2.

2244 Words
Atheya Je marche dans la rue de Seattle les mains dans les poches en train de de penser à grand-mère, elle est parti il y a deux mois maintenant et elle me manque beaucoup, je voulais pas qu’elle parte mais c’était sa destinée elle devait mourir comme ça. À la maison ça fait un grand vide déjà que je me sentais seule quand elle partait juste une heure pour aller faire une course même qu’elle prenait une sieste là je me sent vide, je sens qu’il y’a rien autour de moi, je suis seule. J’ai tellement été choqué qu’on apprenne ta vie morte que je me suis évanouie, c’est la seule famille qui me restait, mes parents sont partis, quand j’avais huit ans et au-delà de ma grand-mère je connais aucun autre membre de ma famille. J’aimerais bien bien la voir avec moi là maintenant tout de suite, je pense quand même que j’ai énormément profité d’elle avant qu’elle parte, on était extrêmement proche donc j’ai pas à me reprocher de ne pas avoir profité d’elle mais c’est trop toi c’est vraiment trop top les besoins qu’elle soit là parce que même si de base c’est ma grand-mère c’était aussi mon père, ma mère, ma sœur Et surtout ma meilleure amie. J’ai juste besoin d’elle j’aurais aimé partir avant elle, elle qui est très sociable elle se serait remis rapidement de ma mort moi là après-demain je n’arrive pas. Je l’aime c’est tout. Ça me rends de pas l’avoir ici, habituellement que j’aurais du travail elle est là pour m’accueillir avec un gâteau au chocolat ou un gâteau à la fraise qu’elle m’a préparé avec de l’amour, chaque jour j’avais un gâteau différent, un gâteau me donner le sourire avec la mauvaise journée que j’ai passée. Être serveuse C’est bien mais à cause de la clientèle ça peut être très mal, beaucoup de clients sont déplacer dans la parole ou dans l’enregistrer. Je ne sais pas combien de fois j’ai failli me faire agresser sexuellement pas un homme ou même par une femme. J’espère que le fait que ma grand-mère soit plus là va pas atteindre mon humeur au travail, je veux pas avoir de problème avec ma patronne même si je n’ai pas besoin de ce travail pour subvenir à mes besoins, j’ai besoin de faire quelque chose dans mes journées pour ne pas rester enfermé et me renfermer sur moi-même. J’ai assez de l’argent avec l’héritage de mes parents plus ma grand-mère pour payer à la maison, les factures, et mes besoins personnels mais j’ai quand même besoin de faire quelque chose. – Oh Atheya ! Dit une voix derrière moi. Je souffle un bon cou avant de me retourner, vraiment cet homme qui est mon voisin je ne le supporte pas il me fait clairement savoir de son regard qu’il me veut dans son lit, il ne se gêne pas pour se mordre la lèvre sensuellement ou même il me regardait avec trop d’instance. – Salut Paulin, dis-je en lui faisant faux sourire. Il me sourit de retour et immédiatement ses yeux descendre sur ma tenue. – T’es...t’es pas habillé comme une femme aujourd’hui. Je rigole nerveusement en dessous des épaules, il dit ça pour pouvoir mater mon c*l ? C’est vrai que là avec mon sweet et mon jogging c’est bien caché cacher. – Tu regarderas les fesses de quelqu’un d’autre aujourd’hui, répondé-je en souriant fière de ma réponse. Il paraît gêné ce qui me fait rire intérieurement, comment ça se fait qu’il fait une tête comme ça alors qu’il se gêne pas pour bien me regarder ? Cette homme est un comédien et je compte bien me méfier de lui car je le trouve pas trop nette. – Je...j’ai pas dit ça pour te regarder, c’est juste que j’ai l’habitude de te voir avec de très jolis vêtements féminins alors que là...t’es habillé comme un garçon quoi. Je je ris fort pour le faire comprendre qu’il est ridicule, vraiment c’est homme me dégoûte, soi-disant parce que je n’ai pas mis un CROP top je ne suis pas habillé comme une femme puis même si j’ai mis un jogging et que ça ne paraît pas féminin en quoi ça le concerne ? C’est vrai que je m’habits très souvent Plus féminin que ma tenue d’aujourd’hui mais je pense clairement arrêter ça car je reçois énormément de choses déplacer comme là maintenant qui va je n’ai énormément. J’ai toujours aimé m’habiller comme une femme avec des grands talons hauts argent la tête droite, le corps droit avec ta démarche d’une mannequin mais le temps passe plus je me dégoûte moi-même en sortant comme ça et ayant des remarques à cause de mes tenues Tout ça c’est de la faute des hommes qui peuvent maintenir le regard, leurs mains et encore moins leur force corporelle. C’est à cause d’eux Que certaines femmes n’arrive pas à sortir dehors sans être accompagné ou le soir, si seulement les hommes pouvaient être respectueux et digne refaire toutes les femmes, le monde serait différent et nous en tant que femme nous serons plus rassurés. – Passe une bonne soirée Paulin. Je me dépêche de continuer ma route en marchant vite, une fois il m’a déjà suivi jusqu’à mon lieu de travail et même si je n’ai pas peur je veux je veux pas me faire kidnapper par cet homme là. Après malgré que je sache me défendre, C’est dangereux d’être entouré de plusieurs hommes qui sont déjà physiquement plus fort que toi alors j’imagine même pas alors force corporelle quand je vais essayer de m’échapper. Honnêtement je suis vraiment je suis vraiment dégoûté par cet homme, il