La belle et la bête

Il faut savoir se taire

Après le dîner dans le restaurant, Erkan et beste vont à la plage, c'est beste qui a demandé à y aller

Assis sur le sable, beste observait la mer. Erkan encore une fois était derrière la regardant, maintenant il comprenait pourquoi il y avait tant de nostalgie dans son regard

Erkan : il fait froid, rentrons

Beste : ma mère adorait la Mer. Tu sais, on est allé au Mexique une fois pour les vacances d'été, c'est là-bas que j'ai appris à nagé

Erkan :....

Beste : ma mère était très bonne nageuse, elle adorait ça. Elle me disait qu'elle était né au bord d'une plage, une bien triste histoire.... Mais je crois que c'est pour cette raison qu'elle se sentait bien là

Erkan :.....

Beste : mais maintenant elle est morte, quelques années plus tard mon père aussi, et moi.... Je ne resterais pas longtemps pour gardé leurs mémoires. Que puis-je dire de ma famille ? Dit-elle en se tournant vers Erkan

Erkan :....

Beste: après moi, il ne restera plus rien d'eux, rien !

Erkan : évite de dire ça tu veux ?

Beste :....

Erkan : arrête d'être aussi nostalgique, tu as encore plein des choses à vivre ne parle pas comme si c'était déjà la fin

Beste :.....

Erkan : pour l'instant tu es encore là, ne me dis pas que tu vas passer les jours qui te reste à te demander ce qui restera après.... Après n'existe pas, c'est maintenant qui compte.

Beste :.....

Erkan : est-ce que tu pense que ta mère serait contente de te voir ainsi ?

Beste: que ce que je dois faire ?

Erkan : profite des ce qui te reste à vivre, fais le pour toi, mais aussi pour eux

Beste sourit en l'écoutant parlé ainsi

Beste: est-ce vraiment Erkan qui parle ?

Erkan : la ferme !

Elle sourit de plus belle, et lui aussi

Beste: je rêve ou je viens de voir un sourire sur tes lèvres ?

Erkan : bon ça suffit. Moi je rentre. Dit-il en se tournant

Beste: bah quoi ? Attend !

Elle le suis et vient s'accrocher à son bras, ce qui ne laissa pas Erkan indifférent, lui aussi, ça lui faisait quelque chose ce changement soudain entre eux

Le lendemain Matin

Au manoir Yildiz

Ece faisait les cent pas se demandant toujours qui les avait écouté

Ece : calme toi Ece, calme toi. Si ça se trouve il a mal entendu et personne n'était là, oui ça doit être ça

Elle inspire puis expire

Ece : si tu veux en être sûr, tu vas allé voir. Oui! Je dois voir s'il y a quelque chose d'étranges avec eux aujourd'hui

Elle monte les escaliers pour aller voir Ibrahim, mais elle s'arrête devant le couloir en le voyant avec Elif

Elif : Ibrahim, il faut que je te parle d'une chose importante

Ibrahim : oui mais plus tard, là il faut que j'aille au travail

Elif : oui mais.... Celà concerne tes parents

Ibrahim : tu me le diras à mon retour, bye. Dit-il en s'en allant

Elif soupir, elle n'a pas pue lui dire hier soir ce qu'elle avait entendu parce-qu'il était trop fatiguée, et maintenant encore elle n'a pas pue.

La conversation qu'elle a entendu la tourmentait, celà la dérange à un point qu'elle ne pouvait pensé à rien d'autre. Elle vivait avec des assassins et ça elle ne pouvait le concevoir, surtout qu'il s'agissait des grand parents de son enfant

Elle est choqué lorsqu'elle voit Ece s'approcher d'elle, avec un regard qui ne disait rien de bon

Elif : Ece ?

Ece : bonjour Elif, ça va ?

Elif : heu.... Oui! Dit-elle un peux stressée

Ece : je te trouve stressée, tu es sûr que ça va ?

Elif : oui bien sûr, excusez moi.

Elle s'en va rapidement, ce qui confirma le doute d'Ece, c'était bien Elif.

