre une bonne douche, rattraper mes heures de prières et me préparer quelque chose à manger car j'ai trop faim là. PDV de L'auteur: |16h de temps en arrière, à la plage....| La plage de Ngor était inondé d'individus alors que c'était un jour ordinaire. On aurait dit weekend ou un jour férié. Même Ndélla et Sidy étaient là-bas, que des étudiants pour la plupart. Il y'avait encore une grève à l'université, c'est pourquoi beaucoup d'entre eux se sont libérés pour aller à la plage. Les uns profitaient de l'occasion en se baignant alors que d'autres étaient là juste pour profiter du moment et se détendre. L'ambiance était au rendez-vous, les uns jouaient au football près de la plage alors que d'autres se baignaient. Ndélla, ne voulait même pas venir, elle avait pris la décision de rentrer chez elle mais ses copines n'étaient pas du tout prêtes à la laisser filer avec la complicité de Sidy. Elle faisait partie du groupe qui s'était installée sous les tentes au calme en discutant avec ses copines tandis que Sidy était entrain de jouer au football avec les autres garçons de sa classe. Ndélla lançait des regards furtifs à son petit copain, admirant ses petits muscles sans oublier ses abdominaux. À un moment donné ses copines l'ont aperçues et se sont mises à l'a tacquiner et elle se contentait juste de sourire timidement. Des minutes plus tard Sidy s'était dirigé vers l'eau pour un peu en profiter, il nageait super bien ce que ses camarades de classe ne savaient pas. Comme tout garçon amoureux, il profitait de ce moment pour plus séduire sa meuf et on peut dire qu'il avait réussi vu que les yeux de Ndélla n'étaient fixés que sur lui. En un moment donné ils étaient fatigués et avaient décidés d'aller rejoindre les filles, c'est avec le sourire scotché aux lèvres qu'il s'est mis près de sa copine. Et là une discussion générale s'est créée, ils parlaient de tout et de rien comme tout ado normal, ils essayaient de profiter du moment. Il étaient tous là entrain de rire des blagues de quelques-uns quand Sidy s'est penché sur les oreilles de sa copine pour lui souffler quelques mots, automatiquement ils se sont tous les deux levés, disant qu'ils revenaient dans quelques minutes. Sidy: Enfin on a pu nous libérer d'eux, je te voulais à moi seul au moins pendant quelques instants, avoue t-il à sa dulcinée avec un visage radieux. Ndélla: Hum toi! J'espère que tu seras réglo au moins, dit-elle en riant. Sidy: Hey déstresse, je ne mords pas. De plus on est dans un lieu publique là. Ndélla: En tout cas t'as intérêt à bien te tenir, sinon j'appelle mes parents chinois. Sidy: À part ça, bébé je voudrais venir chez toi, tu en penses quoi? Ndélla: Chez moi, pourquoi faire? Sidy: Afin de faire connaissance avec ta famille, ta mère et tes sœurs. Ndélla: Ha je vois que c'est une bonne idée, mais c'est juste que je n'avais jamais présenté un garçon à ma famille du coup je ne sais comment ils vont réagir, surtout ma mère. Sidy: Y'a une première fois à tout! Je comprends ta position, mais juste dis-toi que maintenant t'es devenue une femme, si je te propose de venir chez toi pour faire connaissance avec ta famille ça prouve que je veux du sérieux avec toi. Je ne compte pas jouer avec tes sentiments et inch'Allah je ne le ferai jamais. Ndélla: Ne t'inquiètes pas j'y penserai afin de choisir une date pour que tu viennes passer la journée, ça ta va? Sidy: Ok j'attends ton signal donc, je veux aussi te présenter à ma famille puisque notre relation commence à durer vu qu'on a fait deux mois mine de rien. Et comme ça mon père saura que son fils a une belle femme à ses côtés. Ndélla: Toi tu ne changeras jamais, dit-elle souriante. On dirait que tu es un grand fils à Papa. Sidy: Je ne te le fais pas dire, il est ma référence, je l'aime plus que tout. Inch'Allah lorsque je serai père de famille, je voudrais être comme lui. Ndélla: Inch'Allah yalla baxnaa, mon amour? Sidy: Oui Habibaty! Ndélla: Je peux te poser une question? Sidy: Oui je