Je suis amoureux?

Hannah Dernier week-end en vacances, à boire et à boire ! Mais non, parce que mon excitation pour la fête d'aujourd'hui est nulle, imaginez me saouler. Mais je le ferai, pour deux raisons. D'abord, c'est le week-end dernier, si je n'y vais pas je le regretterai pendant un moment, je suis le seul à me connaître. Deuxièmement, j'avais l'habitude de traîner avec le DJ dans la salle de gym, c'était mon meilleur ami, Luis. C'est sa fête, pour célébrer ce que je ne sais pas. Il a cette habitude d'organiser des fêtes sans raison. Je demande : pourquoi ai-je dû promettre que je le ferais ? Je réponds moi-même : Parce que je ne comptais pas être indisposé, surtout le dernier samedi des vacances. Ça doit être la faute du TPM, ça ne peut pas, mais de toute façon... Wow, maintenant j'ai remarqué, ma frustration s'est relâchée et vous ne connaissez même pas mon nom. J'espère juste qu'ils ne m'insultent pas. Je m'appelle Hannah, j'ai 17 ans, je suis bisexuelle, je mets cette étiquette uniquement parce que j'ai été avec des garçons et je ne le regrette pas, mais ils ne suscitent aucun intérêt pour moi. Pas plus. Mes parents ne sont pas très présents, ils sont toujours en voyage, mais ce sont de bons parents et ils ont bien réagi, même trop. Mais il y a six mois, ils ont juste décidé de m'émanciper d'un coup pour que je puisse arrêter d'être seul à la maison ou de voyager avec eux, pour tous les ennuis de rater l'année scolaire et tout. Si je questionnais ? Évidemment non, juste en pensant aux choses folles que je ferais en vivant seul dans un penthouse avec deux chambres et un mur de verre fumé dans le salon, donnant sur la moitié de la ville. Mon apparence? Je ne veux pas me trouver pour ne pas tomber amoureux. Mes cheveux sont longs, foncés et raides. J'ai les yeux verts, mec. Je peux dire que j'ai du succès et je suis conscient de ce que je provoque chez les gens. La modestie est passée ici, mais malheureusement elle l'a fait. Je suis quelqu'un de bien, tu verras plus tard. Je suis un bon ami, du genre que si tu as un problème, tu peux appeler et je me présenterai en courant. Je ne sors plus, plus maintenant, j'ai rompu très tôt, j'ai même été trahi et je déteste m'en souvenir, la seule personne que j'ai vraiment aimée, la première fille avec qui je suis sortie, la première et la dernière. Maintenant, je sors « devenir général », à l'école et aux fêtes. J'ai été à la maison avec deux en même temps. Une expérience épique. Peut-être qu'un jour je le partagerai avec vous. Un dernier avertissement sur moi-même : je voyage. À l'intérieur de l'esprit. Je ne veux même pas connaître les choses folles que mon esprit imagine. Ils peuvent le prendre du côté malveillant, parce que l'esprit pollué, c'est le mien et c'est fini. Ce vieux discours sur l'imagination sexy, tu sais ? Le mien doit être une strip-teaseuse. Quoi qu'il en soit, me voici, par ma montre, la fête a commencé il y a une heure et demie, mais je n'arrive tout simplement pas à l'heure, que puis-je faire ? Je viens de me regarder dans le miroir et je suis prêt. Robe bleu marine, sac de la même couleur, rouge à lèvres rouge et eye-liner pour mes yeux verts, fier du propriétaire, deuxième meilleure partie de mon corps. Dois-je dire lequel est le premier ? Oui, mes cheveux, ma meilleure partie. Avez-vous pensé à la merde? C'était mon intention. Je ferais mieux d'arrêter de poser des questions, on dirait même que je suis fou. J'ai pris l'ascenseur et je suis allé au garage en