L'Alliance Secrète

Chapitre 1 ✔

- « Patty ! Patricia ! » Dit -Abby. << Tu n'es surement pas au courant, un duc va venir. Bah alors ! Patty ... » dit elle en croisant ses petits bras contre sa poitrine assez plate.

- « Qu'est-ce qu'elle attend de moi ?Tu veux quoi Abby ? »DIT-elle

-« Selon toi qu'est-ce qu'une personne, au titre le plus important après celui de prince, viendrait faire ici ? Tu ne trouves pas cette situation intrigante et... Passionnante ? » dit Abby.

- « Je suis désolée Abby de mon désintérêt pour cette histoire . Quoi que... Non... enfaite je m'en fiche vraiment de cette rumeur. Il vit sa vie paisible de duc dans son château, ou je ne sais quel type de domicile avec ses propres occupations et moi de mon côté, je me demande pourquoi ne pas faire de même ? Mais oui ! excellente conclusion non ! je crois que c'est vraiment ce que je vais faire pour le coup. » dit elle

- « Mais... Patricia !»Tu ne veux pas savoir ce qu'un jeune duc, très beau soi-disant passant, ferait à Daridge, cette histoire me paraît improbable. » reprend Abby .

- « Dis-moi Abby... Comment sais-tu qu'il est beau ce duc en question ? Et pourquoi tout cet intérêt pour lui ?C'est marrant, tu m'as l'air tendu soudainement. » indique elle qui se met à tourner autour de son amie d'enfance.

- « Ce sont des accusations à tort ! Je ne sais pas à quoi tu fais allusion ! » Patricia le remarque et se Ditspe à l'idée que sa locutrice puisse faire une Ditse d'asthme par gêne.

- « Abby » dit à peine Patricia à la longue chevelure noire.

- « Ce que je déteste ce genre de réaction » se dit-elle . Elle avait cas s'abstenir de m'importuner avec ses ragots incessants. Et puis un duc... Qu'est-ce que c'est ? » Se demande-t-elle.

- « C'est un nouveau modèle de tracteur qui cause ce son assourdissant. Curieux, il ya des motards dans le coin maintenant. » suppose elle sans s'attendre que cet inconnu s'arrête en chemin pile à l'entrée de la ferme de ses parents.

- « ... Il est...Très attirant. » se dit-elle

- « Je suis bien à Daridge. » pense Andrés avec ses yeux verts émeraude perçants perdus sur le morceau de papier qu'il tient entre ses mains, « Mais, est-ce que je me trouve bien chez les Garcia ? Elle pourra peut-être éclairer ma lanterne. » dit-il

- « Oh non ! il me regarde ! Pourquoi est-ce que j'ai l'impression de brûler rien qu'à cette pensée... Il s'avance vers moi, non, non, non ! j'ai déjà les mains moites, je suis sûre que si jamais, je fais l'erreur de parler, je passerais pour une idiote. Il est trop beau pour être d'ici. » En conclut-elle silencieusement en sentant l'odeur virile et délicieuse du blond face à elle, lui caresser tendrement les narines et l'envouter.

- « Excusez ma présence soudaine, mais je voudrais vous demander si possible, où est-ce qu'on est ? » dit Andrès

- « C'est fou ce qu'il a l'air plus que Galantin avec ; sa voix rauque, sa joliesse époustouflante, son accent assez latino et sans parler de sa façon de s'exprimer, il a de bonnes manières. » DéDitt elle

- « Vous parlez quelle langue ? ...Anglais, espagnol, italien. » dit Andrès

- « ...D'accord. on me l'avait jamais faite celle-là. » ajoute il en attirant l'attention de son interlocutrice qui décide de lui faire un petit sourire d'excuse face à son comportement...Non-exemplaire.

- « Oh génial ! pour une fois qu'un garçon me paraît attrayant, je l'équerre à paraître niaise. Mais oui ! Je peux lui proposer mon mouchoir. »se dit-elle, peut-être sur un ton trop élevé puisqu'elle recluse plus que précédemment, l'attention de son locuteur.

- « Donc, vous parlez bien français. Ce n'est pas un problème. » La dit -t-il

- « Je suis désolée… Et oui, je parle bien cette langue. Vous n'êtes pas d'ici, je me trompe. »

- « Vous avez raison Vous pourriez me dire si je suis au bon endroit. » lui demande-t-il se redressant sous l'œil avisé de celle qui depuis son arrivée ne le quitte pas de l'œillade et qui accepte d'un simple hochement de tête de haut en bas.

- « Patty ! La moto ! la moto ! c'est la sienne ! comme ils l'ont dit ! Patty ! Patty où est son conducteur ? » dit d'un ton affolé cette même villageoise qui s'exprime en bougeant ses mains tremblantes de gauche à droite.

- « Bonjour. Si par chose vous faites allusion à ma Kawasaki ZH²Performance, alors oui, elle est bien à moi. » Admet-il d'un ton fier, avec l'ignorance totale de ce que cette incruste dans la discussion a l'intention de faire.

- « Oh c'est lui ! Et je n’ai rien compris à ce qu'il a dit au passage mais... Il est si craquant que je lui en veux pas de raconter n'importe quoi, le plus important est que c'est lui ! C'est Pour de vrai ! Il est là ! Patricia tu y crois ! Il ne sent pas la bouse de vache en plus ! Oh je ne me sens pas bien... » dit-elle

- « Je vois...Je me sens agressé, mais qui s'y intéresse. » dIt il

- « Elle a exagéré cette idiote à agir ainsi. Quoi ? Non mais c'est vrai ! ... Il est beau oui, même époustouflant, divin, exquis, éblouissant et éclatant... Et oui moi aussi il me plait, mais moi je sais rester classe et zen, je ne me montre pas en spectacle sous prétexte qu'il est canon. » Se défend elle des accusations de sa propre conscience... Probablement avec trop d'assurance puisque...

- « Merci. Oui, vous avez parlé à voix haute et oui, j'ai tout entendu. » certifie il les craintes de Patricia qui vire aux rouges aussitôt et slalome son regard dans tous les sens avec l'entière ignorance de ce qu'elle est censée dire pour sa défense.

- « Merci, mais à quoi ? Entendu quoi ? Il me semble que je n'ai rien dit. » dit-elle

- « Je suppose avoir halluciné alors, j'ai peut-être rêvé qu'une fille aussi jolie que vous, ait le béguin pour moi. » Accepte-t-il une défaite face à ce mensonge en essayant de retourner les choses à sa faveur avec la petite intuition que cette parole la fera fondre de béguin pour lui, cette réaction est donc plus en sa faveur de façon à avoir une tournure de situation adéquate.

- « Diantre ! Ce qu'il est beau parleur celui-là ! il me fait rater un battement rien qu'avec ces derniers mots. Il me trouve jolie. » dit-elle de penser à cette flatterie en valsant sa tête de gauche à droite telle une enfant, sans donner plus