Sept

1282 Words
****Une réunion s'impose. Mon cœur battait très fort quand j'entendit sa voiture se garer. J'appréhendais le moment . Il n'est pas monté , il n'est d'ailleurs rentrer chez aucune d'entre nous .Il s'est direct assis dans la cour et commençait à réfléchir. Depuis l'étage je le voyais se tenir la tete et la secouer.  Le voisin lui avais déjà raconter ce qui c'était passé. Certainement qu'il était en colère. Quant il fut totalement reposé , il s'adresse à la femme de ménage. Dans notre cours il n'y avait qu'une seule femme de ménage qui s'occupait de tout .Elle était de temps à temps aidé par ses enfants mais Oumar est resté claire il ne veut pas que ses femmes deviennent paresseuse donc il refusa de prendre plus de femme de ménage. Oumar : Balogo , vas m'appeler mes femmes une à une je veux les voir toutes ici. Celle ci se précipita chez chacune de nous et s'exécuta. Quelques temps après , et je peux dire que j'ai vraiment pris mon temps . On était maintenant toute réunis autour de lui  et il nous dévisageait l'une après l'autre. Ses yeux était rouge, ses nerfs tendu. Oumar : que s'est il passé? Safia : c'est ta nouvelle femme là qui as commencer.. Oumar : j'ai pas demander qui as commencer ou quoi , j'ai juste demander ce qui c'était passé. Safia : puisque je te dit que c'est elle qui as commencer.. Djelika : enfaite Brahima s'est porté volontaire pour m'acheter mes médicaments mais entre temps il y a eut une dispute entre lui et sa mère donc je suis intervenu mais elle n'a rien voulut savoir et s'est mise à crier dans tous les sens . Safia : déjà qui t'avais sonné? Oumar : Safia stop !!! Djelika que t'avais je dit a propos de cette ordonnance? Djelika : que tu ne voulais rien savoir c'est ce que je lui ai dit mais il a refuser de m'écouter. Oumar : toi on verra sa plus tard.. Comment vous dire que j'ai commencer à suer non mais vraiment des goutes chaude qui se rejoignait sous mon menton. Oumar : Bibata tu as quoi à voir dans tout sa? Safia : alors là moi même je sais pas vraiment demande là. Je parlais avec mon fils et ses deux idiotes sortent de je ne sais où pour m'interrompre et .. Oumar : Safia j'ai dit d'arrêter..!! Il haussait de plus en plus le ton. Bibata : oh ferme là tu sais très bien ce que tu as fait alors arrête de faire l'innocente.. Oumar : bon que sa soit le dernière fois que vous embêter les gens avec vos bêtises est ce que je me fait entendre? même les voisins ce sont plaint de votre comportement , vous croyez être dans la jungle ou quoi? L'autre est partit à cause de sa et si je reçois encore des accusations de ses genres ou qu'on me dise même que  vous déranger la tranquillité des gens  je vous fou toute à la porte. Safia : en tout cas elles n'ont qu'à partir hein.. Oumar : j'ai dit toute sans aucune exception.  Safia : je n'y suis pour rien mais je me fait blâmer quand même c'est injuste.... Oumar : j'ai finit de parler . Maintenant dégagez toute de ma vue !!je veux respirer. Je me demandais sur le coup comment on pouvais se battre pour un homme comme sa. Il est irrespectueux et dépourvu de tout sentiment en plus il ne sait pas dissuader le vrai du faux. Chacune rejoignit son appartement calmement mais en se jetant des regards de menaces. **** Après cette réunion inutile, je suis rentrée me doucher et à ma sortie étant assise pour me pommader j'entend Oumar qui rentre .Je suis rester figé deux secondes comme une statut devant le miroir. Il boucla la porte et vint me rejoindre dans la chambre. En le voyant avec son fouet et la chemise déboutonné j'ai direct sentit que je vais encore y passer. Oumar : donc à mon absence tu compte me ridiculiser aussi? tu veux donc me faire passer pour un homme méchant? Djelika : non ce n'est pas du tout ce que tu crois.. Il se dirigea vers moi commença à me frapper. Je me débattais vraiment mais avec le peu d'énergie et la force qu'il avait il me serrait le bras. Je criais beaucoup mais personne ne vint m'aider. Il a construit sa maison de tel sorte que personne n'entende les bruits qui s'y produit. Oumar : sa t'apprendra à me respecter dorénavant et je ne veux aucunement entendre parler de ses histoires de médicament , plus jamais. Il me laissa seul après avoir satisfait encore une fois de plus son désir. Ce qui me vint directement en tete était de me suicider et n'avoir plus à vivre des calvaires pour un mariage qui ne me rapporte rien.. J'étais couverte de blessure de la tête aux pieds j'avais du mal à sortir et même du mal à me laver. Je restais assise du matin au soir à pleurer. Oumar ne venait plus dans mon appartement. Les seuls fois qu'il venait c'était  pour me v****r et repartir. ****Une semaine après Toc!toc!toc . J'entend soudain frapper à la porte ce qui est sur ce n'était pas Oumar car il ne demande la permission à personne avant d'entrer dans une pièce. Brahima : tanti c'est nous.. Djelika : rentrez! Brahima : bonjour tanti.. Djelika : ah bonjour Brahima comment vas tu? Brahima : bien et toi? tu te sent mieux? Djelika : oui cv.. Tient tu es venu avec Fatimah? vous ne devrez pas être ici tu le sais. Je ne veux plus de problème. Brahima : tu n'as rien à craindre.. Je venais voir comment tu allais sa fait quelque temps que tu ne sort pas. Djelika : oui je sais j'ai juste pas envie de sortir. Tu peux aussi appeler sur le téléphone . Vos mères ne m'ont toujours pas accepter et je ne pense pas qu'elles m'accepteront un jour on doit prendre de la distance. Brahima : je sais mais te voir aussi me rassure et me fait déculpabiliser. Tu es si jeune et tu subit tant d'atrocité. Je suis un peu comme toi , mon père m'effraie aussi . Je me rappelle de quand j'étais petit et que je faisais des bêtises ou que l'on m'accusait à tort car mes frères me piégeaient beaucoup j'étais le plus âgé du coup je supportais sans parler , il me chicotait bien fort au point d'avoir des cicatrices le long du corp. Djelika : a t'il été toujours méchant? Brahima : oui c'est un peu naturel chez lui , il terrorise tout le monde ici.. Djelika : désolé pour sa.. Je sais qu'il part d'une bonne intention quant il agit ainsi avec ses enfants mais j'ai un peu assez des coups que je reçois par ci par là. Même si il me frappe d'habitude alors que j'ai rien fait c'est douloureux. _Tu devrais partir. Ecoute c'est pas que je te chasse mais s'il te plait vas t'en avant qu'il ne rentre. En plus il a maintenant mis des caméras partout. Brahima : tu as peur jusqu'à ce point? Tu risque de te rendre malade le sait tu? Djelika : je sais mais sa iras.. Brahima : tu as les yeux gonflés.. Djelika : sa passera.. Vas y.. Que c'est triste d'éloigner les gens de moi juste parce que j'ai peur de me faire violenter. Je ne peux recevoir d'aide de personne à défaut de me faire agresser.. Alors j'attends juste le bon moment. Le temps est un excellent juge dit on.
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