mes deux disparues
Vers les années 70 j’étais en pleine adolescence.On habitait dans un village assez loin de la ville même trop loin plus exactement, et vue que je travaillais en tant qu’instituteur dans une école, je devais prendre le train le dimanche afin de ne pas raté mon bus le lundi matin pour mon travail, mes jours étais couvert de monotonie trop de quotidien, sauf pour les vendredi soir, car on a l’habitude de sortir dans des petits bistrots et même voir des boite de nuit …bref on s’amusait pour oublier la routine.
Mes amis étais assez blagueur voir même farceur, des fois et souvent ces sorti nocturne tournais au désastre inconditionnel, mais moi je les aimais tout de même, car il faut dire qu’on était juste que cinq gars mais au fur et à mesure mes potes trouvais des copines un peu partout et on augmentait de nombre quelque fois…
Paul est la tête de notre groupe, il travaille en tant que rédacteur dans un journal très célèbre chez nous… en face il y a Luc un gars assez timide, mais dès qu’un bon whisky se présente à table ,il est comme métamorphosé, comme si il était une autre personne ,plus rien ne l’empêche de parler et de faire le fou, il travaille en tant que machiniste dans une société producteur de tôle pour maison…d’autre part il y avait Fabien le plus gros farceur de notre petite assemblé,il travaille en tant que comptable dans une boite qui fais fortune en vendant des produit PPN dans notre pays … et ensuite il y a Mike un blagueur de première ordre, il possède un petit épicerie juste en face de ma maison …et enfin il y a moi je me nomme honoré , je ne sais comment vraiment me décrire mais je vais quand même essayé pour vous donner une idée ,je suis un peu mature pas trop quand même on me confit les chose important à retenir surtout dans le groupe , je travaille comme instituteur de mathématique dans une école, j’ai une petite copine que j’aime bien elle s’appelle Méline.
Tous ce petit monde s’est rencontré au lycée puis université car notre pays en voie de développement n’en avais pas plusieurs, soit vous êtes pris dans une université d’état, sois vous allez a une université libre et vue que nous avons tous été admis à l’université d’état, ça arrangeais nos parent puisque c’était gratuit et aussi cela nous arrangeais, car on se voyait souvent.
Un vendredi, comme nous buvions dans un bar, Paul avait eu une idée, une excursion pour le groupe, c’était une idée très attrayante et vue le rythme que nous faisions pour chaque semaine tout le monde étais en peut plus d’accord avec lui pour cette petite viré. Donc on s’est mis d’accord pour la date car certain avait besoin de prendre une permission dans leur domaine comme moi, Paul, Fabien et Luc pour Mike c’était déjà du tout cuit.Moi je suggérais de ne pas aller trop loin pour éviter de ne pas arriver a tant à la maison et être en retard le lundi comme d’habitude :
Paul : OK on sait tous que tu ne veux pas être en retard le matin du lundi mais quand même tu pourrais faire une exception et prendre deux jours le vendredi et le lundi non ?
Moi : ah non Paul, tu oubli que je viens juste d’avoir ce poste et le risque d’absence prolongé et très mauvais pour mon image, et je te paris que y a pas que moi qui est ce genre de problème mais Luc Fabien aussi
Fabien : honoré a raison Paul, car moi aussi je suis déjà très surveillé dans mon secteur.
Luc : mais ou compte tu y allez Paul ?
Paul : je pense que nous devions allez vers l’est, près de chez honoré, histoire de voir si la bas on pourrait aussi trouver des petite chérie de campagne hahahah.
Moi : très drôle, mais je crains que tu ne sois vraiment déçu, car les filles de chez nous a tendance à être soumis par les volontés des parents hahaha.
Paul : pour ça je pense qu’on devrait d’abord dragué les parents avant non ? hahahaha.
Moi : on va pouvoir s’amusé et relaxé avec nos copine
Paul : avec nos copines ??? Non mais tu es malade ou quoi ? Je viens de te dire qu’on va la bas pour voir d’autre femme, et toi tu me dis de me faire accompagner ? mais tu ne vas pas bien ou quoi ? hahahah
Moi : hahaha d’accord Paul.et je me suis tue en buvons mon whisky.
