chapitre 1 : liberté
les yeux rivés sur le plafond de ma chambre , je me suis mise à pensée a ma vie et a mes choix certes on fait souvent des mauvais choix, on a l'impression que rien n'est bon pour nous dès fois on devient même paranoïaque.on se disait que le monde est contre et sa nous tue de l'intérieur.
On dit souvent que l'amour n'est qu'un jeu , que l'amour est un terrain dangereux (je souffle fatiguée avec mes réflexions bizarre) moi qui voulais juste pour une fois aimée savoir ce qu'on ressent , sentir cette jalousie, cette concurrence voir cette lueur dans les prunelles de l'homme que j'aime. Savoir que pour le meilleur et pour le pire on sera ensemble et qu'il m'aimerai sans jugement .
Je souffle et me lève pour prendre ma douche , j'aimerais tellement que le vide de mon cœur se remplisse.
Aujourd'hui je vais quitter ''la famillia '' c'est t'a dire la maison familiale. Chez nous lorsqu'on finisse nos études, on quitte la maison .
Après ma douche je m'arrête devant le miroir de ma chambre puis laisse tomber la serviette qui est enroulée autour de mon corps. Je me regarde je suis jolie avec des formes l'à où il faut je ne suis pas maigre ni grosse juste la moyenne je mesure 1m65 j'ai des cheveux noire éclatant il m'arrive jusqu'en dessous de fesse , J'ai des yeux verts , je les tenais de mon père.
- mademoiselle, votre mère souhaite vous voir , et le petit déjeuner est prêt m'informe ma dame de chambre .
- vous pouvez disposer je serai là tout de suite en continuant de m'habiller
Je me dépêche de me prépare , j'opte une robe rouge manche longue puis fait une queue avec mes cheveux sans oublier de me maquiller légèrement.
- Bonjour mère dis je la tête haute chez nous tout est strict .
Elle me jauge du regard puis me fait un maigre sourire
- bonjour Liza bien dormis me demanda t'elle.
Ma mère est belle , cheveux noir comme le mien elle porte une robe bleu élégante qui vas avec ses yeux
- oui mère
- alors assis toi,
Je m'assis , puis commence à manger
- père n'est pas là lançais- je la discussion
- tu le connais il est toujours occupé
'' pas comme si toi aussi tu es libre '' pensais je
- il aurait pu être là car c'est mon dernier jour à la familia
Elle souffle
- je sais mais comprends le il devrait vous assurer un avenir déjà ton frère est le prochain PDG de l'entreprise et ta soeur est déjà mannequin maintenant c'est à toi il devrait te trouver une place dans l'entreprise.
Je serre les dents, comment osé- t'il bien qu'il soit mon père j'ai toujours voulu être libre .
- mère c'est ma liberté alors pourquoi il devrait interférer. C'est à moi de choisir là où je devrais travailler et j'ai choisi de quitter le pays donc aucune chance de travailler dans l'entreprise familiale
- ASSEZ cria t -elle la pauvre servante sursauta . On veut ton bonheur c'est pour cela qu'on s'occupe de tout on est tes parents
Je lâche un rire sarcastique
- mes parents hein? Mais vous vous entendez mère qu'elle genre des parents êtes vous alors où étiez vous lorsque je voudrais parler de mes problèmes, vous ne causez jamais avec nous alors dit moi ce que j'aime ce que je veux dit moi mère vous n'étiez jamais à la maison tout comme père je me demande si on est vraiment vos enfants dis-je avec peine
Je tangue de côté à cause de la claque que je viens de recevoir .je regarde ma mère avec dégoût
- et voilà vous ne comprenez rien que sa soit vous où père. Entre parents y'a aucun règle surtout entre mère et ses enfants.
Je monte à quatre pattes sur les escaliers malgré les cris de ma mère.
Je m'assois sur le lis de ma chambre. La vie est dure , surtout quand tu n'as personne pour toi , enfaite tout au fond de moi malgré mon âge j'ai besoin que mes parents me chouchoute , j'ai besoins de ma mère, j'efface mes larmes puis prépare mes habits dans mes valises.je me douche car elle m'aide à me calmer car l'eau à un pouvoir incroyable sur mes saut - humeurs , après une douche agréable je m'habille avec une robe moulante noir ouvert de dos elle m'arrive jusqu'au genoux , je laisse mes cheveux lâchés puis descent avec ma pochette déjà le majordome Albert c'est occupé de mes valises.
Il y'a mon père devant la grande porte , comme d'habitude il porte un costume ses cheveux blonds bien coiffée , son regard est froid, il est toujours comme ça
- bonsoir Elisabeth
Je déteste quand il appelle mon nom au complet
- bonsoir père répondait je sur le même ton
- ta mère m'a parler de votre discussion et j'avoue que je n'étais pas très enchanté qu'elle fille ingrate j'ai souffla t'il
Je ne réponds pas car père plus froide que mère, il peut prendre sa pour un affront
- bon à partir du moment où tu quittes le pays tu ne seras plus la bienvenue chez la familia , Tu porteras le nom de famille de ta mère ta carte de crédit sera confesquer , j'ai déjà donné ta nouvelle identité au majordome il te le remettrai
Puis il part , les larmes coulent sur mon visage il se débarrasse de moi comme si je n'étais rien pour lui en même temps ce n'est pas totalement faux.
- au-revoir mademoiselle Elisabeth c'est fut un honneur pour moi de te rencontrer sache que tu peux y arriver et soit forte car on peut voir cette bonté incarner en toi n'oublie pas d'être heureuse , tiens ta mère tenais à ce que je te le donne et voici ça c'est la contribution de nous tous.
- mais Albert c'est trop , comment allez vous faire sans cet argent , je peux me débrouiller seule
Albert éclata de rire montrant ses dents blanches comme ses cheveux.
- ma chérie,je suis dans l'âge , certe on a besoin de cet argent mais toi tu en as plus besoin , tu nous as toujours aider sans oublier le dicton qui dise que la gentillesse est toujours payer.
Je prends Albert dans mes bras ''merci beaucoup'' soufflais je, il était comme un père pour moi sans parler de tout les bêtises que je leur fais.
......
L'avion viens de décoller enfin la liberté , je suis libre loin de tout
✌️✌️
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