La pierre philosophale
Première années
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C'était une belle journée d'été, le temps était doux et ensoleiller dans cette petite ville mais malgré la belle journée, deux enfants n'en passaient pas une. Ce matin en se réveillant, leur tante qui était son tuteur légal avec son mari venait de les réveillés brusquement pour qu'il prépare à déjeuner. Les deux jeunes enfants de bientôt onze ans, s'était réveillé durement grâce à elle et pour ne pas arranger le tout pour le jeune garçon qui dormait dans une cage à escalier, leur cousin descendit les marches et puisque ce qu'il préférait le plus était d'embêter son cousin, il sautait à pied joint dans les escaliers et criait :
-Réveille-toi mon cousin, nous allons au Zoo !
Le jeune Harry se levait d'un coup de son lit tandis que sa sœur qui était dans la chambre juste à côté des marches à l'étage, levait les yeux au plafond, exaspéré du comportement de son cousin. Lorsque Harry vint pour sortir de sa minuscule chambre qui ne l'était pas vraiment, son cousin Dudley le repoussait à l'intérieur et refermait la porte d'un coup de pied pour le lui fermer sur le nez. Dalyah descendit les marches à ce même moment et voulu courir après son cousin pour le frapper de toute ses forces mais elle se fit violence pour ne pas le faire, son frère ne voudrait pas qu'ils aillent des problèmes tous les deux à cause de leur terrible cousin. Quand les trois jeunes rentraient dans la cuisine, Pétunia, la tante des jumeaux regardaient le jeune Harry et il dit en aboyant :
-Toi, fais le déjeuner !
Alors qu'il se dirigeait vers là, Dalyah allait s'asseoir près de son oncle Vernon. Elle savait que si elle allait l'aider à préparer le déjeuner, elle allait subir les conséquences qui était bien loin d'être plaisant et son frère, ne pourrait pas le toléré une autre fois. Avec son fils, Pétunia se dirigeait vers le salon et quand elle retirait les mains de sur les yeux de son fils, elle dit d'une voix enjouée et mielleuse :
-Et voilà une montagne de cadeau pour mon petit Dudley d'amour !
Le jeune garçon grassouillet comme son père les regardaient avant de se retourner vers son père et aboyait :
-Combien, il y en n'a ?
Fier, le père du garçon dit en levant du doigt :
-Trente-six, j'ai compté moi-même !
Le garçon devint rouge de colère et il criait :
-Quoi ? Mais l'année dernière, l'année dernière, j'en n'avais trente-sept !
Incapable de voir son fils en colère, la mère de ce dernier mit ses mains sur les épaules de son fils et elle dit :
-Quand on va sortir, nous irons te chercher deux autres cadeaux !
Les jumeaux levaient leurs yeux au ciel, décourager de l'attitude de leur cousin. Harry se dit qu'il devait se compter chanceux au lieu d'être en colère d'en n'avoir eu cette quantité puisque lui et sa sœur n'en n'avait jamais reçu de leur vie. Leur oncle Vernon se tournait alors vers Harry et il dit :
-Il vient ce café !
D'une voix douce, Harry répondit :
-Tout de suite oncle Vernon.
Dalyah s'est tût car elle aurait bien voulu lui faire avaler son café ainsi que la tasse qui venait avec. Celle-ci était souvent en colère, car leurs tuteurs leurs faisaient vivre l'enfer depuis leur naissance. Elle aurait tellement aimée que ce soit leurs parents qui s'occupent d'eux, malheureusement, ils étaient morts quand ils n'étaient que des bambins d'à peine un an, mais ils ignoraient encore à ce jour, la véritable raison de leur mort précoce. Après le déjeuner, les gens de la maisonnée quittaient le confort de la maison se qui ne pouvait pas déplaire aux jumeaux qui quittait si rarement la maison. Avant que ceux-ci ne puisse rentrer dans la voiture, leur oncle refermait la porte du véhicule et d'air un air menaçant, en pointant la clé sur eux, il proférait des menaces qu'ils avaient déjà entendu si souvent en dix ans, mais qui était sincère. Il leur avait dit que s'il arrivait quoi que ce soit, ils seraient tous les deux gravement punis et les jumeaux ne fit qu'hocher de la tête sagement, ils ne voulaient pas que leur oncle ne les enferme dans la maison car ils n'avaient pas capitulé face à lui. Harry et Dalyah était heureux de se tour en voiture, ils sortaient si rarement de la maison familiale, qu'ils se délectait du paysage qui se dessinait devant eux. En arrivant au Zoo, les jumeaux suivirent doucement le couple et leur enfant qui lui ne cessait de courir partout et qui voulait tout voir maintenant et non dans cinq minutes. Les cousins de ce dernier tentaient de ne pas entendre ce qu'il disait, plutôt ce qu'il criait, ils désiraient seulement profiter de la sortie au maximum. Puis vint le temps qu'ils arrivent aux les reptiles étaient dans leurs aquariums pour le plaisir des yeux des gens. Alors qu'ils regardaient tous un serpent, le fêter dit à son père :
-Fais le bouger !
