GROSSESSE MYSTIQUE

GROSSESSE MYSTIQUE PARTIE 1 Les coups de la vie je les avaient reçu la première fois où j'avais décidé d'un coup de tête de me lier à un homme. J'avais vingt huit ans à cette époque là, ma mère me chantait en longueur de journée que je devais déjà être marié comme mes cousines qui comptait déjà à leurs actifs cinq enfants Je riais mais malgré tout j'avais mal. J'étais une femme entrepreneur avec un compte en banque garni. Je ne souffrais de rien. J'avais tout ce qu'une femme désirais avoir à mon âge mais pas un mari J'étais irritée à force d'être confronter à la même réalité à chaque fois . Je voyais mes dernières ce mariés et avoir des enfants pourtant j'étais toujours une no name J'en avais marre pourtant j'espèrais à un lendemain meilleure La première fois que j'avais empreinte ce chemin dit miraculeux j'avais vingt huit ans comme énoncer plus haut . Il s'appelait Patrick. C'était un collègue de travail bref un stagiaire venu pour un moment dans l'entreprise où je travaillait . On c'était rencontrer par hasard dans l'ascenseur et on c'était aimer d'un amour fou J'étais du genre tête à l'épaule mais devant lui j'avais chanceler. La pression de la société et de ma famille avait jouer à sa faveur. Il ne possédait pas grand chose non plus de salaire mais on s'aimait et c'était le plus important. j'ai financer du toqué porte jusqu'au mariage juste pour paraître vivante au yeux du monde C'était un mariage grandiose qui m'avait coûter la peau des fesses. Je me rappelle même m'être endetté juste pour que ce qui m'avait une fois dénigrer baisse le regard Cette mascarade n'avait pas duré longtemps car à peine on c'était installés dans notre coccon amoureux que les dispute c'étaient installés . Patrick ne me considérait pas et me méprisai juste parce que j'étais plus vieille que lui. C'était mon petit frère de deux ans Il ramenait des femmes dans la maison que je payais à la sueur de mon front et des fois même il me battait pour çi ou pour ça, et me répétait en longueur de journée que je devais lui être reconnaissant d'être mon époux car j'étais une vieille marmite rouiller qu'aucun homme n'aurais voulu même pour vingtième femme J'étais dépaysé et détruite de l'intérieur. Je me regardais chaque matin devant la glace pour me convaincre que je vallait mieux que ça, que je ne méritais pas ce traitement. J'étais une femme battante avec beaucoup de valeur pour terminer aussi misérable juste pour paraître importante au yeux de la société et ne pas être juger Bien sûr je portait cette bague au doigt qui qualifiait la grandeur de la femme pourtant elle ne présageait rien de bon pour mon futur. Je mourrais à petit feu dans cette maison et le comble était que la seule source de bonheur que j'aurais pu avoir, un enfant, était devenu un mirage La goutte d'eau qui avait déborder le vase fut ce soir de juillet. J'étais partis pour deux semaines en mission et à mon retour j'avais été surprise de voir que ma maison était occupée par une autre femme. Moi qui était renter les rêves pleines la tête juste pour lui faire une surprise et tout reprendre à zéro dans ce mariage Figée devant cette scène digne d'un filsms d'horreur je m'étais effondrée comme une gamine à qui on venait d'arracher brutalement la dignité. J'hurlais pour essayer de calmer mes veines sur le point de ce couper et le comble était qu'il ne c'était pas gêner de me présenter ces excuses. Il estimait qu'il avait le droit de ce faire plaisir à mon absence C'était l'acte de trop. J'avais demandé le divorce sur le champ et quelques mois plus tard avec l'aide de quelques relation j'avais fini par divorcer de cet oppresseurs J'étais enfin libérer de ce mariage toxique et enfin je pouvais reprendre ma vie où je l'avais laissée. Mes affaires étaient de plus en plus fructueuse. J'avais ouvert une nouvelle agence immobilière et les choses allait plutôt bien J'étais comptes parmi les dix femmes influente du pays mais toujours pas un enfant. J'en souffrais énormément ! Je voulais mourir La vie m'avait une nouvelle fois donner une joie de vivre auprès de Fabien nguemgaing, un homme d'affaire et un politicien Il m'avait déclaré son amour un soir et malgré qu'il avait déjà une première épouse j'avais acceptée le dylle en étant sa seconde épouse bien que ma famille s'y opposait Je portais dorénavant un nom influent. J'étais madame nguemgaing La vie auprès de mon époux avait commencé sur de bonne base. Il m'aimait et je l'aimais en retour. On passait le plus clair de notre temps libre à l'étranger à faire des calipettes Ne vous méprenez pas car Fabien n'était pas un homme âgé. Il avait trente huits ans et faisait un mètre soixante dix. C était un gars super beau donc toutes les