Chapitre 2: LUI

1430 Words
Je me réveille le lendemain, pour une mauvaise soirée j’ai passer une très belle nuit, je ne sais même pas comment est ce que j’ai pu faire, je me lève et vais regarder mon téléphone un appel du cretin et rien d’autre. Je pose mon cellulaire sur la table et vais comme chaque matin prendre une douche, ma vie avait l’air de continuer et je ne pensait même pas à ce débile qui c’est invité dans ma vie. Et pourtant je devrais. Mais si je dois souffrir alors tel est mon destin mais je sens au fond de moi que les choses prendront malgré tout une tournure bien plus différente que ce que je ne peux penser. Je regarde dans le salon mais la maison était vide aucune trace de papa et maman et Zakaria non plus, j’espère qu’il n’est pas allez faire des conneries. Je prend ma douche, mon petit déjeuné et mon téléphone ce met à sonner, je regarde et le numéro de Rayan s’affiche une nouvelle fois, j’hésite à décrocher et je le fait il faudrais que je sache ce qu’il vas m’avouer. Moi: quoi Rayan: Mh tu joue les rebelles, continue, je viens te chercher faut que je te parle Moi: ont as rien à ce dire Rayan: me casse pas la tête dès les matins, je suis gentil là mais ne me cherche pas trop ou je refait un tour chez toi Moi: dans 20 min en bas de mon immeuble Rayan: dans 5 min chez toi. Moi: tu rêve A peine ai je eu le temps de parler qu’il raccroche. Je me dépêche de m’habiller, un jean, un tee shirt et une chemise ouverte en guise de veste. Une paire de basket blanche et j’entends la porte de chez moi s’ouvrir, je vais pour regarder qui venais de regarder et je le vis lui. Oui il venais de rentrer comme si la demeure était au nom de ces ancêtre. Je ne comprend même pas comment son cerveau fonctionne alors me marier a lui c’est le déni totale, mais je n’ai pas le choix si je veux sauver ma famille, je n’ai que cette chance là. Moi: dis donc fait comme chez toi. Rayane: tu vas où habiller comme ça Je le regarde et hausse un sourcil qu’est ce qu’il essayait de me dire exactement, je le regarde et en même temps le contemple, il était plutôt pas mal, très beau même, Mariam avait totalement raison, bronzer, grand de taille, brun, son sourire était impeccable et ces yeux cacher par ces long sourcils étaient impressionnants, seul bémol son comportement, il était abject de pars c’est actes. Dommages il avait pourtant tout pour plaire. Moi: hein qu’est ce que tu disait Rayane: tu veux me rendre fou Moi: non pas du tout ce n’est pas mon but premier Rayane: alors quoi Moi: mais je te le demande à toi ça c’est toi qui me force à être ta femme Rayane: je ne t’ai pas forcer Moi: mais oui bien sûr non tu as juste poser un pistolet sur la tempe de ma mère et c’est tout Et d’un seule coup il ce rapproche de moi, je n’avais jamais été aussi proche d’un homme, jamais je n’avais parler à quelqu’un. Et là je me retrouve avec le plus beau de tous, avec un caractère de chien tremper mais en plus totalement dangereux pour l’humanité. Moi: recule la ont partage le même air et c’est toxique pour les poumons et du souffle il vas m’en falloir avec toi Il sourit, et me répète sa phrase que je n’avais toujours pas déchiffré Rayane: tu vas où habiller comme ça Moi: comment ça comme ça un jean et un tee shirt Rayane: ouais tu veux te faire belle pour qui Je ne répond même pas tellement sa question est bête, mais au même moment mon téléphone ce mis à sonner, il me l’arrache dès main et répond à ma place Rayan: eh c’est qui la Moi: mais sava pas Je hurle en tentant de lui retirer Moi: rend moi ça non mais ont t’as éduquer à la foire c’est pas possible Je lui arrache le téléphone des mains et il s’en vas. Moi: allô Mariam: ahhh enfin il est malade ton mari Moi: c’est pas