sous-sol. Un véritable voyage, du penthouse, qui est le trentième étage, au garage en sous-sol. Au moins, je peux continuer à prendre des photos de différentes manières dans l'ascenseur en miroir et les poster à la demande. J'ai décidé de conduire car aujourd'hui je n'ai pas l'intention de boire. Je suis monté dans ma voiture, une Audi noire. J'ai commencé et je suis allé voler. Je suis rapidement arrivé, je me suis garé au club et j'ai franchi la porte d'entrée avec ma fausse carte d'identité, non sans avoir d'abord regardé la file de personnes à l'extérieur. J'avais l'impression que tout le monde dans la file me regardait avec un peu d'envie, oui, ils auraient vraiment dû, je suis pote avec le DJ, je ne fais pas la queue. Wow, la piste est bondée. Je vais dans la zone VIP, au moins calme là-bas. J'ai salué Luis, qui était là en train de faire des remix fous. Il était connu pour cela. Je suis allé dans la zone VIP, comme je l'ai dit, plus calme. J'ai continué à regarder autour de moi. Après quelques minutes, je me suis dirigé vers le comptoir des boissons, je me suis assis et j'ai regardé le sol. Je me tournai vers le barman, derrière moi en train de nettoyer le comptoir. – Salut, tu peux me donner un coca ? - Il a souri. – Coca, ma belle ? - Toujours souriant comme un idiot, ce que j'ai commencé à penser que c'était ce qu'il était, fit un clin d'œil. Non pas que je ne le fasse pas, mais quiconque flirte comme ça sans même se présenter m'irrite profondément. Principalement des hommes. – C'est de la coca oui, je conduis. - J'ai essayé de ne pas être impoli, mais je pense que je l'étais. C'était bien, j'espère qu'il se touche. - D'ACCORD. Ici. - Merci. – Et je me suis tourné vers la piste. Il retourna nettoyer le comptoir, puis partit. J'avais mon coca dans la canette, du luxe pour quoi ? Au sol, une fille dansait comme s'il n'y avait pas de lendemain, se détachait. Et elle dansait bien, quel corps, quelles courbes merveilleuses ! Elle portait une robe noire moulante qui n'empêchait aucun de ses pas de danse audacieux. Je pense que je la veux aujourd'hui, dans la chambre 2 de ma maison. J'ai l'étrange habitude de ne faire l'amour que dans la chambre 2. Personne ne s'allonge dans mon lit à part moi. J'ai continué à regarder la fille, la chanson s'est terminée et elle est venue vers moi. Déjà? Non, elle est passée juste devant moi et s'est appuyée contre le comptoir à côté de moi, mais pas beaucoup plus qu'un rapide coup d'œil. De près, beaucoup plus jolie, plus fine, plus courte que moi, avait les cheveux longs, un peu ondulés aux extrémités, et des courbes beaucoup plus attirantes à regarder de près. Il avait l'air d'avoir mon âge. Très parfumé aussi, malgré un peu de sueur après avoir dansé. Elle s'adressa au barman Don Juan : – Il y a foule ici aujourd'hui. C'est toujours comme ça? – Le barman hocha la tête. – Une bonne fête, c'est comme ça. Je vais prendre une tequila. Pur, s'il vous plaît. - Maintenant! – Est-ce que ce barman flirte avec elle aussi ? Oui c'est le cas! Mais quelle envie de le frapper, et... Le truc bizarre, c'est que je n'ai jamais été jaloux de personne d'autre que mon ex. Cela ne devrait pas être jaloux de la fille, cela devrait être de la haine pour les ignorants. C'est certainement ça. J'ai repoussé ces pensées. La fille avala la tequila, terminant par une adorable grimace. Adorable? Et est-ce que je regardais ? - Autre. – Tout de suite, ma belle. Il lui caressa le visage et elle repoussa doucement sa main et atterrit