Dominic

Chapitre 2 Tw : Scène sexuelle explicite

CAITLIN

« Dominic. » gémis-je contre sa bouche en entrant dans mon appartement.

« Mon voisin est un connard, on doit se taire. » murmurai-je en refermant la porte d'un coup de pied. Il mordit ma lèvre inférieure, la tira entre ses dents, puis la suça doucement. Une flaque d'eau s'accumula sur mon string en dentelle.

Cet homme savait embrasser, c'est sûr.

« Se taire ? Je ne suis pas du genre à me taire, mon ange. » marmonna-t-il en déposant des baisers humides et rugueux dans mon cou et en serrant fermement mes fesses dans ses grandes mains. Je passai mes doigts dans ses cheveux doux, rejetant ma tête en arrière et lui donnant un accès plus large.

« Oui ? Comment es-tu ? » demandai-je à bout de souffle. Dominic attrapa ma main et la posa sur son pantalon, juste sur sa bosse proéminente et dressée. Mes yeux s'écarquillèrent à la sensation de sa longue et épaisse bite à travers le tissu.

« Dur, brutal. » Sa voix devint plus grave lorsqu'il pressa sa main sur la mienne. « Fort. »

C'est exactement comme ça que j'aimais ça.

« Je veux t'entendre crier mon nom pendant que je te b***e comme tu le désires tant. » Il murmura en mordant mon lobe d'oreille, me faisant frissonner. Mes yeux se fermèrent involontairement. À ce moment-là, je ne pensais plus qu'à me remplir de lui.

Sa main se leva, se referma sur mon cou et me fit ouvrir les yeux. « Dis-moi comment tu veux être baisée, Caitlin. » me railla-t-il en se léchant la lèvre inférieure tandis que ses yeux bruns s'assombrissaient. Un désir prédateur se lisait sur ses traits tandis qu'il me fixait.

Mon esprit rationnel s'éteignit, me laissant complètement dominer par le désir pur que je ressentais.

Je souris quand sa main se resserra. « Comme tu veux. »

Il eut un sourire narquois, visiblement ravi de ma réponse. « Tu as une petite mégère en toi, hein ? Mais d'abord, je veux goûter à ce à quoi j'ai affaire. »

Dominic m'a poussée contre le mur de mon salon et j'ai trébuché en arrière, manquant de trébucher sur mes propres pieds.

Il a glissé la main sous ma robe, faisant glisser mon sous-vêtement sur mes cuisses jusqu'à ce qu'il s'enroule autour de mes talons.

« Ta peau est si douce », murmura-t-il en attrapant la chair épaisse de mes fesses nues. « Et tu sens si bon, mon ange. » Il a gémi et s'est laissé tomber à genoux.

J'ai haleté lorsqu'il a attrapé mon mollet et a soulevé ma jambe pour la poser sur son épaule. Il a passé un bras autour de moi pour me maintenir en équilibre afin que je ne tombe pas.

Ses yeux étaient maintenant au niveau de mon sexe nu et il l'a fixé, les lèvres entrouvertes, s'attardant encore quelques secondes. Soudain, j'ai commencé à me sentir mal à l'aise lorsqu'il n'a rien dit et j'ai essayé de retirer ma jambe de son épaule.

« Uh-uh, garde-les ouvertes. » me prévint-il en saisissant ma cuisse avec force et en la remettant en place.

« Si jolie », dit-il en levant son doigt pour faire tournoyer mon humidité. « Et si prête pour moi. »

Je gémis, à peine capable de réfléchir, tandis qu'il jouait avec mon c******s, me faisant vibrer de plaisir. J'ai failli perdre la tête quand sa tête a glissé sous ma robe et que sa bouche chaude m'a enveloppée. Ma tête est retombée contre le mur tandis qu'un gémissement sortait de ma gorge.

Il mordit doucement le caillou mou, manquant de me faire plier les genoux, mais je me suis vite ressaisie.

J'étais tellement attirée sexuellement par lui et il était tellement beau qu'il me dévorait comme si j'étais son dernier repas. Il y avait quelque chose de spécial à voir un homme à genoux tandis que sa langue caressait ma partie la plus intime sans vergogne.

Mes jambes se mirent à trembler de honte et je gémis en essayant de repousser sa tête. Le plaisir commençait à prendre le dessus et ma satisfaction était à portée de main.

« Tiens-toi bien. » ordonna-t-il en levant les yeux vers moi, me mettant au défi de faire un autre mouvement.

« Je ne peux pas, c'est trop. » Je soupirai, presque à bout de souffle. J'ai l'air d'une puceau. Ressaisis-toi, Caitlin.

Ce n'était pas la première fois que je recevais une c*********s, mais rien de comparable à ce que Dominic me procurait. Sa langue experte, chaude et humide, me faisait presque jouir comme une chienne en chaleur.

C'était un pur bonheur.

J'attrapai le bas de ma robe et la passai par-dessus ma tête, gémissant lorsque ma peau brûlante heurta le mur froid. Dominic embrassa mon c******s une dernière fois avant de se lever et de presser ses lèvres contre les miennes.

« Un préservatif ? » demanda-t-il en me regardant avec des yeux sensuels et tombants.

« Dans la chambre. » répondis-je en lui prenant la main et en l'entraînant dans ma chambre. Il me suivit, nos pas lourds et précipités. J'ouvris la porte de ma chambre faiblement éclairée et me retournai pour lui faire face. C'était dans ces moments-là que j'adorais vivre seule.

Il entoura mes cuisses de ses bras et me jeta sur le lit. Mon cri fut étouffé par sa bouche tandis que je retombais sur le dos, rebondissant à plusieurs reprises.

« Le tiroir de chevet de gauche », marmonnai-je en passant mes mains dans ses cheveux.

« Ma gauche ou ta gauche ? » demanda-t-il tandis que ses doigts habiles admiraient mes seins couverts de soutien-gorge. J'ai failli lever les yeux au ciel.

« La mienne. »

Il tendit la main, fouillant dans le contenu inutile avant d'attraper un carré doré.

« Tu portes trop de vêtements », gémis-je en tirant sur sa veste. Je le voulais complètement nu – je voulais voir tout ce qu'il avait à offrir, parce que je savais que ce serait magnifique.

Dominic retira sa veste de costume et commença lentement à déboutonner sa chemise. Je me léchai les lèvres tandis que sa peau nue apparaissait.

J'ai parcouru du regard son torse, couvert de tatouages. J'en suis restée bouche bée, il était plus beau que je ne l'imaginais : si lisse, bronzé, ferme et imposant. J'ai failli l'acclamer.

« Tu bosses dur, n'est-ce pas ? » ai-je demandé doucement en caressant sa peau du bout des doigts.

Il a ri. « On peut dire ça, on dirait. »