mon mari Mariam: si maintenant un peu quand même Moi: ah oui c’est vrai Mariam: bon tu viens je t’attend Moi: ah je viens te chercher je sais pas si il va me laisser seule. Mariam: ok sa marche Elle raccroche et je prend mon sac pour sortir enfin de la maison, si je suis en retard à cause de lui arme ou pas ont ce bats jusqu’à la mort, bon je dis ça mais je ne ferais rien de dangereux ma rationalité est plus développée que mon sentiment de fierté. En réalité je sais pas reste à voir. Je regarde autour de moi mais je ne le vois pas, Rayan: c’est moi que tu cherche Moi: non en faite j’attendais le voisin d’en face ont vas en cours ensemble Il me regarde hausse un sourcil, Rayan: tu rigole j’espère ? Moi: moi ?! Alors là pas du tout Il s’approche encore une fois de moi mais cette fois si je ne pouvais reculer coller au mur, je me retrouve alors face à son allène mon dieu il ce brosse les dents avec du parfum c’est pas possible. Rayan: écoute moi bébé je crois que y’a certain mot que tu n’as pas compris, comme le fait est que je soit ton mari Moi: alors techniquement pas encore mais bon ont laisse le temps passer Rayan: arrête de parler tu me rend fou Moi: dit tu te brosse les dents avec quoi tu sent bon de ma bouche Il ce retire enfin de moi et vas appuyer sur l’ascenseur. Ont entrent dans un mot, mais en réalité je voulais lui demander quelque chose. Et pour cela je sais qu’il faut y allez avec de ma diplomatie. ( oui j’ai appris sa en cours d’économie) Moi: bébé Il regarde autour de lui et me regarde de nouveau avec un regard ahuri. Rayan: tu parle à qui a qui tu dit bébé Moi: à toi tu es vraiment bête à ce point Rayan: ah ouais bébé tu veux quoi Moi: décaler le mariage à deux mois, ça y est je suis là t’as parler à tout le monde c’est fait, mais s’il te plais laisse moi me préparer. Bien comme il faut. Je vais me marier une fois même si c’est faux autant que je m’éclate. J’avais toujours rêver être le personnage principale d’un mariage et maintenant que j’en avais l’occasion même si l’amour n’est pas à la fête je peu tout de même m’éclater. Je le regarde en attendant sa réponse, même si je doute que mon bébé n’ai fait de l’effet, il me regarde, je connais sa réponse, elle seras négative au vue de sa tête. Rayan: ok mais tu fait attention un faux pas et t’es marié le lendemain Moi: ah ouais mais tu m’aime toi en faite merci Je le remercie et l’ascenseur ouvre enfin c’est porte je sors la première et à la première heure les TDM sont place devant la cage d’escalier, je m’avance devant et Rayan me suis de derrière, je l’entend les saluer. Moi: bon elle est où la voiture Rayan: la voiture aujourd’hui c’est tes jambes Moi: HAINNNN TU RIGOLE. Mais pourquoi t’es venues. Rayan: voir Moi: oh lalala mais voir quoi Rayan: des choses Moi: vas y j’attend Mariam alors Rayan: avance Moi: non j’attend ma pote Rayan: eh dépêche toi de l’appeler la. Moi: ok ok Je l’appelle sont téléphone sonne mais elle ne répond pas, puis je reçois un message ou elle me dit qu’elle arrive. Et comme prévu je la vois arriver vers mon immeuble, elle regarde Rayan, très mal, puis me sourit à moi. Mariam: ahhhh ma coupine je vois qu’il y a un insecte qui te guette Rayan: attend attend tu parle à qui la Mariam: je ne vois que toi Rayan: vous vous êtes bien rencontrer Moi: et encore tu sait avec qu’elle folie tu t’es coller je comprend pas pourquoi t’es pas venue faire le romantique au moins sa aurais été comme mes films indiens Rayan: t’inquiète en deux moi tu seras in love Mariam: alors là c’est mal là connaître Il la regarde, puis me regarde et je m’en vais par la suite avec Mariam devant . Décidément il ne comptais pas me lâcher.
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