La soirée c’est bien déroulé et a pris fin vers 5 heure du matin le samedi, j’étais assez fatigué, une fois que j’arriverais chez, moi je vais me faire un bon tasse de café bien chaude et prendre un bon bain. Arrivé à la porte de mon appartement a 6 heure 30 du matin, je prenais dans la boite au lettre sur la porte mes courriers, j’ouvrais la porte machinalement, et je suis entrée, mais en rentrant, je trouvais une lettre de ma famille, j’ouvris rapidement le courrier et je prenais une chaise et voilà ce qui étais écrit :
A mon fils,
Honoré, c’est maman qui t’écris, je vais bien et la famille aussi, tu nous manque beaucoup même si tu étais ici le weekend dernier, j’espère que tu vas bien mon chérie, je ne sais pas par où commencé mais je crois que je vais d’abord faciliter ma lettre et allez directement au phrase que je veux te dire.
Ce lundi, on a reçu un voyageur venons du village voisin, il voulait absolument te rencontré et je me disais que tu le connaissais peut être, il est assez grand, maigre et vieux, il portait un chapeau de paille et des scandales, il portait à sa gauche un écharpe qu’il m’était depuis son épaule a sa taille droite, et il avait une drôle de collier, si je ne m’a***e je crois que c’était un talisman même.
Je ne sais pas mais je crois qu’il se passe quelque chose, alors mon fils si tu reçois cette lettre reviens vite au village.
Je t’embrasse fort ta maman.
Je me suis mis à relire le contenue de la lettre sans rien y comprendre, la description de cet homme ne m’est guerre familiers, et de plus je ne connais personne du village voisin, car celui-ci se trouve a plus de 50 km de la nôtre. Donc je me suis fait un bon café et en attendons que cela soit fait, quelqu’un frappa à ma porte, je me dirigeais vers la porte, quand soudain a peine j’ai effleuré le poignée que celui-ci c’est ouverte de son plein gré. Étonné et encore chamboulé, je vis une silhouette longue et maigre avec chapeaux et plusieurs colliers à son cou, mes mots m’étouffais la gorge à la vue de cette personne
Moi : ah…. Euh…. Ou…oui ?? C’...est pourquoi ??
Le chamane : bonjour Mr Honoré, puis-je entré s’il vous plaît, j’ai quelque chose de très important à vous faire part
Il avait la voix grave et mystérieuse, il était si calme et à me voir étonné, il souriait, à croire qu’il savait exactement ce qui se tramais dans mes pensée, car on le voyant, je savais tout de suite que s’était le chamane que me décrivais ma mère dans la lettre, il avait l’écharpe et tout le toutim. Prise au dépourvue je le faisais entrée.
Moi : je vous en prie faite comme chez vous, installé vous sur cette chaise, je me faisais un café voulez-vous vous joindre à moi ?
Le chamane : bien volontiers Mr, et de toutes les manières, je vous cherchais j’avais des choses important à vous faire part
Moi : tien donc et pouviez-vous me dire de quoi donc s’agit-il ?je cachais ma peur, mes engouasses, mes craintes, je ne voulais seulement qu’il m’explique de quoi il en sort, pourquoi donc me cherche-t-il et surtout qui il est. Tout cela se brusquait dans ma tête, et tout en reposant les tasses de café sur la table a cote de la chaise où il se reposait, il m’a coupé dans mes questions mentales
Le chamane : ne vous inquiété pas cher Mr, je vais en peut plus vous expliqué et mettre à claire vos idées.il me regardais en souriant comme si il était dans ma tête
Moi : comme si cher Mr vous saviez ceux à quoi je peux penser ? Et je me suis assis sur la chaise en face de celui du siens, je m’étais mis les mains sur mes genoux, comme un enfant que l’on vient juste de grondé
Le chamane : cher Mr je sais exactement que vous venez juste de lire des courriers que votre mère avais envoyé à mon sujet
Moi : chose facile car j’en reçois tous les semaines, une personne connaissant bien ma routines, pourrais aussi bien le deviné .Je faisais ma malice tout en prenons et en buvons mon café.
