Je lui donne la barre, je descends ; il y avait déjà trois pieds d’eau. Je remonte en criant : Aux pompes ! aux pompes ! Ah ! bien oui, il était déjà trop tard ! On se mit à l’ouvrage ; mais je crois que plus nous en tirions, plus il y en avait. – Ah ! ma foi, que je dis au bout de quatre heures de travail, puisque nous coulons, laissons-nous couler, on ne meurt qu’une fois ! – C’est comme cela que tu donnes l’exemple, maître Penelon ! dit le capitaine ; eh bien ! attends, attends ! Il alla prendre une paire de pistolets dans sa cabine. – Le premier qui quitte la pompe, dit-il, je lui brûle la cervelle ! – Bien, dit l’Anglais. – Il n’y a rien qui donne du courage comme les bonnes raisons, continua le marin, d’autant plus que pendant ce temps-là le temps s’était éclairci et que le ven

