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Dark Romance sous l'emprise d'Aleksander Petrov

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Blurb

Il faisait nuit, il faisait noir, il y'avait du bruit, une ruelle sombre, des hommes, un cri, une balle, un cadavre...

Après avoir été témoin d'un meurtre Lydia tente de s'échapper sans ne jamais se douter que son destin va être scellé à l'auteur du meurtre, Aleksander Petrov. Un homme aussi impitoyable que cruel, ce dernier n'hésitera pas à enlever la jeune fille pour la faire taire, mais rapidement il se rendra compte qu'en sa présence il devient vulnérable en ressentant des sentiments qu'il croyait perdus à jamais.

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Prologue
J'aurais dû écouter mon amie, j'aurais dû ne pas y aller. Ma vie est aussi banale et pathétique que n'importe qu'elle autre vie, enfin du moins elle était. J'étais une fille bien, oui une fille bien, je faisais partie d'une des meilleure sororité sur le campus, « Omega Alpha Beta ». Mes amis me traitaient toujours de fille gentille, inoffensive et douce. Ils disaient que j'inspirais la joie de vivre, le bonheur, ou encore le bienêtre. Mais comment vous expliquer que toute cette partie de moi s'est envolé le jour où j'ai compris que je ne pourrais jamais fuir de cet enfer sans fin. Que ma vie lui appartenait désormais quoi que j'en dise, quoi que j'en fasse ma vie est et sera toujours à lui. Pourquoi moi ? Je ne sais pas, ou plutôt, Comme il le dit toujours « parce que c'est comme ça ». Ça n'arrive qu'aux autres n'est-ce pas ? Hein...Voilà ce qu'on dit toujours, jusqu'au moment où ça nous arrive à nous. A moi. Il a fait de moi sa propriété, sa chose. Et je n'ai pas mon mot à dire. Si quelqu'un vient me parler de l'atrocité de m'enfer, je le tuerais sans état d'âme, car mon enfer à moi et bien pire de ce qui est inscrit sur la bible. -tu n'es qu'une incapable, tu n'as jamais eu la force ni le courage de t'affirmer, et tu crois que maintenant tu vas me défier, moi ? -je t'en prie, laisse-moi partir. Il rit cruellement avant de répliquer en prenant une poignée de mes cheveux qui serre très fort dans sa main monstrueuse. -Tu vas me supprimer les mots, partir, s'enfuir, et liberté. Tu es à moi Lydia, à moi, tu entends ? Et le jour où j'en aurais marre de toi, je te buterais ! -p...pourquoi moi ? Pourquoi tu me fais ça ? Il hausse des épaules comme s'il s'en foutait. -parce que c'est comme ça. -on a fait un pacte ! Tu devais me laisser partir ! -chérie, une chose que tu dois savoir de ce monde. On ne pactise jamais avec le diable ! Dit-il en me caressant la joue. Mes larmes ne cessent de couler alors que lui, il affiche un sourire narquois. Il referme la porte derrière lui en me laissant ainsi dans cette pénombre obscure.Pourquoi ? Je n'ai jamais fait de mal à personne, pourquoi moi ?   Je ne suis qu'une pauvre fille que personne ne comprendra jamais. Je ne serai plus jamais la même, il m'a non seulement pris ma liberté, mais aussi tout ce qui faisait de moi d'être moi.  1 J'ouvre péniblement les yeux sous des hurlements stridents et aigus. J'essaie de bouger mais une douleur ardente au niveau de mon crâne m'en empêche. Une nausée atroce vient s'installer en moi. Les cris se font de plus en plus fort... Sous des gémissements de malaise j'essaie de bouger, mais en vain. Comme si mon corps était paralysé. Comme s'il ne répondait plus à mes désirs. Une main vient se poser sur ma tête alors que je retiens me souffle, mon cœur bat à tout rompre, tout d'un coup une voix s'adresse à moi... -Lève-toi marmotte ! La gueule de bois ne te réussit pas apparemment. Déclara ma meilleure amie en se moquant ouvertement de moi. J'émis un grognement mécontent en essayant de me lever, et contre toute attente je réussis. -Jess t'es incroyable ! Laisse-moi dormir, et puis je n'ai jamais vue une personne qui la gueule de bois lui réussit, sérieusement du dis n'importe quoi ! Elle roule des yeux, puis vient s'installer à côté de moi sur le lit. -ton père t'a appelé au moins cinq fois hier soir. Finit-elle par avouer. J'écarquille les yeux comme de soucoupes en essayant de visualiser la situation. -et c'est que maintenant que tu me le dis ! M'emportais-je. -du calme Lydia, je te rappelle que hier soir tu étais tellement saoule que tu criais de sauter par la fenêtre pour rejoindre le pays des merveilles ! Je m'affale sur le lit en m'étouffant avec mon coussin. Je cris de tout mon être. Puis je me relève, comme si cette méthode était mon médicament de survie. Mon père va être furax, je le connais assez bien, depuis la mort de maman, il fait tout pour me