Ece : tu es bien trop curieuse ma chère Elif, il faut que j'arrive à te convaincre de te taire

Pendant ce temps

Dans le chalet

La lumière qui irradiait le châlet frappa les yeux de cette tendre beste, qui n'avait d'autre choix que de les ouvrir. Elle avait l'impression que ça faisait un siècle qu'elle n'avait pas aussi bien dormi.

Il était neuf heures quand elle sortit enfin du lit, il faut dire que la tranquillité avec laquelle elle s'était endormie lui avait emporter dans un sommeil profond dont elle ne souhaité se réveiller, de peur que tout ça ne soit qu'un rêve.

Mais le magnifique plateau du petit déjeuner posé sur la petite table prêt du lit lui rassura que tout était vrai, que ce n'était pas un rêve.

Elle s'étira puis descendue en regardant le plateau

Beste: Mr s'occupe de moi maintenant

Elle se rappella que ce n'était pas la première fois qu'Erkan fasse quelque chose d'aussi attentionné.

Après avoir pris son petit déjeuner, elle sortit du chalet où elle est surprise de voir Erkan discuté avec Asu..... Si on pouvait appelé ça comme ça

Beste: Asu ?

Asu : salut beste

Beste : que ce que tu fais là ?

Asu: je suis venue t'apporter quelques affaires

Beste: des affaires ? Demande-t-elle perdu

Puis elle regarda Erkan

Erkan : tu ne vas pas porté les même vêtements tout les jours

Beste: ah parce-que je vais resté ici combien de temps ?

Erkan : le temps que tu voudras, si tu veux on peux même rentré aujourd'hui

Asu : hors de question, beste tu vas resté ici. Il n'y a rien qui t'attend là-bas, par contre ici, je sais que tu te sentira mieux avec.... Lui. Dit-elle avec un sourire provocateur

Erkan : bon donne moi ça.

Il prend le sac et rentre à l'intérieur

Asu : alors comment tu te sens ?

Beste : bien! Beaucoup mieux je dois dire

Asu : depuis que tu as compris qu'il était peut-être celui que tu attendais

Beste : d'ailleurs, comment tu sais tout ça ?

Asu : c'est moi qui lui ai donné l'idée de t'emmener ici, que vous passez des bons moments ensemble, rien que tout le deux

Beste : t'es pas croyable est-ce que tu le sais ça ?

Asu : je le sais, mais hey.... Profite au maximum de ce qui se trouve devant toi, cet homme t'aime j'en suis persuadé

Beste :.....

Asu : laisse lui t'apporter la joie que tu mérite

Beste éclate de rire

Beste: tu es sérieuse ? Ça va un peux trop fort là, si seulement il était joyeux lui

Asu : qui sait ? Tu ne le connais pas vraiment, essaie de le percé à jour

Beste : Ouais ! Je vais essayer de profiter de moments qui me reste à vivre

Asu : avec Erkan

Beste: avec Erkan oui ! J'espère juste que cette fois je ne me trompe pas

Asu : même si c'était le cas il est trop tard. Vous êtes mariés et vous n'avez que quatres mois pour être heureux

Beste :....

Asu: désolé, je ne devrais pas dire ces genres des choses

Beste : mais non t'inquiètes pas, au moins maintenant je sais que j'aurais des gens à mon enterrement

Asu : c'est pas drôle arrête

Beste: bon d'accord j'arrête ! Je me suis tellement fait à l'idée que parfois ça en devient drôle

Asu : bon maintenant je vais y allé sinon je vais m'énervé

Beste : Merci Asu

Asu : si tu veux vraiment me remercié, soit heureuse ma chérie

Beste: promis!

Elles se prennent dans les bras puis Asu s'en va. Erkan ressort du chalet après que cette dernière soit partie

Erkan : elle est partie ?

Beste: oui!