Le chamane : je n’en suis pas si sûr, car si je connaissais exactement votre routine comme vous le dit si bien cher Mr, je ne pouvais pas savoir que la lettre était à mon insu, et de plus je rajoute que votre mère et un bien connaisseur de talisman, elle l’a tout de suite sue juste au moment où elle m’a reçu dans votre maison la compagne , mais je vois qu’avec vous cela serra chose non aisé ,je me trompe peut être ? Et il avait toujours ce sourire audacieux à mes yeux.
Moi : je vous prie cher Mr, venez donc au fait de votre visite. Impatient de chaque réponse à mes questions en croisant mes bras et on prenons place sur ma chaise il posait son café et commençait à narré.
Le chamane : voyez-vous cher Mr honoré, je viens du village voisine de la vôtre, inutile de vous dire que je suis le chamane de ce village, je me nome apakum c’est mon nom de chamane ,avant je ne savais pas qui vous étiez, ni même votre existence ,mes s’était à travers mes songe que je vous ai vue pour la première fois ,je vais allez droit au but, car je voie que vous vous impatienté, voilà donc , vous avez, vous avec vous compagnons décidé de faire une petite expédition dans notre contré ,ce n’est pas une mauvaise idée, vue que vous voulez y allez pour vous détendre de vos routine, seulement il faut que vous sachiez ,que en ses temps le fleuve de notre village est assez capricieuse, et que dans cette époque de l’année les sacrifices abonde et se font demandé ,curieusement vous avez décidez exactement au moment que ce cas commence a dégradé ,nous, chamane ne pouvons rien faire pour le moment à part vous prévenir de ce qui peut vous attendre si vous persisté à faire ce voyage .Ecoutez bien ce que je vais vous dire Mr honoré ; si vous décidez de partir, et je sais que vous allez le faire je vous conseille de dire à vos amis de ne pas consommer du porc , et de l’ail car cela n’est pas adhéré dans notre village , et cela porte supplice ,ne vous baigniez point dans le fleuve et surtout faite attention à vos propos et vos croyance, qui pourrons vous conduire dans des ravins, car même si vous ne croyez pas à ce que je vous dis Mr honoré, le peuple de ce village eux ils y crois et ces lieux sont sacré, donc je compte sur votre plus grande prudence cher Mr, car je sais que vous êtes jeune mais pas entêter. Sur ces mots il entreprenait le chemin vers la porte comme si il ne voulait même pas que je lui réponds que quoi que ce soit, il termina ses phrase et il ouvrit la porte il m’a seulement jeté un regard au-dessus de ses épaule gauche et il sorti en fermant la porte.
Les semaines passais et arriva le jour du départ, j’ai déjà fais pars de cette rencontre a mes potes mais comme toujours Paul et les autre ne faisais que rire de ce que je leurs est raconté et vu qu’on était jeunes rien ne nous importais, pour ma part, moi je prenais quand même mes précautions.
