Huit

1099 Words
Mardi matin pendant qu'il était au travail Brahima vint me chercher pour qu'on aille se promener. J'accepte avec plaisir car sa faisait maintenant quelques mois que j'étais là mais j'avais pas visiter la ville. Je le dit à Oumar il accepta. Il était sans doute dans son meilleur jour aussi puisqu'il avait fait une grosse vente , il me remit même de l'argent pour que je m'achète de nouveau habits. J'avais également mes blessures toute cicatrisé et je pouvais sortir sans me couvrir. Nous sommes donc sortit en voiture avec la petite Fatimah. Nous nous sommes arrêté avant devant une crèmerie pour acheter des glaces. Djelika : tu as de la chance dis donc. A ton âge nous on se contentait de boire notre bouillie à des heures pareils et toi tu as droit à des glaces quant tu le veut. Brahima : tu veux dire n'avoir jamais manger de glace? Djelika : non pas vraiment, c'est ma première fois. Des endroits comme sa sa n'existe pas chez nous. Brahima : allons nous assoir tu vas nous parler de ton village.. Djelika : oh y a pas grand chose à raconter. Chez nous c'est un peu le contraire d'ici. La circulation n'est pas aussi dense, les lieux ne sont pas aussi espacés .Le matin c'est direct au puit pour les femmes et les hommes le champs. L'école bon disons que à ce niveau on ne peut pas se plaindre.. Brahima : tu n'avais pas d'amie? Djelika : si deux meilleures amies. Djeneba et Batoma. J'avoue qu'elles me manque beaucoup. Djeneba avait dit qu'elle allait venir ici en ville mais même si elle était là je ne saurais comment la voir puisque je ne peux la contacter. J'ai écrit son numéro sur un bout de papier qui est tout le temps avec moi.. Brahima : t'inquiète tu la verra un jour.. Allons donc au parc je suis sur que tu n'as pas vraiment bien vécu ton enfance. Djelika : bof chez nous déjà quand on atteint une certaine taille on n'est plus des enfants.. Brahima : je ne pense que c'est de l'ignorance sa.. Djelika : sauf que tu n'est pas comme eux. Merci à toi de me divertir souvent Brahima : ce n'est rien tu sais. Nous avons passés la journée ainsi dans la bonne humeur et je m'entendais super bien avec Fatimah elle me traitait comme sa mère. Les petites attentions de sa part, les embrassades je me suis vraiment sentit bien. J'avais même aucune envie de rentrer. Brahima : nous devrions aller il fait un peu tard et papa rentre bientôt. Djelika : d'accord.. Fatimah : tanti je veux du biscuit.. Djelika : mais ma chérie tu as manger beaucoup de sucrerie déjà tu vas gâter tes dents à force. Fatimah : oui mais je vais les brosser après.. Brahima : c'est non!! Djelika : lui crie pas dessus tu sais c'est qu'une enfant.. Brahima : oui mais quand elle commence ses caprices là comme sa elle est inarrêtable. On vas devoir la supporter tout le trajet.. La maison était un peu trop loin, Brahima mit la musique à fond. Je dansais , chantait et riait fort, je vivais les meilleurs moments de ma vie sans penser qu'il y a un drame qui m'attends. **** Il était 19h45 quand nous sommes rentrer. On a vraiment passer la journée hors de la maison et comment sa fait du bien. Je rentre dans la cour et salua toute mes coépouses mais personnes me répondit. Oumar était déjà là, j'ai aperçu sa voiture dans le garage en montant. Il doit être chez Bibata c'est son tour aujourd'hui. Je poussa la porte et je me retrouva nez à nez avec lui. Toujours aussi énerver. Je ne sais ce qui se passe mais je vois toujours le pire quand il a une humeur comme sa. Oumar : viens t'assoir.. J'avoue que je tremblais un peu car il ne me parle jamais calmement. _Le docteur m'a contacté aujourd'hui pour demander ta santé.. Djelika : heu quoi? Oumar : fait pas l'ignorante avec moi. Il m'a appeler pour me faire la morale sur comment entretenir ma femme que des sottises!!! . Qui t'as autorisé a l'appeler? d'ailleurs qui l'as fait puisque tu ne sais même pas te servir d'un téléphone. C'est Brahima n'est ce pas? Djelika : enfaite je.. Oumar : appelle le.. Djelika : mais.. Oumar : je ne veux pas m'énerver d'avantage donc fait ce que je te dis c'est mieux .N'est ce pas que tu aime me faire passer pour une mauvaise personne? .. Je m'exécuta et descendit pour l'appeler. Dans l'ascenseur on se fixait tous les deux. Déjà moi je sais d'habitude ce qui m'attends mais jamais depuis que je suis là il ne m'a fait assoir pour me parler au contraire il me frappait et c'était sa manière pour lui de s'exprimer avec moi. Arrivé au salon il était toujours assis à nous attendre.. Oumar : Brahima qu'est ce que je t'ai dit à propos de mes affaires? Brahima : comment sa? Oumar : qui t'as donné l'autorisation d'appeler le docteur pour qu'il vienne fouiller dans mes affaires personnelles? Quand j'ai épousé Djelika étais tu là? t'ai je demander la permission? Brahima  je voulais juste l'aider.. Oumar : quand je parle tu te tais! c'est toi qui as déclenché la dernière fois la dispute et maintenant tu t'atocie à elle pour salir ma réputation c'est sa? la prochaine fois je ne veux pas entendre que tu es la source d'aucun problème est ce clair? Brahima : je suis désolé.. Djelika : écoute c'est pas sa faute .C'est moi qui lui ai demander de me conduire là-bas .. Oumar : donc vous pensez être assez intelligent pour me ridiculiser devant mes semblables.. Brahima tu crois que tu es maintenant devenue un grand gaillard et que je ne peux plus te frapper? tu te trompe.. à bon entendeur, salut! maintenant vas t'en!! Brahima : encore désolé papa.. Oumar : fou le camp imbécile.. Moi qui le voyait s'éloigner les yeux presque remplis de larme. Il me faisait de la peine, si seulement j'avais tout simplement fermer ma bouche rien de tout cela ne se serait passé. _Apporte mon repas.. Djelika : mais c'est Bibata qui est de tour aujourd'hui!! Oumar : je mange où je veux.. Djelika : j'ai rien cuisiner.. Oumar : tu as vraiment de la chance aujourd'hui que je suis de bonne humeur tu m'aurais payer cette honte ..Femme inutile. Alors là si c'était sa sa bonne humeur, y a du boulot. J'ai vraiment échapper belle. Pauvre Brahima.!.
Free reading for new users
Scan code to download app
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Writer
  • chap_listContents
  • likeADD