Prologue

1295 Words
Bonjour/ Bonsoir mes DreameUsers, comment allez-vous? Moi je vais super bien en tout cas! Avant tout, Heureuse année 2023. Tout mes vœux les meilleurs pour chacun d’entre vous. Que Dieu veille sur nous et nous protège! Amen! Eh bien, nous revoilà sur une nouvelle aventure qui va être truffée de rebondissements, de suspens mais surtout de romance. J’ai mis mon tout dernier roman #Captive du vampire# en pause parce que j’étais à cours d’idées et d’inspiration pour la suite. J’ai la fâcheuse habitude d’avoir des idées pêle-mêle et par moment. Actuellement, j’ai au moins cinq débuts de romans dans ma tête mais jamais la suite (MDR)…. Bref, je vous souhaite de dévorer avec appétit ce nouveau roman qui va être très malade en action wesh. Et merci pour les lectures et les commentaires sur mes autres romans #Rose Piquante#, #L’épouse de Christian Davis#, #Captive du vampire # et #Jéora#. Je vous aime. Bisous. ATTENTION AUX ÂMES SENSIBLES! CE CHAPITRE CONTIENT DES TERMES VIOLENTS ET SEXUELS!! Le noir complet. Mes yeux n'arrivaient pas à distinguer le moindre détail quand à l'endroit où j'étais. Quelque chose m'obstruait la vue. Je tentai d'arracher cette chose quand je me rendis compte que je ne pouvais pas bouger mes bras; mes mains étaient chacune solidement liées de sorte à ce que j'avais les bras écartés. Ma bouche aussi n'avait pas été épargnée; je ne pouvais parler. Mon cœur s'affola automatiquement. Que m'était-il arrivé? Où étais-je? Je me mis à gigoter dans tout les sens dans l'espoir de me défaire de ces liens mais rien n'y fît. Ce dont j'étais sûre, c'est que j'étais dans un lit. Oui, je sentais et reconnaissais parfaitement cette surface douce et moelleuse. Alors si j'étais dans un lit cela impliquait que j'étais dans une chambre. Tout compte fait, ce ne pouvait être la mienne puisque mon lit n'était pas aussi mou. Mais bon Dieu qu'étais-je sensée faire maintenant? Privée de l'usage de ma vue, mes mains et ma bouche ? Et même si mes pieds étaient libres, je ne pouvais grande chose en dehors d'envoyer mes jambes de gauche à droite. Mes mains étaient trop bien attachés au chevet du lit selon mes analyses. J'essayai alors de me calmer pour mettre mes pensées en ordre. Tout d'abord, il me fallait me souvenir de ce qui m'étais arrivée pour me retrouver ici. Je me concentrai au maximum pour réveiller ma mémoire quand soudain, j'entendis une porte s'ouvrir à la volée. Vu le bruit, ce devait être la porte de la chambre. Des pas traînants se mirent à se rapprocher avant de s'arrêter brusquement. Je ne savais si la chambre était éclairée ou non mais je me sentais observée. Mon cœur reprit ses battements de plus belle. Je perçu ensuite des gémissements plaintifs que je n'arrivais pas à comprendre. Soudain, un bruit de verre brisé emplit la pièce, me faisant sursauter au passage. - m***e, entendis-je. C'était un ton agacé mais surtout masculin. La personne qui venait de faire son entrée dans la chambre était un homme. Oh mon Dieu ! Les pas continuèrent de se rapprocher jusqu'à ce que je sente le lit s'affaisser à mes pieds. Je pliai instinctivement les jambes, le cœur battant à vive allure. L'homme continuait toujours avec ses gémissements comme s'il ressentait des douleurs quelque part et sa respiration était forte et saccadée. Était-il blessé? Ou mal en point ? D'un coup, une main agrippa ma jambe droite et me força à l'étendre. Apeurée et prise de court, je n'eus le temps de répliquer convenablement qu'un poids s'affaissait déjà sur moi. What? Un souffle chaud me caressa la peau du cou alors que des effluves de whisky me chatouillaient les narines. Je