4.

2096 Words
Atheya Quelques heures plus tard, je ne savais pas du tout quoi faire de cette situation, il ne voulait pas partir et comme il est intelligent il a pris tous mes appareils qui peuvent appeler la police. Je suis littéralement coincé avec cet homme chez moi. Il faut juste que j’accepte de le suivre mais c’est hors de question ça, il me pose la question mais la seule réponse que j’ai droit c’est un oui. N’a n’a pas bougé du fauteuil depuis ce matin, il est assis en train de jouer avec son téléphone. J’ai encore une fois essayé de m’enfuir sauf qu’avec ma jambe sa rapidité ça a été impossible. Il court très rapidement c’est pour ça qu’il m’a rattrapé hier, il veut vraiment pas me laisser même quand je suis allé aux toilettes il m’a regardé bizarrement. Je sais pas quoi faire là, si je saute par la fenêtre tu vas quand même me rattraper, et c’est pareil que si je vais sortir par la porte de derrière. Je baille et prends un gâteau et mange rapidement, je suis extrêmement fatigué j’ai fait que de me réveiller la nuit pour aller aux toilettes et comme nous étions dans le noir je n’ai pas vu s’il était là ou pas, en vérité je n’ai même pas cherché à savoir s’il est là ou pas. Pour moi ce n’était qu’un rêve, un rêve qui allait se terminer mais ce n’est pas le cas, ce n’est pas un rêve c’est la réalité il est vraiment venu me chercher. Je souffle en fermant les yeux, et si je le faisais maintenant ? Et si je vais me planter ? Ça ne sera pas de ma faute car il est venu me chercher et que mon calvaire allait recommencer. C’est dommage qu’il n’a pas un peu de pitié pour toi, je veux pas te faire de la peine mais il a bien vu que j’étais en détresse, que j’avais vraiment peur qu’il me ramène là-bas. C’est un humain, il devrait normalement me laisser tranquille après mes yeux remplis de larmes. Mais non, il obstine reste ici. Donc c’est comme si il me mettait un couteau sur la gorge. Au moins je vais pouvoir rejoindre grand-mère, je serai avec elle dans L’au-delà, on sera toutes les deux en paix. Je vais aussi pouvoir rejoindre mes parents, je ne sais même plus à quoi il ressemble je n’aimais plus de photos et il me manque énormément. C’est dur de ne pas vivre avec tes parents maintenant je comprends les orphelins, moi j’ai quand même eu de la chance d’avoir eu ma grand-mère alors qu’eux pendant toutes leur adolescence ils vivent sans savoir qui a bien pu de les mettre au monde. Je pars prendre un couteau et regarde la lame, Est-ce que je vais être capable de le faire, est-ce que je vais regretter après ma mort ? Je vais aller en enfer ou au paradis ? Toutes ces questions je ne sais pas, personne ne sait ce qui se passe après la mort. La mort c’est l’inconnu, pour pouvoir savoir ce qui se passe après il faut mourir sauf qu’il ne reviens plus à la vie. On n’y réfléchissant ça me dérange pas de mourir, il n’y a personne à qui je tiens vraiment ici, depuis que grand-mère est morte je suis seule, je n’ai pas d’amis je n’en veux pas les seuls amis que j’ai eu dans ma vie ont profiter de la richesse de grand-mère et ça, ça me dégoûte. Je préfère être seule mais je vais vraiment mourir comme ça en me plantant quelque part dans le corps ? Je crois bien que oui. Je souffle fort et rouvre les yeux. Sois courageuse, peut-être que l’homme va venir avec et il va voir ce que je suis en train de faire, il va m’en empêcher vu qu’il doit me ramener en vie à son maitre. Je prends une grande inspiration je dirige le couteau faire ma gorge j’espère que je vais mourir sur le coup je ne veux pas souffrir. Au moment où le couteau touche à ma gorge tu le retire ayant eue peur. Je n’arrive pas je peux pas je ne sais pas, qu’est-ce que je dois faire ? Être une esclave sexuel ou me donner la mort et avoir une autre vie ? Je ne sais pas si difficile, en fait ce n’est pas difficile si j’arrive à me trancher la gorge sauf que là je n’arrive pas je le veux pourtant, je veux me donner l’amour je ne veux plus vivre pour être une serviteuse. Les larmes me montent aux yeux, je sais ce que je dois faire mais je n’arrive pas, pourquoi je n’arrive pas d’ailleurs je ne veux plus faire. Je fais que de me répéter, ma tête ne sais même plus ce qu’elle veut. C’est incroyable, jusqu’à mes dix-huit ans je vivais un enfer et j’ai été tranquille jusqu’à à mes vingt-deux ans Et maintenant on peut encore le prendre ma liberté, je ne veux plus souffrir je ne suis pas né pour ça, je ne suis pas né pour endurer toutes ces épreuves. Je veux être libre, vivre ma vie comme une fille de mon âge va souffrir, personne veut souffrir. – Qu’est-ce que tu fais ? dit une voix grave derrière moi. Je sursaute et me retourne lentement pour lui faire face, je cache le couteau derrière mes mains et