Elle se tourne vers Erkan

Beste : alors que ce qu'on fais ? Demande-t-elle souriante

Erkan : pour commencé tu vas prendre une douche, après on verra

Beste : ouais t'as raison, je réfléchirai à ce que j'ai envie de faire

Elle rentre prendre une douche, elle ressort quelques minutes plus tard

Erkan était assis dehors entrain de l'attendre

Beste : me voilà !

Erkan : bien! Que ce que tu veux faire ?

Beste: j'ai envie de fraise

Erkan : il est hors de question que j'exécute tes désirs comme de celui d'une femme enceinte

Beste : j'ai juste dis que j'avais envie des fraises, ça fait longtemps que j'en ai mangé bizarrement. Allons en cherché

Erkan : et où veux-tu qu'on aille chercher beste ?

Beste: si je me souviens bien, il y a un village par là, bah allons y, il y a sûrement des endroits où ils vendent des fraise hein ?

Erkan soupir

Beste : allé ! Je vais chercher le panier

Quelques minutes plus tard

Les voilà traversant la forêt où il y a quelques semaines, ils étaient entrain de fuire ceux qui voulait en finir avec beste

Arrivez au village, ils se mirent à cherché des fraises, ils demandèrent à un vendeur s'il en avait mais ce dernier les dis d'allé plus loin, il y a un vendeur qui en vendait

Beste : d'accord merci monsieur. Bon on y vas

Erkan : c'est le troisième vendeur qui nous conduit à un autre vendeur

Beste: cette fois-ci c'est la bonne j'en suis sûr

Erkan : je te jure que si ce n'est pas le cas....

Beste: on ira chercher ailleurs, allez on y vas. Dit-elle en le devançant, il soupir de plus belle, fatigué de cherché ces satané fraises

Ils arrivent chez le veudeur qui les demandent d'attendre un peux, il faut qu'il aille les chercher

Erkan : c'est pas possible beste, achète autres choses et on s'en vas

Beste: il nous a juste dit d'attendre, attendons un peux. Tiens il y a un banc là. Dit-elle en allant s'assoir

Erkan : dans quoi je me suis embarqué. Marmone-t-il

Beste: hein ?

Erkan : rien !

Il vient s'assoir près d'elle

Beste: dis moi Erkan....

Erkan : quoi ?

Beste : pourquoi t'aime t'isoler ? Je veux dire, tu vivais dans le sous-sol de la salle de gym, tu as une maison.... Mais même là, c'est éloigné de la civilisation

Erkan : le silence

Beste: quoi?

Erkan : j'aime le silence

Beste : ah oui ? Comment t'as fais pour tombé amoureux de moi, moi qui parle trop et qui pose trop des questions comme tu aime le dire

Erkan : ta voix est la seule mélodie que j'aime entendre

Beste: quel poète, c'est une nouvelle qualité ou tu l'as depuis toujours ?

Erkan : ton don pour gâché ce genre de moment me dépasse

Beste : c'est seulement avec toi, tu ne ressemble pas à quelqu'un qui dis ces genres des choses

Erkan : dans ce cas tu ne m'entendras plus jamais parlé ainsi

Beste: ah non! J'aime beaucoup

Erkan : dans ce cas ne gâche pas tout

Beste: je vais essayer...

Il sourit

Beste : tu es super beau quand tu souris

Erkan : arrête !

Beste : bon okey j'arrête

Elle lui regarda en souriant

Erkan : hum....

Quelques heures plus tard

Au manoir Yildiz

Elif était dans sa chambre, Ece y entre avec décision en refermant brutalement la porte

Elle sursaute, puis la regarde perdu

Elif : Ece, mais que ce qui vous prend ?

Ece : je sais que c'était toi

Elif : moi quoi ?

Ece : on écoute aux portes maintenant ?

Elif : que ce que.... Que ce que vous voulez dire par là ? Demande-t-elle en faisant semblant de ne rien savoir

Ece : tu sais très bien ce que je veux dire

Elif :....

Ece : écoute, peu importe ce que tu as crue entendre, tu n'as pas besoin de te faire des idées

Elif : ah oui ? Et quels idées je me fais hein ?

