chapitre 4

1935 Words
Des heures à vouloir s’abandonner complètement à son activité favorite qu’était le sexe avec douleur, Lorenzo ne parvenait pas à se concentrer malgré ses efforts et ceux d’Emma. Elle avait toujours été à la hauteur et il se demandait pour quelle raison c’était le visage d’une seule personne qui ne cessait de hanter son esprit au point où il n’arrivait pas à se concentrer sur ce qu’il aimait le plus faire. Ça ne lui était jamais arrivé même lorsqu’il pouvait avoir près de cinq soumise dans sa vie dans la même période. Le visage d’aucune ne l’avait hanté lorsqu’il était entre les jambes d’une autre. il en avait marre alors, il se retira et se rendit dans la salle de bain. Regardant son reflet dans le miroir, il ne se reconnaissait pas du tout. son membre viril était toujours bien tendu et il avait la ferme impression qu’il grossissait de plus en plus lorsqu’il avait l’impression de voir son visage. Ça ne pouvait pas être possible. Il se rendit sous la cabine de douche et eut l’impression que l’eau froide lui faisait du bien mais ce n’était qu’une illusion parce qu’à peine finit, il avait comme impression qu’il la voulait elle et pas une autre. il retourna dans la chambre où Emma semblait l’attendre. -mais il se passe quoi Lorenzo ? pourquoi es-tu si tendu ? -rhabille-toi et va-t’en. Son ton était froid et dangereux. Elle savait qu’il ne fallait jamais tester ses limites parce qu’elle était d’ailleurs très loin d’aimer la mort alors, elle prit ses vêtements qu’elle enfila maladroitement et quitta leur pièce unique. Elle avait besoin de se passer de l’eau sur le visage avant de quitter sa propriété. Elle savait que dans ses moments comme ceux-là, il fallait surtout qu’elle évite de le confronter alors, elle prit la direction de l’étage inférieur et la première porte qu’elle vit, elle actionna la poignée. Ce qu’elle vit la fit se stopper nette. Astrid en avait marre de voir toutes ces femmes défiler dans sa prison dorée et surtout, leur regards qu’elle ne supportait pas. elle n’était pas une potentielle rivale si c’était ce qu’elles pensaient toutes et elle était certaine que si l’une d’entre elles l’aidait à s’en aller, peut-être qu’elles n’aurait à avoir peur qu’elle leur vole leur place. -qui êtes-vous ? Encore cette question, elle n’était personne et si elle voulait bien évidement savoir qui elle était, elle aurait mieux fait de poser la question à son geôlier. Elle souffla et ferma les yeux en espérant les ouvrir lorsqu’elle serait partie. -si vous croyez que vous parviendrez à être la soumise de Lorenzo, laissez-moi vous dire que vous vous mettez le doigt dans l’œil. Vous ne parviendrez jamais à le satisfaire comme moi je le fais. D’où venez-vous et comment est-ce que Lorenzo vous a rencontré ? -il ne m’a pas rencontré mais j’imagine qu’il m’a kidnappé. Vous voyez maintenant la différence ? il m’a enlevé, enlevé, finit Astrid en criant. Emma se mit à hocher négativement la tête tout en faisant les cents pas. la concurrence dans le lit de Lorenzo était ce qu’elle détestait le plus. -Lorenzo est un homme qui apprécie plus ce qu’il prend sans qu’on ne lui donne et il prend un plaisir fou à en profiter. J’imagine que si Lorenzo vous a enlevé, il me remplacera mais vous savez quoi ? je ne vous laisserai pas prendre ma place. Je suis la seule et je serai sa femme. -qui a parlé de femme ici ? question Astrid ne comprenant pas. -c’est moi et je vous mets juste en garde. N’espérez pas plus que du sexe avec Lorenzo parce que comme je vous l’ai dit, je serai la seule femme que Lorenzo regardera toute sa vie. Elle n’attendit pas plus et sortit de la chambre en claquant la porte si vigoureusement. Astrid en avait de ce