regarde l’homme. Au ton de sa voix, il a pas l’air de bonne humeur, j’ai l’impression qu’elle était bien plus grave qu’hier. Il a peut-être commencé à s’énerver quand il m’a vu rentrer dans la cuisine je sais pas. Et ne devrait même pas être là de base, il faut que je trouve un téléphone pour appeler la police, je sais que je n’arriverai pas à me suicider c’est pas possible, je suis trop faible pour ça. Je n’ai pas le mental non plus pour faire une chose pareille, et puis qu’est-ce que grand-mère va penser de ça ? Elle va dire que je ne me bats pas pour ma vie, mais le problème c’est que je me suis pas du tout de ma vie pour avoir cette liberté que j’ai là aujourd’hui, et cet homme là veux récupérer cette liberté. – Laissez moi tranquille je vous demande que ça ! Ça ne sert à rien d’assister de toute façon, il m’a bien prouvé cette nuit en restant chez moi qu’il allait pas me lâcher, j’aurai beau fuir n’importe où il me retrouvera et m’emmènera la seule issue possible que je vois c’est la mort. – Si ça te n’ai qu’à moi comme je te l’ai déjà dit je ne serai même pas ici mais on me l’a demandé. – Mais vous comprenez pas que c’est homme est un violeur ou quoi ! Il fronce les sourcils comme si il venait de découvrir ça, il se fout de ma gueule quand même il travaille avec un homme mais il ne connaît même pas ses intentions ? – Je...je vous en prie partez d’ici, dites lui que je suis morte ou que je ne suis plus aux États-Unis mais s’il vous plaît me ramenez pas là-bas. – Tu te trompes de personne, l’homme qui veut te voir ne t’a pas vu depuis que tu es gamine, mais la chose que tu viens de me dire est très intéressante. Mais qui veut me voir alors ? Il est en train de me mentir là ? Je ne voyais toujours pas son visage donc l’expression qu’il affichait je ne pouvais pas la voir. – Pour qui faites-vous ça alors, pourquoi il veut me voir ? Si c’est de l’argent que vous voulez je peux vous en donner mais s’il vous plaît laissez-moi. J’en avais marre de le supplier pour ma propre vie, ça devrait même pas exister ça, je ne devrais même pas demander à quelqu’un de me laisser tranquille, il devrait le faire lui-même. Un non, c’est un non. – T’as été toucher sans ton consentement ? dit-il en s’asseyant. – Ça ne vous regarde pas ! – T’as raison ça ne me regarde pas, mais tu viens entre autres d’assumer qu’il t’a soit toucher soit quelqu’un que tu connais. J’aurais dû tenir ma langue, si l’homme qui veut me voir et quelqu’un qu’il connaît et qu’il a de bonnes relations avec lui je suis encore plus foutu. – Vous...vous allez me laisser tranquille maintenant ? – Toujours pas non, je dois te ramener mais si je peux te rassurer on te veut pas de mal que ce soit moi ou lui, au contraire tu seras en sécurité, dit-il sincèrement. Tant que je ne vois pas son visage même si le temps de Savoie paraît sincère je ne peux pas lui faire confiance et puis même je le connais pas comment lui faire confiance ? Peut-être qu’il ment, peut-être qu’il dit ça que pour me rassurer avant que lui-même me touche. Je pose le couteau derrière moi il m’avance vers la sortie de la cuisine je passe la porte tranquillement et monte prendre mon téléphone, je compose qu’un chiffre avant que mon téléphone est expulsé derrière. – J’ai l’air d’être bête ? – J’espère que vous allez me racheter un nouveau téléphone, c’est vous qui avait payé ? dis-je en commençant à m’énerver. J’allais redire quelque chose que j’ai entendu un boom hors de la maison, je fronce les sourcils et regarde l’homme puis un autre boom se faire entendre. Je comment ça paniqué pendant que l’homme se diriger vers la fenêtre, il reste quelques se fout de la regarder, puis il se précipite vers moi avant de me tirer le bras et de me faire descendre en bas. Il ouvre la porte de la maison tu me force à sortir, je n’avais rien j’étais encore en pyjama et je n’avais que des claquettes sur les pieds. Il ouvre la porte de la voiture qui est un peu éloigné de la maison il me force à rentrer dedans, en voyant que je ne bouge pas il me porte, et me jette à l’arrière. J’en ai gros à la porte mais l’homme a été plus rapide, il verrouiller les portes lâche un petit rire. – L’homme qui veut ton c*l regarde ce qu’il en train de faire à ta maison, dit-il d’un ton moqueur. Je tourne la tête et remarque plusieurs on est en train de tirer devant la maison, j’ai comment savoir les larmes aux yeux en me disant que ça va être la dernière fois que j’allais prendre la maison. Il y a tous mes souvenirs je n’ai rien pris avec moi, c’est blessant quand même, je ne pourrai jamais être tranquille finalement. L’homme démarre en disant rien, et c’est là que ma nouvelle vie allait commencer.
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