Ece : on vas faire comme si rien ne s'était passé, comme si tu n'avais rien entendu d'accord ?

Elif : comment vous pouvez être aussi ignoble. Bafouille-t-elle enfin

Ece :....

Elif : votre mari est un meurtrier et vous le couvrez.... En moins que vous soyez exactement comme lui

Ece : Elif ne dis pas des bêtises

Elif : quelles bêtises je suis entrain de dire ? Je vous ai entendu et franchement ça me répugne

Ece : tais-toi, d'où te permet tu de nous jugé ? tu ne sais rien alors tu ferais mieux de te taire

Elif : vous avez raison de caché à votre famille quel genre de monstre vous êtes, oui parce-que si jamais ils l'apprennent, ils seront dégouté de vous, il regretterons même le fait que vous soyez leurs parents

Ece : tais toi. Dit-elle en lui assignant une gifle

Ece : tu vas te taire est-ce c'est claire ? Tu ne sais pas ce que tu dis alors un conseil ma pauvre petite, ne me cherche pas

Elif : je refuse que mon enfant naîse avec des personnes comme vous, je vais tout dire à Ibrahim puis nous partirons d'ici. Il est hors de question que je reste dans cette maison si vous y êtes

Ece : Elif....

Elif : mais que ce que je dis ? Vous méritez d'aller en prison tout le deux. Je ne sais pas ce que vous avez fait pour que Eugen dise que vous ne valez pas mieux que lui, mais croyais moi tôt ou tard vous payerais pour ça

Ece : je ne vais pas te laisser détruire ma famille. Écoute moi bien Elif, tu ne peux pas faire les choses sans réfléchir. Si tu dis ça, ton mari sera détruit, cette famille sera détruite et ça sera uniquement de ta faute

Elif: les seules fautifs ce sera vous, oui c'est vous qui avez tout fait pour avoir le contrôle de cette maison.. ah maintenant tout est claire, Eugen tue son frère pour avoir tout ce qui lui appartient, mais malheureusement pour lui, c'est beste qui a tout

Ece :....

Elif : la pauvre beste, quand elle saura que c'est son oncle qui a assassiné son père, elle sera détruite et elle vous haïra, et elle aura raison

Ece l'attrape le bras en lui fusillant du regard

Ece : tu ne vas rien faire de telle est-ce tu m'entend ? Vocifère-t-elle

Elif : si, je vais le faire, je vais le faire dé qu'ibrahim sera de retour

Ece : non tu ne vas rien faire

Elif : sinon quoi? Sinon quoi, qu'allez-vous me faire ? Me tué ?

Ece : ne me pousse pas à bout

Elif : lâchez moi. Dit-elle en se retirant de son emprise

Elle lui toisa du regard et voulue sortir mais cette dernière l'attrape par le cheveux et la ramène vers elle. Les deux femmes se mirent à se battre, Ece avait oublié que la pauvre Elif était enceinte.... En plus de ça, de son petit fils

Elif : ah.... Mais lâchez moi

Ece : tu ne vas pas détruire ma famille, je ne te laisserais pas faire

Elif : cette famille est déjà détruite et c'est à cause de vous

Ece vue la fenêtre qui était ouverte, sans hésiter, elle tira Elif de force et la bouscula par la fenêtre. La pauvre femme tomba la tête la première

Le regard froid et les mains toutes tremblante, Ece réalisa ce qu'elle venait de faire.... Mais ce qui était fait, était fait. Elle sortit de la chambre sans se faire remarquer, mais ce qu'elle ne savait pas c'était qu'Asu l'avait aperçu sortir de la chambre d'Elif.... Elle ne vue rien d'anormal à cela au début.

Dehors, les gardes se précipite vers Elif, gisant dans son sang.

- appelez Mr Yildiz

Zeynep sortie pour voir et c'est alors qu'elle vue Elif, parterre plein de sang

Zeynep : oh mon Dieu

- j'appelle une ambulance

Zeynep : je..... Je vais prévenir Mme

Elle rentre paniqué dans la maison, et se rendu dans la chambre d'Ece

Zeynep : madame madame...