Donc on a pris la voiture de Paul et on a entrepris la route ,nous somme arrivé au village vers le soir du vendredi comme prévus, on était déjà tous un peu ivre, nous nous somme reposé dans la chambre d’hôte d’un des villageois ,on s’est installé et on a ensuite fait un feux de camp .le lendemain nous avons décidé de faire les touristes, donc on a visité les allons tour du village ,au bout d’un chemin assez étroit à la sortie de la foret nous percevant un pont ,ce qui m’a vraiment étonné ses que l’eau du fleuve sous cette pont était incroyablement différent des deux côtés car l’eau de celui de ma gauche étais si vers qu’on croyais même qu’il virais au noir par contre celui de ma droite étais vert mais assez clair qu’on pouvait même voir les pierre sous l’eau ,et pourtant il n’y avait pas d’autre source qui alimente cette fleuve et le comble c’était une même fleuve qui passais sous un pont de bois et sans filtrage en plus. Inutile de vous dire que cela me faisais un peu peur et soudain revint à ma mémoire les dire du chamane apakum au sujet de ce dernier, mais avant même que je n’ai eu le temps de les rappelé à mes amis que soudain Paul et Mike se mit à s’essoufflé
Paul : ah les mecs on dirait qu’il commence à faire chaud, sérieux les gars j’ai vraiment envie de me baigner je vais me baigner du flanc gauche car je pense que celui-ci est plus profond, si je vais de celui du droite je risquerais de me cogné la tête .il commençais a enlevé son tee-shirt
Mike : ah Paul je te suis car moi aussi je commence a brûlé là .et il faisait aussi les mêmes gestes que Paul
Mais avant même qu’on est pu dire quoi que ce soit, tous les deux se sont mis a plongé ensemble simultanément et du coté même coté. Nous trois on était seulement bouche bée on n’avait pas plus en placé une, en a attendue au-dessus du pont, le plus inimaginable c’était que au moment du plongé et après aucun bulle ne s’était exposé à la surface, alter et apeuré je me suis tout de suite mis à dire
Moi : eh les mecs il se passe un truc pas nette dans l’eau, cela va faire 10min que les deux sont sous l’eau et absolument rien n’en sort.et Fabien paniqué aussi a remarqué
Fabien : oui je suis aussi de ton avis, attend je vais allez voir sous l’eau
Moi : attention Fabien, tout cela ne me dis rien qui vaille.je tenais la chemise de Fabien comme si c’était la seule chose à qui je peux me fier dans toute cette situation affolante.
Fabien : d’accord je vais être prudent ne t’inquiète pas Honoré. Luc étais pétrifié il ne faisait que fixé l’eau et se mit a tremblé de peur, pendant que Fabien se préparais a plongé pour effectuer les recherche sous l’eau moi je me suis remis de mes émotions donc j’ai pris une espèce de liane non loin de là et je le mettais au tour des hanche de Fabien car je ne savais pas quoi faire de plus
Moi : voilà Fabien comme cela tu peux tirer sur cette liane si tu trouves qu’ils sont allez au fond de l’eau et que tu ne peux les rejoindre, ils sont aussi tous les deux de bon nageurs qui sais peut-être sont-ils allez trop profond en plongeons et comme cela je te tire hors de l’eau d’accord ?
Fabien : d’accord c’est une bonne idée
Moi : et toi Luc réveille-toi ce n’est vraiment pas le moment de dormir debout .et je me suis mis à le secoué, tout de suite il était revenu a lui-même
Luc : ou… oui …oui honoré
Moi : des que Fabien tire sur la liane nous le remontons en même temps OK Luc ?
Luc : ou. Oui …oui
Fabien a plongé à son tour mais seulement après 5 minute il s’était exposé en surface , j’étais un peu soulagé de le voir il a nagé vers le rivage du fleuve et on s’était mis à le suivre depuis le pont , arrivé au rivage il m’a tendue les bras comme si pour me dire de lui remonter ,j’ai coupé le liane et j’ai aidé Fabien à prendre place pour qu’il reprend son souffle ,mais il était comme mortifié s’était comme si il avait vu un fantôme sous l’eau , curieux et intrigué mais aussi un peu paniqué
Moi : p****n Fabien tu as vue quoi ? Ou ils sont ? Qu’y a-t-il mecs ? Parle bordel
Fabien en béquillais: p****n honoré ….je…Je l’ais est vue ils sont là sous l’eau mais ils ne nage pas ils sont comme figé … à la verticale… comme qu’ont-ils ont plongé et le plus hallucinant, c’est qu’ils me regardaient fixement on marmonnant quelque chose que je ne comprenais pas. Je voyais juste leurs lèvres bougé, et le pire honoré, l’eau n’est pas du tout profond, leurs tête pendue en bas se rapproche presque du fond du fleuve, honoré c’est comme si un peu et ils allaient se heurté le crâne, j’ai essayé de tirer Paul mais sans succès, comme si il pesait une tonne pour moi,… p****n on fait quoi les mecs ???
Moi : quoi c’est hallucinant ce que tu dis là Fabien,… bon, voilà ce que je propose je vais aller appelé des secours en ville et toi tu vas rester ici avec Luc au cas où les deux mecs se décide a remonté au surface
Fabien : pour cela honoré je ne pense pas, t’a entendue ce que je disais non ils sont comme figé comme sculpté comme collé au fond tu comprends ???
