3.

2073 Words
Atheya Ça voix me rappelleras tout à l’heure, mais il y a bien une personne qui m’a dit ça sauf que cette personne là avait la voix beaucoup plus aiguë que l’homme qui se tient à ma droite. Je sais pas ce qui se passe mais la situation ne me plaît pas du tout, comment a-t-il fait pour entrer ici alors que c’est très sécurisé ? – N’ai pas peur bella, je suis pas là pour te faire du mal, poursuit-il. Je n’ai pas peur à l’instant, je me demande juste comment il a fait pour rentrer. Si il a pu entrer sans être remarqué par l’alarme ça ne veut pas dire que c’est quelqu’un de dangereux mais je devrais me méfier. – Qu’est-ce que vous faites chez moi pourquoi vous êtes assis sur mon fauteuil ? demandé-je en me levant du lit. – Tu dois venir avec moi, et si tu ne proteste pas je n’ai rien à te faire mais si par malheur tu décides de ne pas me suivre ça risque d’être mal pour toi. Sa phrase me glace le sang, il me rappelle quelqu’un, quelqu’un je J’essaye d’oublier mais que malheureusement je n’arrive pas, quelqu’un de dangereux qui traîne toujours dans les parages alors qu’il t’aurait être un enfermé depuis longtemps. Il a dû envoyer l’un de ses hommes pour venir me chercher, je suis morte. Il va me retoucher je suis sûre de ça. - Si... s’il vous plaît laissez moi tranquille, rentrer chez vous. bafouillé-je en le fixant. Mes mains ont commencé à trembler, Je n’ai pas peur de l’homme que j’ai en face de moi mais tout ce qu’il va se passer après, je suis assez détruite comme ça pour que mon enfer recommence. – Si ça tenait qu’à moi, je ne serai même pas ici mais les ordres sont les ordres. Je glisse sur le sol ayant les larmes aux yeux, je suis très sensible en ce moment et plus personne pourra me protéger de lui, il va me tuer je pense que je vais mettre fin à ma vie, je vais pas le supporter. J’ai l’impression d’avoir raté ma vie, pourquoi s’intéresser à une fille aussi inintéressante que moi ? C’est vrai sans portance aucune que je suis vraiment pas mal physiquement mais ça ne veut pas de dire qu’on me prenne pour un objet sexuel, je ne sers pas ça je suis pas née pour ça. Il se lève du du fauteuil c’est qui a commencé à me faire peur, je me lève aussi du sol et recule. - Je vais pas te faire du mal je t’ai dit. – À partir du moment où vous me ramener là-bas c’est que vous allez me faire du mal, est-ce que ça vaut moins ce qu’il m’a fait ? – Non ça ça ne m’intéresse pas, lève-toi, dit-il en s’approchant lentement de moi. – T’approche pas ! dis-je en levant la voix. J’ai envie de M’en fuir mais c’est l’homme est beaucoup plus heureux que moi et je suis sûre qu’il croit beaucoup plus rapidement que moi, je suis coincé avec lui soit je le suis ou soit il me fait du mal pour me forcer à me ramener avec lui. Qu’il aille se faire foutre. J’ouvre la porte de la chambre est court pour descendre, je prends mais chaussures à la va vite puis je cours vers la sortie de la maison, en voyant qui n’est pas derrière moi j’accélère ma course en courant le plus rapidement possible pour le pas qu’il m’attrape. Je tourne à droite puis à gauche dans la route comme si j’étais folle, je n’ai pas le choix il veut encore me faire du mal, il fait encore me prendre pour un objet sexuel, depuis l’âge de mes huit ans il ne me lâche pas, j’ai l’impression que c’est que mon corps qui l’intéresse, aucune autre femme pourra lui faire plaisir autant que mon corps lui faisait plaisir. Il me dégoûte je me dégoûte d’être si séduisante aux yeux d’un vieux pédophile assoiffé de sexe. J’aimerais combien de temps cet instant mais il n’y a personne, je suis seul trop seul, je crois que c’est l’heure de mettre fin à ma vie c’est hors de question que quelqu’un me touche sans mon consentement, je ne suis pas créé pour ça, j’ai été créé pour vivre ma vie comme je l’entends, comme je le veux. Je trébuche, je me relève rapidement et en voyant que mon genou me fait mal je m’en ma lèvre inférieur. Je peux pas aller plus loin je suis donc foutu. S’il me cherche vraiment il va vite me retrouver. – Pas mal tu cours vite, dit la même voix dans la maison tout à l’heure. – Laissez moi tranquille ! Crié-je. – Tu t’es niqué le pied, viens je t’aide je t’ai dit que je te veux pas du mal. Il allait s’approcher de moi mais je prends peur et mets mes mains devant comme pour lui dire de ne pas se rapprocher, étonnamment il ne bouge plus il me regarde. – Faut que je te ramène dans ma voiture, j’ai soin si tu veux. – Je...je veux juste rentrer chez moi et aller dormir. – D’accord je te ramène chez toi si tu veux, dit-il en me tendant une main, mais je crois que je vais devoir