me mis à m'agiter. Il fallait vraiment que je me dégage de cet merdier. Mais c’était sans compter le poids de l’homme sur moi qui ne se gênait pas pour m’écraser dans le lit. D’un geste bref, il m’arracha le tissu qui clouait mes lèvres. Je les entrouvris immédiatement; d’abord pour faire entrer de l’oxygène dans mes poumons et ensuite pour crier. - Qu’est-ce que vous faites? Qui êtes-vous? Il ne me répondit pas et se contenta juste de m’embrasser dans le cou et me faire des suçons. - Arrêtez! m’écriai-je dégoûtée. Aucune réponse. En revanche, l’une de ses mains remonta doucement sur ma cuisse gauche en dessous de ma jupe. Mon sang ne fit qu’un tour quand je sentis ses doigts au niveau de mon intimité. Mon cerveau se redressa automatiquement quand il comprit ce qui se passait. J’allais me faire v****r… Mon cœur quant à lui, bondissait sauvagement à m’en donner des douleurs à la poitrine. Alors, je hurlai le plus fort possible espérant un sauveur ou un miracle mais mon agresseur me fit taire en posant sa bouche sur la mienne pour m’embrasser. Ses lèvres étaient étonnamment fraîches et douces mais c’était le cadet de mes soucis. Sans crier gare, je lui mordit la lèvre inférieure avec rage. Une violente et subite gifle me contraint à lâcher ma proie. Ma tête partit sur le côté, armée de vertiges alors que des larmes s’étaient déjà mises à mouiller le tissu qui me cachait les yeux. - Bien joué sale g***e, tu vas voir! jura t-il avant d’agripper mes vêtements. Il s’attela à me déshabiller en déchirant brutalement mes vêtements; mes cris et mes supplications n’étant que des bourdonnements de mouches à ses oreilles. Se servant de ses genoux pour bloquer tout mouvements de la part de mes jambes, il élimina le dernier rempart à ma nudité c’est à dire mon slip. À ce moment-là, je compris que seul un miracle pourrait me délivrer des griffes de cet homme. Privée de mes mouvements et de ma vue, j’étais totalement à sa merci. - Pitié, ne faites pas ça. Je suis désolée de vous avoir mordu, vraiment désolée… Mais il restait toujours sourd. L’une de ses mains attrapa l’un de mes seins pour le malaxer alors que l’autre se promenait sur mon intimité. Malgré moi, des frissons agréables me parcoururent la peau. Je me demandais si j’étais encore normal. J’étais entrain de me faire v****r et j’osais trouver une part de plaisir dedans! Non sérieusement, j’étais malade. Soudain, je sentis une intrusion à l’entrée de mon vagin. - Non, non, arrêtez! Je… je ne suis pas… je… ne faites pas ça, je vous en supplie.. L’homme poussa un cri agacé avant de venir me remettre le tissu qui scellait mes lèvres. Mon Dieu, où êtes-vous? Il se retourna ensuite à sa sale besogne et son doigt s’enfonça encore loin en moi. Horrifiée et apeurée, je me remis à gigoter du mieux que je pouvais. Mais j’étais sûre de donner l’impression d’un verre de terre dans un bocal d’eau. Une douleur me vrilla le vagin et je poussai un cri muet à travers le tissu sur ma bouche. Comment en étais-je arrivée là? Pourquoi moi? La vie ne m’avait-elle pas assez torturée? Pourquoi fallait-il que le malheur me suive un peu partout? Fatiguée et désemparée, je me résignai à accepter mon triste sort: celui de me faire v****r par un inconnu dont je ne connaîtrai certainement jamais le visage. Je ne bougeais plus. Mes larmes étaient aussi devenues silencieuses; elles coulaient dans mon âme à présent meurtri. Déconnectée, je sentais à peine le doigt de mon agresseur aller et venir en moi. C’était mieux ainsi; le déni était ma seule échappatoire psychologique en ce moment; la seule…
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