femmes raffolaient mais aussi un meilleures amies Vous vous posez sûrement la question d'enfant n'est-ce pas ? C'était un problème beaucoup trop complexe que personne n'avait plus illucider. Fabien n'avait pas d'enfant comme moi et nous étions tous à la quête d'un enfant avec qui partager notre amour et notre fortune La guerre avait commencer deux jours avant sa mort..... Il était souffrant depuis des mois et personnes ne connaissaient de quoi il souffrait réellement . Nous avons fait la plus part des hôpitaux de la ville jusqu'au tradi praticien mais rien Son état s'empirait de jours en jours et il pourrisait de l'intérieur. J'étais amoindri face à tant de souffrance et finalement, une nuit alors que j'étais à la course au médicament mon téléphone c'était mit à sonner au bout du fil Sonia sa première femme qui m'annonçait la mort de Fabien Je m'étais écroulés sur le trottoir les mains en l'air laissant couler toutes les larmes de mon corps. Je n'en revenais pas qu'en seulement deux ans de mariage je devais déjà porter le voile de veuve Qu'elle drame ! Les obsèques de Fabien c'était déroulé dans une enceinte clause car son père ne voulait pas du tout subir les assauts de la population qui aurait voulu avoir des éclaircissements sur la mort de leurs fils et frère C'était un dimanche après l'enterrement, une réunion avait été convoqués par son père pour l'héritage du défunt ! Nous étions tous assis au milieu d'une salle avec quatre représentants de la grande famille Le père de Fabien avait prit la parole en ce terme _Nous sommes là aujourd'hui pour le partages de la fortune de Fabien nguemgaing et comme vous le savez tous, il était un déscendant d'une famille hautement influent de ce village donc nous allons céder la moitié de son héritage à son futur héritier et comme le dit la coutume nous allons passés à quelques test pour voir si l'une des femmes que voici portes en lui son héritier On c'était fixés longuement sans rien dire et il avait continué en ces propos _ Que ce soit une fille où un garçon cet enfant va hérité de toutes la fortune des nguemgaing et continuera à perpétuer cette lignée car je suis déjà vieux et je vais bientôt mourir La foule s'était mit à hurler et enfin nous sommes partit avec l'intention de revenir deux semaines plus tard comme l'avait dit son père J'étais retourner en ville avec quelques menbres de ma famille venu m'assister pour le deuil. Dans la voiture, ma mère avait commencée à parler _Celestine ma fille, j'espère que tu as entendu tout ce qu'a dit le père de ton feu mari _Maman je ne suis pas sourde j'ai parfaitement compris et comme je sais que je n'ai aucune chance d'être enceinte je préfère ne plus y penser _Tu es stupide ! Bête même à la limite donc tu vas laisser cette autre femme profiter de tout cette fortune _Et pourquoi pas si elle est enceinte ? C'était sa femme aussi _ Et toi tu étais quoi ? Un poteau ? Ne m'énerve pas hein ! Tu penses qu'une chance comme celle-ci va ce présenter combien de fois dans ta vie ? C'est une proposition en or pour être multimillionnaire à vie en plus de ça tu n'auras plus besoin de travailler avec acharnement comme tu le fais tous les jours _Maman j'aurais bientôt trente ans. Si durant toutes ces années où j'ai chercher l'enfant je n'ai pas eu ce n'est pas maintenant que je serais enceinte dont s'il-te-plaît haute toi cette idée de la tête _Ma fille fais confiance à ta mère _D'accord ! Nous étions arrivés au centre ville et j'étais descendu de leurs voitures car mon chauffeur m'attendait pour me raccompagner à mon appartements car je voulais être seule pour penser à ma vie devenu une série télévisé _On se voit à la maison demain pour parler de cette affaire si possible même fais tes bagages pour une semaines _Pourquoi faire maman ? Je suis bien chez moi. J'ai quitté le cocon familial il y a belle lurette déjà pour y retourner aujourd'hui _C'est d'une affaire sérieuse avec laquelle tu ne devrais pas jouer _J'ai suivi maman Ma mère était une vrai pipelettes. J'ai fermée la portière derrière moi et je suis partis Mon appartement ce trouvait a quelques mettre du centre ville dont je n'ai pas traîner avant d'arriver J'ai ouvert la porte et je suis entrée . J'ai jeté mon sac sur la commode et je me suis écroulée sur le sol pleurant comme une madeleine Tout me revenait en tête!je pensais à notre simple rencontres qui c'était transformée en une union sacrée . De notre petit voyages à Paris et j'étais mal _Fabien..... Fabien..... reviens je t'en prie La douleur me pénétrait jusque dans les os Je nen pouvais plus de cette douleur indiscriptible qui allait me détruire Je me suis allongée sur le sofa et je me suis endormi après avoir pleurée deux heures d'affiler