t'écoute Honey. Ndélla: Qu'est-ce qui t'a vraiment poussé vers moi? Sidy: Lol ! Bon tu sais, j'ai l'air d'un Bad Boy je sais, mais honnêtement je ne suis pas comme celà et tu en sais quelque chose. Juste pour te dire que j'adore le genre de fille timide, simple et naturelle. Je peux dire que tu es celle que je cherchais pendant tout ce temps et lorsque j'ai fait ta connaissance,je m'étais dit que je ne vais jamais te laissé partir. Ce qui m'a le plus plu chez toi c'est ton innocence, ta politesse et ta beauté angélique. Pour dire vrai on ne peut pas te rencontrer sans pour autant ne pas te regarder encore, tu es belle même si tu n'y prêtes pas beaucoup attention. Ndélla: Habibi Naxooma? (Habibi tu ne me mens pas?) Sidy: Yow keinn doulaa naxx! Moi je suis esclave de ton visage d’ange, de ton sourire. Peu importe le prix à payer, je donnerai plus pour rester avec toi. J’ai tant d’amour pour toi que rien ni personne ne pourra me convaincre que mon paradis est ailleurs qu’avec toi. Je ne crains rien pourvu que tu sois avec moi. Je veux consacrer ma vie à toi, de toutes les façons, je mourrai si je devais un jour te quitter. Tu sais que je t’aime très fort, même ces mots-là ne sont pas assez forts pour te prouver cet amour. Mais sache qu'il dépasse tout entendement. Je t’aime toi qui sais me faire rire avec de simples mots, toi qui sais être si douce, si attentionnée. C’est de toi dont je suis fou amoureux. Ma Ndélla, ne doute jamais de mon amour pour toi et de ma sincérité envers toi, car jamais je ne pourrai te mentir. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée dans ma vie. Avec toi je connais enfin le bonheur et la joie d’aimer réellement et profondément. Tu fais partie des personnes les plus importantes de ma vie, celle qui compte beaucoup pour moi. Ton Sidy t’aime réellement de tout son cœur. Ndélla: Tu me rends très heureuse et je suis hyper contente de t'avoir à mes côtés, je t'aime beaucoup plus. Je ne suis pas une poétesse et je ne suis pas non plus expressive comme toi mais sache que je t'aime énormément et je ne doute pas de ton amour pour moi. Sidy: Heureux de t'avoir à mes côtés, Honey c'est vrai qu'on est un peu jeune pour parler de mariage mais je vois en toi la mère de mes enfants inch'Allah, mann yow laa beugg tei j'espère que tu me crois? Ndélla: Bien-sûr que je te crois, wa mais attends ce n'est pas Kader celui-là? fit-elle en voyant une personne venir de loin. Sidy: Qui est-ce Kader, tu le connais? Ndélla: Oui je le connais, c'est mon ami d'enfance dont je t'avais parlé, tu t'en rappelles? Sidy: Oui bébé je m'en rappelle. Ndélla: Ça fait l'occasion je vais te le présenter, vous ne vous êtes parlés que par téléphone. Sidy se mir à crier le nom d Kader afin qu'il les voit vu qu'il était un peu loin d'eux. Quelques instants plus tard, il les voit et reconnut Ndella de suite avant de se diriger vers eux. Kader: Hey la plus moche qu'est-ce que tu fais là, dit-il en lui faisant la bise. Ndélla: Je n'arrête pas de te répéter que suis plus jolie que toutes tes meufs. Dit-elle avec un sourire moqueur. Kader: Réveille-toi car tu rêves debout là, je vois que tu es accompagné! fit-il en faisant allusion à Sidy. Ndélla: Oui je suis accompagné par mon copain, celui que je t'avais présenté par téléphone. Et puisque vous êtes tous les deux là, Habiby voici Kader mon meilleur ami, et toi voici Sidy mon amour. Sidy: Enfin notre meilleur ami là, depuis tout ce temps j'entends parler de toi, avoue t-il en lui serrant la main. Kader: Tu n'es pas en reste frère, elle ne me parle que toi, Sidy par ci, Sidy par là. Sidy: C'est un honneur vraiment, ravi de faire ta connaissance frère. Kader: Tout le plaisir est pour moi, frère il faut prendre soin d'elle car c'est ma princesse, je dirai la prunelle de mes yeux. Ndélla: A thioum beugg naa lih. Sidy: Ne t'inquiètes surtout pas, mais toi je pense te reconnaitre quelques part. Kader: Même moi ton visage me dit quelque chose, mais je l'ignore !! Sidy: Tu