L'homme cognait doucement dans la vitre pour faire bouger le serpent et ordonnait sans trop crier que ce dernier bouge, mais le serpent ne bougeait aucunement. Le jeune garçon grassouillet tapait fortement dans la vitre et criait :
-Bouge andouille !
Harry se tournait vers son cousin et il dit :
-Il est endormi !
Dudley levait les yeux et il dit :
-Il m'ennuie !
Il se tournait donc pour aller voir les autres reptiles et Harry ainsi que Dalyah demeurait devant le serpent endormi et il dit :
-Je suis désolé, ça ne doit pas être plaisant de voir tous les jours des gens nous observer.
Le serpent relevait la tête vers les jumeaux et leur fit un clin d'œil se qui les surprit. Dalyah dit alors :
-Tu nous comprends ?
Le serpent hochait de la tête et Harry dit :
-Voyez-vous s'est la première fois que nous parlons à un serpent !
Dalyah rajoutait :
-Est-ce que ça vous arrive souvent de parler avec des gens ?
Le serpent secouait sa petite tête de gauche à droite. Alors que les jumeaux lui demandaient s'il s'ennuyait de ses parents, le serpent leur montrait que ce dernier avait été élevé en captivité et les jumeaux ne pouvaient que trop comprendre se que cela signifiait puisqu'ils étaient enfermés à longueur de temps chez leur oncle et tante. C'est alors que Dudley arrivait devant la vitre et bousculait son cousin tout en mettant par la suite ses mains sur la vitre, émerveiller que le serpent bouge enfin. Dalyah foudroyait son cousin du regard, prêt à lui sauter dessus mais sans qu'elle ne comprenne pourquoi, la vitre qui se tenait entre le serpent et eux se dématérialisait et Dudley tombait dans l'aquarium du serpent. Maintenant que la vitre n'était plus là, le serpent en profitait pour s'échapper. Ce dernier s'arrêtait devant Harry et Dalyah et les remerciaient avant de quitter la section des reptiles tout en déclenchant la panique dans le Zoo. Dudley se relevait et tentait de sortir, mais cela lui était impossible, la vitre était de retour à sa place. Vernon et Pétunia arrivaient devant et constatait que leur fils était enfermé. Pétunia paniquait en sachant pertinemment qu'il y avait un serpent qui était enfermer là, peu de temps auparavant. Harry et Dalyah riaient légèrement en voyant la réaction de leur tante mais cela n'échappait pas à l'oncle de ces derniers. Ce dernier leur lançait un regard mauvais pour qu'ils cessent de rire du malheureux de son fils. Quand ils revinrent tous dans la maison, Pétunia se dépêchait à couler un bon bain chaud pour son fils qui avait très froid après avoir pris une petite plonge dans l'enclos du serpent car il y avait une petite étendu d'eau à l'intérieur pour le serpent qui y vivait jusqu'à se qu'il puisse s'échapper. Quand les jumeaux et leur oncle furent rentrer dans la maison, Dursley attrapait son neveu par les cheveux et l'entraînait vers sa minuscule chambre sous les escaliers et demandait se qu'il s'était passé. Dalyah tentait de le retenir de faire du mal à son frère jumeau mais en vain. C'est alors qu'Harry dit se qu'il ne fallait pas, il dit :
-Une minute la vitre était là et la seconde d'après, elle n'y était pu, c'était comme de la magie !
Vernon poussait son neveu sous la cage d'escalier et fermait la porte qu'il verrouillait par la même occasion et de la petite trappe, il dit :
-Sache que ça n'existe pas la magie !
Il refermait cette petite trappe avant de se retourner vers sa nièce. Celle-ci avait désormais peur, se n'était plus le courage qui l'habitait. Elle courut donc le plus rapidement possible jusqu'à sa chambre à l'étage et refermait la porte derrière elle. Elle aurait bien voulu la verrouiller mais elle ne le pouvait pas, du moins pas de l'extérieur. Elle restait donc devant la porte et la tenait du mieux qu'elle le pouvait quand son oncle se mit à tambouriner sur celle-ci et tentait de l'ouvrir. Cela prit quelques minutes avant qu'il ne puisse entrer, faisant tomber par la même occasion sa nièce sur le plancher de sa chambre. Celle-ci se reculait à l'aide de ses bras mais rapidement, elle se retrouvait prisonnière entre le mur et son oncle. Ce dernier la relevait d'une main et la poussait sur le lit avant de dire :-Tu vas vivre le calvaire pour se que vous avez fait, ton frère et toi !Dalyah savait qu'elle traitement il lui réservait et cela la pétrifiait. En bas, Harry put entendre sa sœur qui criait et cela le dégoûtait. Il aurait bien voulu sortir de sa petite chambre mais celle-ci étant verrouiller, ne lui donnait pas la possibilité de courir pour secourir sa sœur qui vivait le martyre à cet instant précis. Quant à Pétunia, elle savait se qu'il se passait mais ne bougeait pas de la salle de bain, elle montait seulement le son de la télévision qui était dedans pour que son fils n'entend rien et que celle-ci puisse ne pas penser à ce qui arrivait à sa nièce. Elle ne la portait pas dans son cœur car elle considérait que celle-ci était un monstre mais elle n'aimait pas se que son mari lui faisait, cela la dégoûtait même.