quotidien qui allait vraiment la faire chier si ça ne changeait pas. il fallait déjà que la personne qui l’avait enlevé la libère. elle se demandait vraiment ce que cet homme avait de si merveilleux pour que des femmes lui courent après de la sorte. Débordé par ce qu’il ressentait, Lorenzo fut pris de colère parce que jamais une femme ne l’avait autant perturbé, jamais son esprit n’avait été aussi pris par une femme, une femme qui n’était qu’une chose, une chose sur laquelle il voulait se venger. elle n’était rien, elle n’était personne et n’avait aucun droit de le rendre aussi bête. Il sortit de sa pièce unique et prit le chemin du deuxième étage. D’un coup de pied, il ouvrit la porte et la vit, allongée dans la même position. Tout commença à se mélanger en lui parce que dans cette position, il était encore plus envahi par la confusion. Il avança vers elle comme un tourbillon alors qu’Astrid voyait sa fin arriver. Il la regarda d’abord avec les flemmes de l’enfer dansant dans ses yeux mais très rapidement, il fit disparaitre ces flemmes en laissant autre chose se faire voir. C’était à elle d’interpréter ce qu’elle s’apprêtait à vivre. -quoi qu’on vous ait dit, je vous jure que je n’ai rien fait de mal. Lorenzo ne parla pas et défit toutes les chaînes qui la retenaient prisonnière. Astrid souffla de soulagement parce qu’elle avait cru qu’elle ne sera jamais libérée. Lorsqu’elle voulut se mettre debout, ses pieds ne tenaient pas et ce fut dans les puissants bras de l’homme qu’elle se retrouva. Une brûlure qui ne disait pas son nom en fit de sa peau une victime et très rapidement, elle se sépara de lui et constata que cet homme n’avait pas de feu sur lui. c’était fou comme elle devenait parano d’un seul coup. Lorenzo n’avait pas besoin de réfléchir pour savoir comment est-ce qu’il allait la punir. Il avait eu de ses aventures et comme il aimait les choses neuves, elle n’avait pas pu tenir et au moment où il devait enfin se venger de ce qui s’était passé avec sa sœur, cette dernière décidait de s’immiscer dans sa tête et son esprit. Il la souleva et elle se retrouva sur son épaule. -mais qu’est-ce que vous faites ? lâchez-moi je vous prie. Elle essayait de se débattre mais faut dire que sa force n’était rien par rapport à la sienne donc peu importait ce qu’elle pouvait faire, elle était sous son autorité. Le quatrième étage, c’était l’endroit favori pour elle. la porte qu’il n’avait pas ouverte depuis sa finition, c’était dans cet endroit qu’il comptait lui infliger son premier châtiment de bienvenue. Il déverrouilla la porte et entra. Il la jeta sur le lit et rentra en arrière pour mieux l’observer. Il pouvait lire une peur effroyable dans ses yeux et c’était justement l’intérêt recherché. La peur, le désespoir, l’incertitude et tout le reste. -vous avez deux minutes pour vous débarrasser de vos vêtements, Astrid Miller. -qu… quoi ? vous allez… abuser de moi ? Un rire sadique fendit la pièce aux tons rouge noyée dans un éclairage léger. Astrid respirait à peine tellement l’homme en face d’elle était devenu le monstre. elle attendait juste de voir des cornes pousser sur sa tête. Elle se mit à hurler et au lieu qu’il prenne peur du fait que les gens pouvaient intervenir, il redoubla de rire avec ses yeux animés d’une lueur de malice prononcée. -je n’ai pas besoin de forcer une femme pour assouvir mes fantasmes les plus profonds, Astrid Miller. Soumettez-vous ou je le ferai pour vous. Vous avez trente secondes. Il disparut dans une pièce adjacente et elle ne comprit pas. il était de loin de vouloir l’aider à prendre un bain alors pourquoi devait-elle se mettre à nue ? dans quel pétrin s’était-elle retrouvée. Elle se dit que si elle voulait