Moi : oui d’accord je te comprends mais attend moi ici je reviens et puis essaye de réveillé Luc il a l’aire dans les vapes à croire qu’il va mourir aussi...
Et je me suis mis à courir comme un fou ,je ne savais pas où allez pour trouver une quelconque aide mais il faut que j’y aboutisse a en trouvé une pour faire sortir mes potes de là, je n’avais plus rien espéré vue la tête de Fabien mais je voulais quand même y croire ne serai ce qu’un seul instant qu’on pouvait faire quelque chose … perdue dans mes pensé je ne savais pas que j’étais déjà aboutis au village à travers les bois …ne savons plus quoi faire je me suis mis a hurlé
Moi : au secours … pitié à l’aide … aidé nous je vous en prie … que quelqu’un fasse quelque chose … à l’aide pitié
En espace de quelque seconde j’étais entouré de tous les villageois y compris le chamane, on le voyant je me suis rappelé de tous ces mots et dire, j’ai courue vers lui et je le tenais par les vêtements
Moi : vous … vous … si vous trouvez un moyens aidé moi s’il vous plait… mes amis ils… ils… venez vite je vous en supplie
Le chamane a pris ma main comme pour me rassuré, et à l’espace de quelque seconde je me suis remis, tout ensemble on s’est ruée vers le pont c’était comme si je ne marchais plus aussi tôt je me trouvais au bord de la rivière avec plusieurs personne d’autre étais sous l’eau et le chamane lui il était au-dessus du pont comme si il priait ou faisais quelque chose de cette espèce.
Ce qui sortais de l’eau étais comme tous déçus et sans espoir d’autre venais même avec des pèle mes leurs trais étais tous la même …je regardais Fabien qui se tenais la tête cotre les genoux recroquevillé et à ses coté Luc qui se mordais les ongles ,et toute une foule de souvenir de fous rire avant le départ se précipitais dans ma tête , au bout de quelque heure le chamane m’a rejoint Luc et Fabien aussi après avoir regardé et fixé l’eau de la fleuve où exactement mes potes étais figé il s’est tourné vers moi et a proclamé
Le chamane : écouté bien brave gens ,les roi de ce village qui se succédais ici se faisais éventré et tous leurs organe se fond jeté sous cette fleuve exactement là ou vos amis ont plongé, donc une part de leurs esprits réside ici , après avoir longuement discuté avec ses esprit, ils m’ont accordé une chance de sauver vos deux amis pétrifié ,rassurez –vous vos amis ne sont pas encore mort mais ils sont seulement pétrifié car comme je vous ai déjà dis de ne pas faire ,vos amis eux ils ont consommé du porc et d’ail exactement à l’insu de votre mis en garde, les esprit accepte de les remonté en surface si à condition que dans trois jours au plus tard vous revenez ici avec 1 zébus de couleur noir avec un trace blanche sur sa tête et un coq rouge de plume.
Moi : mais où allions nous retrouvé tous cela ?
Le chamane : chez moi j’ai un zébu noirs a tête blanche et également un coq a plume rouge vif je peux vous les vendre
Fabien : ah tiens donc, c’est dit pas beau tout cela ? D’une aire moqueuse
Moi : Fabien arrête de t’emporter essayons de trouvé….