ressemble beaucoup aux hommes qui viennent dans le restaurant dans lequel je travail en tant que serveuse. Ces regards sur mon corps entier, la façon « sensuelle » qu’il y’a dans sa voix quand il ouvre la bouche et sa langue qui passe sur sa bouche me faisant comprendre que je pourrais être son déjeuné non vraiment je hais ce genre d’homme là donc je le hais, il me dégoûte simplement. J’arrive au travail la tête ailleurs et par mettre ma tenue, je salue mes collègues puis commence mon service. En général toutes les personnes qui entrent ici je les connais déjà sauf que là, il y avait un homme ou peut-être une femme assis seul sur une table en train de lire la carte. Il a une capuche sur la tête donc je ne peux pas voir son visage et je ne sais pas trop si je les laisse à l’une de mes collègues ou que je bouge le voir. Je prends une grande inspiration et pars en direction de cet homme. Dès lorsqu’il sent ma présence il lève son regard pour le poser sur moi, je ne vois toujours pas ses yeux ni même son visage mais je sais qu’il me fixe. – Bonsoir monsieur, vous avez choisi votre plat ? Il se coula tête tu regardes la garde la pause finalement sur la table et me dit : – Je veux que de l’eau s’il vous plaît. Sa voix paraît très aiguë par rapport à son corps. Je fronce les sourcils et regarde le carte de menue posé sur la table avant de le regarder. – Les plats ici ne vous plaît pas ? – Non j’ai juste pas faim. Je n’en dis pas plus et pars chercher de l’eau, je lui ramène et le regarde boire. Dès qu’il fini il se lève en remerciant puis laisse un billet sur la table avant de se diriger vers par la porte, il se retourne pour me regarder avant de me dire : – À ce soir Atheya. Je lève les yeux au ciel on ne prenant pas compte sa dernière phrase, c’est encore un homme qui essaye de me faire peur pour que je finisse dans son lit ? Ils n’ont toujours pas compris que leur méthode de drague est vraiment nul. Et s’il essaye de me faire peur comme ça ça ne va pas marcher. Je continue mon service jusqu’à vingt-trois heures avant de rentrer à la maison, je monte prendre une douche et me poser sur le canapé. C’est là à ce moment là que je sentais la bonne cuisine de mamie dans la cuisine, je me levais et partais sentir l’odeur agréable avant d’ouvrir la porte et partir lui faire un câlin par derrière. C’était comme ça chaque soir quand je rentrais tu travail. Elle voulait toujours me faire plaisir. La seule chose que je regrette de ne pas avoir fait avec elle, c’est de ne pas l’avoir serrer dans mes bras le jour où elle est parti, le jour où elle a fermé les yeux définitivement. C’est la seule chose aujourd’hui que j’aurais dû que j’aurais du faire. C’est vrai qu’en ni pensant À part lui faire un bisou sur la joue, je le serai jamais dans mes bras pour moi les bisous suffisait mais maintenant j’aurais dû la serrer fort contre moi et lui dire à quel point je l’aime. Je passe ma main sur mes cheveux en soufflant, depuis qu’elle est partie je ne fais que de penser à elle je me demande comment ça se passe là-bas pour rien, si son âme existe plus ou pas ou si tout simplement elle est en enfer ou paradis. Je pars pas voir sa tombe, pour moi ça ne sert à rien et c’est une perte de temps surtout qu’elle n’a pas été enterré mais en Colombie. À la fin de notre journée on se poser toutes les deux sur le canapé pour regarder un film, c’était toujours un film qui date des années 60 ou on peut plus parce que c’est toujours elle qui choisissez, je dois avouer que je n’aimais pas trop ces films là mais c’est vrai que certains étaient vraiment bon. Je suis quand même heureuse parce qu’elle a énormément vécu et que j’ai pu profiter d’elle avant qu’elle parte, y’a pas un jour où je n’étais pas avec elle, toujours collé l’une à l’autre c’était pas ma meilleure amie pour rien. J’ai tellement pleuré quand j’ai appris qu’elle n’était plus là alors que je ne pleure presque jamais, ou très rarement en tout cas. Je monte ma longer sur mon lit et regarde le plafond, parfois ça arrive et qu’elle vienne dans ma chambre Pour embrasser mon front avant de me faire un bisou sur la joue et de sortir de la chambre, parfois je dormais mais parfois je ne trouvais pas ça dépendait des temps quelques fois je vais lui demander même qu’elle rester dormir avec moi, si tu es vraiment quelqu’un de formidable, quelqu’un qui a compté pour moi et qui restera à jamais dans mon cœur. Je pars rincer mon visage puis je me brosse les dents avant que je me rallonge sur mon lit, je ferme les yeux et m’endors directement. ___ Dans la nuit je me réveille pour aller aux toilettes, apprendre à passer quelques minutes dans la salle de bain je me lave les mains et sort pour me recoucher sur mon lit. Je voulais m’endormir sauf que j’ai l’impression que quelque chose d’étrange se passer actuellement, j’étais trop regardé comme si quelqu’un observer dans le noir. J’ouvre les yeux et ma sœur sur mon lit je regarde autour de moi et c’est là que je vois une silhouette assis sur mon fauteuil en train de regarder en ma direction, il a une capuche ce qui fait que je ne vois pas son visage, j’allais parler mais la personne beaucoup en me disant : – Je t’avais dit à tout à l’heure Atheya.
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