Ece : oui que ce qu'il y a ? Demande-t-elle

Zeynep : madame Elif est tombé de la fenêtre

Ece : quoi ?

Zeynep : oui! Il faut prévenir Mr Ibrahim

Ece : oh mon Dieu

Les deux femmes sortent de la chambre, c'est avec le plus grand semblant qu'Ece montrait de l'inquiétude

Deniz sort de sa chambre et demande en même temps qu'Asu qui se trouvait à côté, ce qui se passé

Deniz : que ce qui se passe zeynep ?

Zeynep : c'est madame Elif qui est tombé de la fenêtre

Deniz : quoi ?

Elle se précipite dehors suivie d'Asu

Lorsqu'ils arrivent dehors où se trouvait Elif, Asu eu un soupçon.... Cette fenêtre était celle de la chambre d'où elle a aperçu Ece sortir

Ece : oh mon Dieu Elif, il faut appeler une ambulance

- c'est déjà fait madame, ils sont en route

La panique s'était installé, Deniz téléphone à Ibrahim qui s'inquiète, autant pour sa femme que pour son enfant

Pendant ce temps

Dans le chalet

Erkan et beste cuisinaient ensemble le dîné qu'ils allaient pouvoir partagée

Beste: je ne te savais pas aussi bon cuisiner, tu m'épate

Erkan : il y a beaucoup des choses que tu ne sais pas sur moi

Beste : c'est vrai ! Mais j'ajoute à la liste de peux des choses que je sais sur toi... La cuisine

Erkan : il faut savoir cuisiner quand on vie tout seul

Beste: et moi qui croyais que tu préférai allé au restaurant

Erkan : bon! Voilà c'est prêt

Beste : ouais

Quelques minutes plus tard

Ils étaient assis sur le seul canapé de la pièce. Entrain de dîné tranquillement, pendant que de l'autre côté, dans la famille Yildiz, le drame avait frappé à leur porte

À l'hôpital

Deniz, Asu ainsi qu'Ece étaient dans la salle d'attente, Ibrahim les rejoins tout inquiet

Ibrahim : où est-elle ? Que ce qui s'est passé ?

Ece : calme toi mon chéri

Ibrahim : comment veux-tu que je me calme ? Elle est enceinte maman, et on m'appelle pour me dire qu'elle est tombé par la fenêtre, c'est quoi cette histoire ?

Ece : nous ne savons pas ce qui s'est passé, on l'a trouvé parterre et..... Je suis désolé

Ibrahim : je ne veux pas que vous me dites je suis désolé, je veux savoir où se trouve ma femme et comment va-t-elle ?

Deniz : voilà la docteur

Ibrahim se précipite vers celui-ci

Ibrahim : docteur, comment va femme ? Et.... Le bébé ?

- je suis sincèrement désolé, mais comme vous pouvez vous en doutez, elle a perdu le bébé.

Choqué, Ibrahim s'appuie sur le mur pour ne pas tomber

Ece : mon chéri !

Deniz : et elle comment va-t-elle ?

- nous avons dû retiré le bébé et comme elle était à son septième mois de grossesse celà à créer quelques problème surtout dû à l'impact, il y a eu des complications.... Sans compté le fait qu'elle soit tombé la tête la première

Ibrahim : allez droit au but docteur, comment va-t-elle? Comment va ma femme ? Demande-t-il sur les nerfs

- malheureusement elle est dans le coma, nous ne savons pas si elle va se réveiller

Là c'était la goûte de trop, Ibrahim se laisse glisser au sol

Ece : Ibrahim

Ibrahim : non ça ne peut pas être vrai, c'est un cauchemar

Ece : mon chéri soit fort

Deniz était encore sonné de ce qu'elle venait d'entendre. Asu quant à elle bien que choqué n'arrêtait pas de fixé Ece..... Elle avait l'intuition, pour ne pas dire la certitude qu'Ece avait quelque chose avoir avec ce qui etait arrivé à Elif