protéger. Il est devenu surprotecteur. Alors quand je lui ai annoncé il y a deux ans de cela, que j'allais à la fac, il s'était presque mit à pleurer. Je l'aime beaucoup, et je ne veux pas qu'il croit que sa fille, et ce genre de personne qui picole toute la soirée. De plus je ne le fais pas souvent... -ça va aller, appelle-le et dit lui que tu t'étais endormie de bonheur. Et puis c'est tout. -mm...oui tu as raison. Je n'ai pas envie qu'il ne fasse encore plus de soucis qu'il en fait déjà, je vais l'appeler en espérant qu'il n'a pas contacté les flics. Mon amie s'éclat de rire, avant de reprendre sons sérieux. -ah parce que tu ne plaisante pas quand tu dis qu'il appellerait les flics. Je secoue négativement de la tête. -pas le moins du monde, il m'a déjà fait le coup. -seigneur... Je prends mon téléphone puis je fronce les sourcils. -tu peux me dire c'est quoi tous ces cris ? Dis-je en faisant allusion aux hurlements que j'entendais depuis mon sommeil. Jess rit doucement avant de rétorquer avec une voix lasse. -c'est Mélissa, elle s’entraîne à chanter pour participer à un concours de chant du style « The Voice ». J'écarquille les yeux. -elle n'est pas sérieuse là ? J'avais cru qu'on étrangler une personne ! On devrait lui dire quand même. -surtout pas, laisse on va se marrer lorsque les jurés sauteront de leurs sièges. Se moqua-t-elle en me volant un rire. -ce n'est pas gentil Jess, quand même la pauvre elle va se ridiculiser ! -et c'est mérité ! Je roule des yeux devant le comportement de ma meilleure amie. Quoi qu'elle n'a pas tort. Mélissa est le genre de fille qui déclare que dans « Omega Alpha Beta », le « Alpha » est pour elle. Je me souviens du jour de mon arrivé dans cette maison, elle ne m'a pas laissé tranquille durant un bout de temps, j'en ai vue de toutes les couleurs avec elle. Mais bon, je trouve toujours méchant le fait de la laisser se ridiculiser devant un membre incalculable de personnes. -pourquoi tu n'y participe pas Lydia ? J'explose de rire, avant de la regarder en reprenant mon sérieux. -mais t'es complètement dingue toi ! -arrête, t'as une magnifique vois Lydia, je suis sûr que tu gagneras le concours. -je te rappelle ce qui s'est passé la dernière fois où j'étais monté sur une scène, j'avais bloqué et aucun son ne quittait ma bouche. Tout le monde s'est moqué de moi. -mais c'est du passé. -ça ne veut rien dire, je ne chanterais pas, et c'est tout. Mon amie se lève en déposant un b****r sur ma tête. -je suis en bas, prépare-toi et viens. -j'arrive tout de suite, laisse-moi juste le temps d'appeler mon père. -ok, à toute de suite alors. -oui c'est ça. Elle finit par sortir alors que moi je compose le numéro de papa, et l'appelle sans perdre de temps. Avec une demi tonalité il finit par répondre d'une voix totalement paniquée. -Lydia ! Ça va mon bébé ? Tu as des problèmes ? Je... Je lève les yeux au ciel devant son ton paniqué, et surprotecteur. -papa ! Je vais bien. -si quelqu'un t'oblige à dire ça, tousse. Je ris à plein poumons, oh mon dieu il ne changera jamais, et c'est pour ça que je l'aime, quoique parfois c'est un peu laçant. -papa, personne ne m'oblige à faire quoi que ce soit, hier j'ai dormis de bonheur c'est pour ça que je n'ai pas vue tes appels. -tu es malade ? Tu as de la fièvre. -non papa, je vais très bien, je te le promets. Je l'entends soupirer de soulagement. -oh ma petite Ariel, ne refais plus jamais ça à ton pauvre père, j'ai faillis avoir une crise cardiaque. -papa, ne m'appelle pas Ariel, je ne suis pas la petite sirène voyons. -tu sais bien que si, tu as les mêmes cheveux qu'elle, en plus tu l'adore. -je l'adorais quand j'avais six ans. -pourquoi tu ne l'aime plus alors ? -parce qu'elle n'est pas net, elle respire dans l'eau ! Mon père s'esclaffe de rire et je le rejoins aussitôt. Il est unique dans son genre, depuis que je suis petite il me surnomme Ariel, à cause de mes cheveux roux très longs, et de mes yeux bleus. -je t'aime ma chérie. -je t'aime aussi papa, à plus. Je coupe l'appelle puis je me lève en direction de la glace. Je me regarde un moment. Je soupire en ressentant un pressentiment horrible. Mais c'est normal après tout, ce soir je vais passer l'un des caps de ma vie. Je vais devenir une femme à part entière. Ce soir il y aura une soirée sur le campus, j'irais avec Dylan, c'est mon petit ami, et ce soir je lui offrirais ce que j'ai de plus précieux. Ma virginité. D'après Jess c'est une erreur, car on n'est pas assez amoureux, et elle veut que j'attende le grand amour. Mais peut-être que ça nous rapprochera encore plus. Après c'est des suppositions...

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