Cinq

1297 Words
Je rejoignit ma maison et n'aperçu aucune de ses femmes. Comment vous dire que l'endroit était spacieux. On se croirait dans ses contes de fées que la vieille nous racontait au village. C'était encore plus beau que dans ses récit. Birama : tu dois être fatigué? je te laisse te reposer.. Djelika : merci vraiment, mais au faite où sont les autres femmes je n'ai aperçut personne pour le moment. Je dois passer les saluer comme ma mère me l'a dit En effet avant de prendre la route ma mère me donna pas mal de conseils et surtout insista sur le fait que je dois rester correct avec tout le monde. Birama : pour les autres je ne sais pas trop mais ma mère elle est sortit pour faire des courses. Djelika : ah d'accord, merci. Il était si gentil si attentionné et non sur la défensive ou à montrer que je suis leurs ennemis. Oumar avait trois femmes. Chacune d'elles avaient deux enfants. Birama était le fils ainé. Il devait bientôt se marier. Et la toute dernière était Fatimah, une fille très belle, les cheveux très longues , teint blanche. Elle n'avait que 5ans et je suis déjà tomber amoureuse d'elle. Vers le petit soir il s'est enfin décidé à rentrer et au lieu de passer directement me voir il s'est assis chez sa première femme pour manger et je ne sais ce qu'il se sont dit mais j'ai eut droit à ma première dispute alors que je viens à peine de débarquer. Oumar : pourquoi tu n'as pas saluer tes sœurs? Djelika : mes sœurs? quelle sœur? Oumar : mes autres femmes, toutes se plaignent de ne pas t'avoir vue. Djelika : j'ai demander après eux à Birama mais il a dit ne pas savoir où elles se trouvaient , que seule sa mère est sortit pour ses courses et je ne pouvais pas n'ont plus aller saluer seule, tu devais avant de partir me les présenter. Oumar : tu pouvais juste aller frapper à leur porte au moins quelqu'un t'aurai répondu. Djelika : mais je leur ai pas vu quand je suis rentré , comment pouvais je connaitre chez chacune d'elle, je suis arrivé aujourd'hui Oumar : n'empêche t'aurais dû y aller. Puis il est rentrer dans la chambre et m'a laissé seule dans le salon. Alors là c'est grave me blâmer alors que je n'ai rien fait. Des lors j'ai compris que vivre ici ne sera certainement pas une tache facile. **** Il était de tour chez moi. Avant d'aller au boulot le matin il m'a remit de l'argent et ma demander de cuisiner pour lui mais en réalité je ne savais rien faire. Je n'avais rien appris du tout . Djelika : mais comment veux tu que je m'en sort? Oumar : cela m'est égal. Je veux à mon retour pouvoir manger. Je n'avais ni téléphone pour contacter ma mère et d'ailleurs elle non plus n'a pas de portable. J'étais donc obligé de descendre pour voir l'une de mes coépouse et la demander de l'aide mais il me semble que la manière dont je suis arrivé dans cette maison n'a pas plus à certaines si seulement elle savait que même moi je ne veux pas être ici. Mais qui ne tente rien n'a rien. Jai pris mon courage à deux mains et je suis descendu. C'est la deuxième femme que j'ai trouvé. Elle s'appelait Bibata. Djelika : inisogoma( bonjour) grande sœur Elle commença à me dévisager de la tête au pied et me répondit Bibata : que fais tu ici et d'ailleurs qui est ta grande sœur ? Quand tu me vois est ce que je ressemble à un membre de ta famille ? Djelika : désolé je ne voulais pas te déranger, j'avais besoin d'aide pour la cuisine. Bibata : et tu veux que je fasse quoi de sa? Dégage c'est mieux pour toi.. Djelika : s'il te plaît ! Bibata : vas t'en.. Je ne sais pas pour les autres mais elle quand même ne cache pas son jeux. **** Comme j'ai pas pu obtenir de l'aide je cuisina un plat que je savais faire même si je devinais en avance que sa ne lui plairai pas. Quand je finit de faire ce que j'avais à faire je m'assied un moment dans le salon et je contemplais encore la grandeur de la maison. Ce sentiment d'échappement me quittait petit à petit et je restais pensive. Birama me rejoignit. Je ne l'entendit pas arriver Birama : bonjour tanti Djelika : tu sais bien que je tu es plus âgé que moi alors arrête de m'appeler tanti. Birama : tu es ma belle mère et je ne pense pas que l'âge à quelque chose à voir avec cela. Djelika : non je suis ta belle mère malgré moi ce n'est clairement pas mon choix ils l'ont fait à mon détriment. Birama : je comprends mais tu vas t'habituer .. Djelika : m'habituer à quoi? à la richesse? Birama : non à mon père. Je ne pense pas être la personne approprié avec qui discuter d'un tel sujet. Je voulais te demander si tu as des courses à faires pour t'y accompagner. Djelika : pour le moment je ne sais pas trop quoi acheter mais j'y réfléchirai et te ferais signe si tu es toujours disponible bien sûr. Birama : ok d'accord à plus tard. Il doit se dire dans sa tete que je suis une petite fille mal éduqué dis donc , sauf que je n'ai pas à cacher mes sentiments et faire semblant comme si tout allait bien. **** Après ma petite sieste, je réchauffa le repas de mon sois disant époux et commença à l'attendre. Il rentra encore en colère contre je ne sais qui car je savais bien ne l'avoir pas énervé, le visage serré il ne me disait mot durant tout le long du repas. Tant mieux sa me faisait des vacances car l'écouter ne me faisait pas plaisir du tout. Le repas terminé je suis rentré dans la chambre pour m'allonger un moment dans le lit mais je me suis assoupis à mon insu, quelques minutes après je sentit ses mains me toucher. Je sursauta et les retira violemment. Djelika : non je ne veux pas. J'ai toujours mal. Et bien sûr il s'en foutait pas mal de ce que je ressentais. J'étais sa marchandise et il pouvait m'utiliser comme il le voulait. Oumar : tais toi et obéis, c'est quoi ton utilité sinon? Vas y déshabille toi.. Djelika : non lâche moi.. Oumar : tu ne me laisse pas le choix , j'ai envie et je veux satisfaire mon désir.. Il s'est mis sur moi et commençais à me gifler , je me débattais mais j'ai finit par m'épuiser. Son poids m'étouffait clairement et me paralysait. J'arrivais pas à bouger. Tout le long j'avais mal. Quand il finit il quitta la chambre et alla dormir dans le salon. J'étais assise au milieu du lit toute nu, entrain de pleurer de douleur. **** Cette encore comme tant d'autre je n'ai pas pu fermer l'œil . Le matin , je marchais en boitant et on pouvais facilement deviner que j'allais pas bien. J'avais besoin de soins je le sentais. Je fis appel à Birama quant il alla au boulot.. Djelika : s'il te plait tu peux monter? Birama : d'accord.. -- Birama : oui tanti.. Djelika : emmène moi à l'hôpital s'il te plait.. Birama : tu es souffrante ? Je peux demander au médecins de venir directement ici si tu veux.. Djelika : il peut venir vraiment? Birama : oui laisse moi aller le chercher. Djelika : je pense que cela m'aiderait vraiment. Merci. Je me débrouille un peu pour être un minimum présentable avant son arrivé.
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