avoir encore quelques chances de sortir de là, il fallait bien qu’elle lui obéisse. Lentement, elle enleva ses vêtements un par un avec les fermés. -perfecto principessa, entendit-elle. C’était sa voix froide et rocailleuse. Elle sentit une nouvelle fois des chaînes passer autour de ses poignées et non, elle ne voulait pas qu’il la fasse prisonnière. -je vous en prie, peu importe ce que je vous ai fait, je vous demande pardon. Je… -chut, principessa ! je ne change jamais de décision et là, tu vas être punie pour ce que tu fais. Elle voulait lui demander ce qu’elle avait fait lorsque ses bras furent tirés vers le haut, emportant avec eux son corps dû à son léger poids. Elle était suspendue dans le vide. il la contournait avec un sourire satisfait aux lèvres. Quelle image ! Lorenzo était certain que jamais il n’oublierait cette image qui s’était incrustée dans son esprit. Il se dit même que c’était de cette façon qu’Aphrodite rendait les hommes irrésistible à son charme. Ses petits seins fermes, son postérieur qui lui donnait envie de l’empoigner dans ses mains, p****n ! il avait l’impression qu’il n’avait jamais assouvi aucun désir dans sa vie et pourtant il avait goûté à un nombre incalculable de femme. Il était temps qu’il la punisse pour ce qu’elle lui avait fait, pour ce qu’elle lui faisait. Il prit une pince et avança vers elle alors qu’elle tremblait. C’était encore plus excitant d’avoir peur du plaisir car cela nourrissait la curiosité de l’explorer dans ses profondeurs. Il passa la pince sur son front, caressa sa pommette et descendit dans son cou où l’objet froid la fit frissonner. Ça venait déjà et il en était satisfait. Il descendit et s’arrêta au niveau de a fente entre ses deux seins, il hésitait par lequel commencer parce que tous les deux avaient droit à la première place. -la droite ou la gauche ? -la… droite, dit-elle sans le vouloir. Il leva la tête vers elle et sourit. Il ne s’était pas vraiment attendu à ce qu’elle lui réponde. Il n’était pas le genre d’homme à obéir alors, il captura le bout de son sein gauche avec sa peine et elle gémit. Il connaissait la sensation qu’elle ressentait ; du plaisir et de la douleur. Elle gémissait par la bouche et pourtant son visage se déformait de douleur. Il fit subir la même chose à son sein droit et alors que son corps s’en remettait, il descendit plus bas, à l’endroit où tout se passait normalement. Il s’arrêta et la regarda. Elle était curieuse de savoir ce qu’il allait lui faire mais, il ne pouvait pas toucher un tel corps avec ses mains parce qu’elle le répugnait. Il alla chercher sa cravache avec un sextoy. Il caressa sa partie intime avec l’objet et ses gémissements perçaient la pièce. Heureusement qu’elle était insonorisée donc il était en fait le seul à s’abreuver de ses gémissements plaisants qui nourrissaient son désir à lui. lorsqu’il vit son liquide couler de sa partie intime, il comprit à quel point elle était mouillée. Il enfonça le sextoy en elle et pendant qu’elle prenait plaisir, il lui frappa le dos à l’aide de sa cravache. Plaisir et douleur, il aimait ça. L’objet était toujours en elle et à chaque fois qu’elle recevait un coup au dos, cela lui permettait de remuer ses jambes et par la même occasion, l’objet se remuait en elle pour accentuer la bonne sensation. Lorsque son dos devint tout rouge, il relâcha la cravache et remua le sextoy en elle. le plaisir pouvait aider à dépasser la douleur et c’était ce qu’il essayait de faire. Lorsqu’elle se mit à se cambrer, il sut que la jouissance était proche. Il relâcha les chaines et elle tomba sans aucune douceur. Ça aussi faisait partir du fantasme de ses désirs.
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