ne connais pas une certaine Ndack par hasard, Ndack Seck? Kader: Ah oui tu as raison, je connais une certaine Ndack, la copine de mon grand frère. Sidy: Donc tu es le petit frère de Mouha? Kader: Oui je suis son petit frère et toi? Quel lien entretiens-tu avec Ndack? Sidy: C'est ma grande sœur, que le monde est petit wow Ndack sera très contente quand je lui dirai qu'on a fait connaissance. Parfois je vois qu'ils mettent en statut tes photos. Pourquoi ne pas venir nous rejoindre nous sommes avec des camarades de classe comme ça on va faire plus amples connaissances? Ndélla: Bonne idée, rejoins-nous s'il-te-plaît. Kader: Vous avez gagné, là je suis avec Badou, je peux aller lui demander de nous rejoindre aussi. Sidy: Moi je n'y vois aucun problème Ndélla: Ah donc tu étais avec Badou, va l'appeler. Kader: Ok donnez moi deux minutes et je vous reviens, dit-il en partant. Sidy: C'est qui Badou? Ndélla: C'est un ami d'enfance aussi, on habite dans le même quartier. Allons-y maintenant ils sont là. |Des heures plus tard| Il faisait 2h du matin quand Tonton Birame venait tout juste de rentrer, depuis ce matin il était parti au port autonome de Dakar pour voir si ses marchandises étaient venus. Si tu n'as de connaissances là-bas ça va être un peu dur de ton côté, ce qui était son cas aujourd'hui mais tout était rentré dans l'ordre même si ça a duré. Il avait trouvé les lumières de la maison éteintes ce qui veut qu'ils sont couchés, automatiquement il s'est dirigé dans la chambre de Cheikh. Il a trouvé ce dernier entrain de dormir profondément mais bourré de mauvaises idées tel qu'il est, il s'est précipitamment mis à se déshabiller comme si sa vie en dépendait. Un instant plus tard il était nu comme un ver, sans demander ses restes il monte sur Cheikh et ne manque pas de le réveiller. Comme toujours il a voulu le déshabiller mais ce dernier se débattait contre lui afin qu'il n'arrive pas à ses fins. On dirait que Cheikh était plus déterminé qu'avant car il usait de toutes ses forces pour que son fameux oncle ne puisse pas abuser de lui. Tonton Birame aussi n'était pas en reste, vue que Cheikh n'avait pas l'air de quelqu'un qui allait lâcher prise, il a commencé à déchirer le pyjama de son neveu. Comme voulu il avait réussi à le mettre tout nu avant d'entrer en lui, en lui faisant des vas-et-vients comme s'il était avec une femme. En regardant Cheikh on constatait qu'il avait le visage grave avec les yeux rouges de colère, au lieu de sangloter comme les autres jours, il se contenter juste de regarder son oncle jouir sur lui. En un moment donné il était fatigué avec le visage inondé de sueur, et voulant reprendre son souffle il était descendu du lit avant de porter son pyjama et sortir de la chambre pour aller à la cuisine. Il avait ouvert le frigo en cherchant de l'eau fraîche quand d'un coup il voit Clauvice pénétrer dans la maison. Après leur courte discussion Clauvice monte dans sa chambre. Tonton Birame avait un sourire sournois aux lèvres sachant qu'il va encore profiter de la faiblesse de son neveu comme toujours. Une fois dans la chambre il trouva Cheikh recroquevillé sur lui même, fixant le néant dans le plafond, l'air abattu. Tonton Birame: Vaut mieux que tu gardes tes larmes de crocodile et sache que tu passeras une longue nuit, dit-il en se mettant sur lui encore une fois de plus pour assouvir ses désirs. ****************************** Que pensez-vous de Clauvice avec sa nouvelle connaissance, une relation amicale où autres choses? Selon vous Cheikh doit faire quoi pour se libérer des griffes de son oncle? Même si on en parle pas beaucoup et que c'est inimaginable, les garçons de même que des hommes violés existent bel et bien; soyons plus vigilant envers nos enfants, neveux, petits frères... (Je tenais à rappeler que toutes les histoires sont vraies, rien n'est fictive ici. Les histoires de Clauvice, Ndack, Sidy et Cheikh, sont toutes réelles.)
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