sur la table en secouant la tête. Il rougit un peu, remplit la tasse et elle se retourna à nouveau. Et répéta la grimace. Linda fait même des grimaces... Attends, quoi ? Je secouai la tête pour repousser ces pensées et tournai mon regard vers le sol, essayant d'imaginer comment elle n'avait pas remarqué que je n'avais pas quitté ses yeux d'elle même une seconde. Le sol n'était pas le même sans qu'elle danse, j'avais même envie de la ramener là-bas. J'ai commencé à penser qu'elle ne serait peut-être pas si difficile, puisqu'elle a renvoyé le barman, que même s'il était un idiot, il n'était pas du genre à jeter, et elle était ivre, bientôt... J'ai été interrompu par un petit coup de coude qui venait de mon côté. La fille m'a donné un coup de coude. J'ai tourné lentement. - Hé, comment tu t'appelles? – Il a souri et... C'est quoi ce sourire ? Parfait, parfait. Elle montrait clairement ses compétences. - Hannah. Je serrai sa main chaude et douce et me penchai pour l'embrasser sur la joue, très lentement. - Et le vôtre? – Stella ! – Et, étant plus petite, elle s'est allongée pour l'embrasser en retour, je me suis retournée exprès et elle a embrassé le coin de ma bouche. Elle est repartie toute rouge. – Wow, désolé pour ça, je suis un peu ivre. - Pas bien. – J'ai souri en travers, mon plus beau sourire à fossettes. Parce que je ne suis pas normal, je n'ai qu'une fossette sur le côté droit, pour le montrer je dois sourire dans le coin. Les gens ivres me sautent généralement au cou après lui et je gagne la nuit. Je ne sais pas non plus quand j'ai commencé à être aussi « bon » dans ces domaines, mais en fait ça n'a jamais été très difficile. – Alors, qu'est-ce que tu fais dans l'espace VIP ? – Elle a ignoré mon sourire. p****n, ça n'est jamais arrivé ! Mais d'accord, d'accord, je ne désespère pas, je vais répondre à sa question. – Ah, le DJ était mon meilleur ami au lycée. Je viens de traîner chez lui. - Sérieuse? Je suis sa cousine. - La coïncidence m'a fait rire. – Comment je ne te connais pas ? – Je vivais dans un autre État. Vous me connaissez peut-être sous le nom de « A Prima Chata », « Almeidinha » ou un autre surnom, nous étions très proches quand nous étions enfants jusqu'à ce que nous nous disputions un peu. C'est sûrement à cette époque que vous l'avez rencontré. - Ah oui. Je crois que je t'ai vu sur une photo une fois. Luis ne semblait pas être un grand fan de toi quand il parlait de toi et... Quand tu étais si jolie, je ne m'en souviens pas. Elle a souri et m'a regardé droit dans les yeux, puis a baissé la tête en riant toujours. Tu as aimé, Stella, admets-le ! – Ça y est, je ne suis pas si belle que ça, tu l'es plus. - J'ai encore souri de mon sourire à fossettes. Elle soutint mon regard, puis continua à parler - Enfin, Luis et moi avons eu une trêve que je pense être définitive, Dieu merci. Et il m'a laissé entrer gratuitement, open bar ! – J'ai ri et elle a redonné son sourire parfait. J'avais des pensées extrêmement impures sans raison. J'ai bu le reste de mon coca, repoussé ces pensées et essayé de lui rendre son sourire. – Quel jour êtes-vous venu ici ? - Je suis arrivé hier. - Sérieuse? – Oui, je suis venu vivre au moins jusqu'à la fin de l'année, si ça me plaît, je m'adapte, je reste jusqu'à nouvel ordre. Mon père habite ici, je vis avec lui. - Terminé, j'en ai l'air très content. - Joli. Alors je te reverrai encore quelques fois. "Probablement." Il sourit et ordonna un autre coup, se retourna et grimaça. Oh, quelle envie