La lune était haute lorsque Éléna s’arrêta devant la porte d’Herman. Elle ferma les yeux, posa sa main sur la poignée, sa respiration irrégulière . « C’est maintenant ou jamais. » souffla Lana dans son esprit. « Je… je sais. » Elle inspira profondément avant d’ouvrir la porte, entrant sans frapper. Herman était là, assis sur le rebord de son lit, torse nu, une serviette sur ses épaules, ses cheveux encore humides de sa douche. Lorsqu’il releva les yeux et la vit, il fronça les sourcils. — Éléna ? Qu’est-ce que tu fais ici, à cette heure ? Elle ferma la porte derrière elle, le cœur battant si fort qu’elle en avait mal. — Il faut qu’on parle, Herman. Il soupira, se levant, ses muscles roulant sous sa peau bronzée. — Éléna, ce n’est pas le moment. Sors, s’il te plaît. Elle avança ma