Fabien : Honoré, c’est lui qui devraient arrêter ses synopsies, et ses fadaises, il nous a dit beaucoup de chose mais pourquoi nous les a-t-il dis hein ? Et si il savait tout cela pourquoi ne s’ait il pas montré au moment du drame ? Pourquoi fallait-il que tu viennes au village pour prendre renfort ? , et il dit qu’il connaît un remède que sois disons les esprits lui parle pourquoi nous vend-il ses bête ? Pourquoi ne nous les donne-t-il pas vue que pour le moment on est un peu désespéré là non ?…
Le chamane : jeune homme je vous comprend parfaitement ,et ce que je vous dis ne sont pas des synopsies et des fadaises, c’est la seul vérité qui soit , et pour l’idée des bêtes ; saché cher Mr Fabien que moi je ne cultive pas la terre, et je ne possède aucune bête non plus, je n’ai même pas de maison ,et quand je vous dis chez moi je parle du village ,et saché cela aussi Mr Fabien que les gens ne peut pas donné leurs richesse au premier venue, et ne font pas aussi confiance si facilement ,et je vous rappelle que c’est à cause de ce genre de mentalité que vos amis se trouve à présent sous l’eau ,car même si Honoré leurs a dit de ne pas consommer eux il se sont quand même goinfré , donc voilà ce que je vous propose ; allez chez vous et demandé aide chez les parents de ses messieurs ; dite leurs que l’eau les feras sortir après 3 jours ;mais seul leurs intervention changerons leurs état en vie ou en cadavre : si ils ne vont pas accepté mes solution, le fleuve sortiras ses jeune gens en cadavre ,si par contre ils essayerons d’arrangé les chose, le fleuve les épargneras tous les deux , je vous conseille d’aller vite chez vous et sans tardé, car quoi que vous fassiez pur tenté de les faire sortir par vos force, l’eau les engloutiras encore un peu plus .
Aussi tôt on a rangé nos affaires, et aussi tôt on était sur le chemin de retour .personne ne disais plus mots rien ne sortais et moi qui conduisais je n’avais plus la tête a rien, je n’en revenais pas encore, on était 5 gaillard costaux qui partais de la ville vers ce maudis village, et la en est seulement que 3 à en revenir, s’était enfin que Luc arrivais à dire quelque chose
Luc : Honoré c’est pour cela que j’étais si perplexe avant de venir ici mais Paul ne voulais rien savoir, et le voilà maintenant mort … et il tombe en sanglot
Moi : sèche tes larme Luc on n’est pas encore à l’heure des pleure on a encore une chance de les sauvés.je gardais confiance
Fabien : hein car tu crois vraiment que c’est encore possible tous ce que se mécréant de chamane t’a dit ? On commence a haussé le ton
Moi : Fabien tu crois ce que tu crois moi je fais mon possible pour sauver mes amis, et pour l’instant on n’a pas 36 solution je te signal, on en a qu’une seul et je veux tenter le tout pour le tout.
Vers 17 heure du soir en arrivais en ville ,on était chez les parents de Paul ,puis on allais chez celui de Mike ,et il se sont fait rendez-vous le lendemain pour aller voir sur place , les parent de Paul assez aisé avais fait appel à un pompier hors pair ,mais ceux de Mike étant un peu tiré des coté ne pouvais rien faire que d’attendre , après 4 heure de fouille et de tentative les pompier ont fini par cédé, il parais que rien a changé depuis notre départ ils étaient toujours là en position verticale la tête en bas et en marmonnant des chose incompréhensible ,la seule chose qui a changé étais que le sol au-dessous de leur tête suspendue semble se creusé d’avantage. Désespéré les parents de Mike fini par prié le chamane de faire une intervention …
Le chamane : les esprits ne sont pas des fadaises et vous avez souillé la terre des ancêtres à travers vos propos et vos geste déplacé, donc le fleuve a décidé donc de gardé vos fils a jamais.
Moi : mais que voulez-vous dire ?
Fabien n’a pas attendue la terminaison des mots qu’il s’était mis a sauté dedans et a fouillé comme un homme qui a perdu son or dans un vaste océan
Fabien : Honoré ils ne sont plus là !!! Honoré nos potes ne sont plus là mecs …
Le chamane ne rajoutais plus rien après ses mots, et s’est retiré doucement, moi je ne pouvais plus rien dire, la famille de Paul a sortis plusieurs injure contre le chamane sans pouvoir rien faire, mais ceux de Mike ne faisais que pleuré et même sa mère a voulus y sauté aussi, après plusieurs heure d’attente pour n’importe quoi, on a décidé de partir et retourné en ville.
Plusieurs jours passèrent après la disparition de Mike et Paule environs 2 mois même, on a décidé de nous revoir les potes et moi, on a pris comme un genre de rituelle, qu’à chaque rencontre on destinait notre premier verre aux deux disparues.
Auteur SRK par la suite d’une histoire réel