de serrer et de mordre cette fille, elle était si adorable ! – Tu ne penses pas que tu prends trop de tequila ? – Non, je suis fort pour boire. – J'en doutais intérieurement, mais j'avais l'air d'y croire. – Et vous, vous ne buvez pas ? – Je bois, mais pas aujourd'hui. Je conduis et je ne suis pas d'humeur à faire la fête. – Je répondais pour elle ? Pourquoi? Qu'est-ce que cette fille a qui brise mes défenses ? Peut-être le sourire. Ou la beauté, je ne sais pas. Ou peut-être que c'est quelque chose de psychologique parce qu'en quelques minutes elle a déjà partagé beaucoup de choses, alors peut-être que ça m'a mis plus à l'aise. Prêt. Cela n'a rien à voir avec sa personne. – Tu vas vite te mettre dans l'ambiance, je te le garantis. Dansons ? - Il a demandé, me tirant déjà et ne faisant pas de place pour une réponse. Mais je le ferais, de toute façon, mon objectif était toujours cette gueule. Je jouais Burn, d'Ellie Goulding, avec des rythmes aléatoires. Elle se balançait et se balançait au rythme de la musique, les yeux fermés. Et j'étais là, mourant d'envie de lui saisir la taille et de suivre les mouvements. Mais je me suis retenu, ce n'est pas le moment. J'ai apprécié la musique, pas autant qu'elle, mais je l'ai fait. Elle ouvrit les yeux et continua en me regardant maintenant. Si ce n'est pas un feu vert, ne me dites pas ce que ce serait. Je souris malicieusement et m'approchai. Stella souriait aussi, mais maintenant elle avait l'air ivre. J'ai attrapé sa taille, collé ses fesses à mon sexe et nous avons roulé au rythme de la musique, qui s'est malheureusement terminée trop vite. Stella a souri, nous avons à nouveau quitté la piste en direction du comptoir. Elle buvait de l'eau et d'autres boissons et paraissait de plus en plus joyeuse. Nous y avons passé quelques bonnes heures à danser, à taquiner et à boire, car j'ai bu quelques verres de plus, rien d'alcoolisé. Bientôt, j'ai eu envie de faire pipi. J'ai tiré Stella dans la salle de bain, à ce moment déjà super altérée, parlant au pilier où elle était penchée. – Attends, je veux y retourner, j'étais avec un ami ! – Tu parlais au pilier, Stella. - Où allons-nous? - À la salle de bain. – Bien, j'en avais besoin, tellement serré ici. Mais je ne pouvais pas quitter mon ami. – Le pilier ? – Quel pilier ? Son nom est Amanda, tellement amusant. – J'ai retenu le rire. – Vous êtes complètement ivre. – Nous sommes allés dans la salle de bain et je suis allé directement à la cabine. Quand je suis parti, Stella était adossée au lavabo en face de moi. – Suis-je vraiment ivre ? - Il a demandé, avec une moue. Quelle jolie p****n de fille. Je dois lui rappeler plus tard qu'elle ne devrait plus faire ces grimaces autour de moi. Vraiment, je me retiens de la mordre. Je souris avant de répondre. - Totalement. – Elle soupira et regarda autour d'elle. Elle avait l'air un peu gêné, jusqu'à ce que ... - Merde. Sortez sortir! - Il a dit, en cours d'exécution à la cabine où je me trouvais, avec sa main sur sa bouche, me poussant, s'effondrer sur le dessus des toilettes et des vomissements. Je hurlé un « Ew » et fait la faveur de la tenue de ses cheveux pour qu'elle ne se salir. Quand elle eut fini, je la soulevai soigneusement et on rince la bouche et lui ai donné salles noires. Au début, elle n'avait même pas l'air étourdie, mais maintenant elle ne savait clairement même pas où elle était. - Vous partez comment? Je ne peux pas te laisser ici après avoir vomi comme ça. – Avec mon cousin Luis, le DJ. Sait?