te porter ou du moins que tu t’appuies sur moi. Je dois pas lui faire confiance, il vient me chercher, il va me ramener au vieux pervers pédophile. C’est un méchant, je veux pas qu’il s’approche de moi. – Rentrez chez vous et laissez moi tranquille ! C’est...c’est tous ce que je vous demande monsieur ! J’ai osé dire Monsieur alors que il a l’air d’être aussi jeune que moi, je réfléchis pas avec ma tête maintenant je veux juste rentrer à la maison c’est juste ce que je lui demande. – Je vas-y rentrer chez moi avec toi, mais pour l’instant il faut qu’on rente chez toi. – Je...je veux pas rentrer avec vous ! crié-je. Lai...laissez moi tranquille s’il vous plaît ! Une larme coule que j’efface vite, il ne doit pas savoir ce que ça fait d’être v***é depuis très jeune par un homme qui a trente ans de plus que lui, seul les personnes ayant vécu cette chose peuvent savoir ce que ça fait. Elle s’approche de moi pour me relever sauf que je recule, je veux pas qu’il me touche je lui fais pas confiance, je le connais même pas déjà qu’elle est rentré effraction chez moi j’aurais dû appeler la police. Ça me fait peur cette histoire je sais pas comment je vais finir, de toute façon c’est fini pour moi il m’a trouvé, et il vient me chercher. – Je vais pas te faire de mal, dit-il en s’approche une nouvelle fois. Il me prend par les aisselles et me relève doucement, il me met sur mes deux jambes et me laisse. En voyant que j’allais tomber par terre il me rattrape par ma taille ce qui me fait frissonner. Il passe mon bras autour de son cou et m’aide à marcher comme ça, je me laisse faire étant incapable de marcher sur mes deux jambes toute seule. On arrive à la maison et il me laisse sur le canapé, il part et revient quelques minutes après avec une trousse de secours, il soigne mon genou et pose tout sur la table. – Vous allez partir maintenant ? Il secoue la tête en se mettant en face de moi. – Qui crois-tu que je suis ? – Vous êtes bien venue me chercher pour m’emmener à un homme ? Il hoche nouvelle fois la tête. Je ferme les yeux en imaginant des scènes plus horrible les une que les autres, est-ce que moi il sait ce que son patron me fait ? Où est-ce qu’il est l’ignore et il fait ça que pour avoir de l’argent ? Malgré son physique, il n’a vraiment pas l’air méchant mais quand même s’il travaille pour cet homme c’est qu’il est méchant ou du moins il ne fait pas partie des bonnes personnes. Je sais pas trop ce que j’ai fait pour mériter ça, j’ai juste envie de vivre ma vie pleinement surtout que maintenant que ma grand-mère n’est plus là il faut que je vais seul que je me débrouille comme une adulte. Je veux pas être l’objet sexuel d’un homme c’est hors de question. Je allonge doucement pour ne pas me faire mal, et tourne mon corps pour ne pas voir l’homme. J’ai envie de m’endormir avec sa pression je sens que ça va être limite être impossible, je ferme quand même les yeux, j’espère qu’il va s’en aller j’espère vraiment ça. Le lendemain en rouvrant les yeux, je tourne mon corps. Et c’est envoyant l’homme d’hier que je fronce les sourcils puis me relève brusquement. Je ne vois toujours pas son visage, il est toujours caché par sa capuche. Je sais par compte qu’il me regarder aussi, sa tête était légèrement relevée sur la mienne. je pensais qu’il allait partir dans la nuit, mais finalement c’est homme veut vraiment réussir ce que lui a demandé de faire, je suis donc bloqué avec lui jusqu’à qu’il m’emmène là-bas ? Je préfère mourir que de revoir cet homme. – Vous pouvez partir d’ici s’il vous plaît ?! crié-je. En quoi tu n’as pas compris que je ne voulais pas venir, on va pas me forcer contre me gré D’être en face d’un homme pour qui je ressens de la haine profonde ? – Crie pas. dit-il calmement. – Alors sortez de chez moi si vous voulez pas que je crie, déjà je fais ce que je veux je suis chez moi ici ! Il se lève du fauteuil il s’approche de moi lentement, je recule puis m’arrête. – Tuez moi. Plutôt mourir. – Qu’est-ce que tu racontes toi ? – Tuez moi c’est hors de question que je vais avec vous, personne qui vous a demandé de me ramener et qu’un fou je préfère mourir que d’être devant lui. Il fronce les sourcils en arrêtant de marché, il ne va pas me dire qu’il est pas au courant aussi. Il travaille pour un homme qui ne connaît même pas ? Dans tous les cas c’est pas ça le plus important pour moi, le plus important c’est que je ne voit plus son visage, je veux plus le revoir, non en fait je peux plus la voir c’est trop dur pour moi. La seule vraie chose que je veux c’est qu’il meurt.
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