Samira

1072 Words
PDV Abraham Après le coup de file, j’ai pris mon bain et j’attends l’arrivée de Samira. Allongé sur le lit, je ferme les yeux et il n’y a qu’un seul visage qui me vient en tête à présent : Josephine. Je me demande ce qu’elle fait, comment se porte-t-elle et sa grossesse, j’espère qu’elle tient le coup. Mais je ne m’inquiètes pas trop puisque sa grande mère ferait tout pour qu’elle aille bien. Et j’avais aussi oublié que depuis mon arrivée je n’ai pas vu Sidick encore. Comme je le disais tant tôt, nous ne sommes pas très proches, mais assez normalement pour que je l’informe de mon arrivée. Je vais devoir lui laisser un petit message pour m’excuser et lui demander si il pourra se ramener pour le dîner de ce soir. >. Quelques minutes après je reçois une notification: >. Je lui renvois ma réponse: >. Je dépose mon cellulaire sur la table au chevet de mon lit. -Grand frère? Demande mon frère en toquant à ma porte. -Tu veux quoi ? -Il y a Sami- La porte s’ouvre d’un coup dans un petit fracas, mon frère est propulsé légèrement sur le côté par une autre personne: Samira. Je m’en doutais, elle incarne une telle arrogance cette fille. -Mon chooouuuuu!! Crie-t-elle en s’approchant de moi. Ton petit frère fait l’ignorant me concernant, il ne me reconnaît plus du tout. C’est très moche de sa part. Dit-elle en toisant mon frère. -Mohamed, c’est bon, tu peux y aller. Fais-je à l’égard de mon frère accompagné d’un geste de la main. Il s’en va et referme après lui. Samira se jette instantanément sur moi et commence à m’embrasser à pleine bouche. Je joue le jeu, un mois en arrière, j’en aurais eu envie, ma verge tendu, j’aurais déjà baissé sa petite culotte. Mais maintenant c’est différent, je suis moins emballé par l’idée. Parce que celle avec qui j’ai envi de le faire de façon amoureuse, c’est Josephine. Elle retire mon short et commence à s***r ma bite comme elle sait le faire. Je rejette directement la tête en arrière pour savourer ce moment. J’étais sur le point de déverser ma semence dans son gosier mais je l’ai arrêté dans son mouvement en la prenant par les cheveux, rien de bien méchant. Je l’embrasse délibérément cette fois, elle avait mis juste une petite robe, ce qui lui permet de très vite retirer sa culotte. Je m’empare très rapidement du préservatif, dans le petit placard au chevet du lit, que je place rapidement. Ensuite, je la retourne, son dos contre mon torse puis j’enfonce deux trois doigts dans son vagin, avant de la pénétrer avec un coup de rein v*****t. Elle gémis de plus belle parce que je sais qu’elle aime ça. J’enchaîne les coups de reins, plus forts l’un après l’autre sans m’arrêter, jusqu’à ce qu’elle soit sur le point d’atteindre son pick. J’arrête tout mouvement sans me retirer. Je masse sa petite boule, je fais de petits cercles et dans la pièce, règnent les gémissements étouffés de Samira. Je reprends lentement les vas et viens en elle, j’accélère la cadence jusqu’à ne plus contrôler ma semence qui coule à présent en elle. * * * Il sera bientôt l’heure pour le dîner, nous nous étions entendu sur 20 heures 30 minutes et il ne reste plus que 45 minutes. Samira s’en est allée et j’ai pu me reposer. Je me lève en sursaut, je prends mon bain et je m’habille simplement. J’hésite entre lancer un coup de file à Moussa ou attendre quand je serai en route, je crois que c’est bien mieux. La route peut être une source d’inspiration en ce qui concerne le lieu où nous devons nous retrouver. C’est drôle, n’est-ce pas? Nous n’avons encore aucune idée de l’endroit et il sonne déjà 20 heures. Chez Moussa après le départ d’Abraham.. Mon frère vient de s’en aller alors je cours rejoindre ma femme à l’intérieur. Depuis qu’elle est en état, je n’ose plus la laisser toute seule et elle non plus ne veut être loin de moi. Je l’observe en train de plier mes affaires et de les ranger dans l’armoire. Je me souviens de la façon dont on s’était rencontré, c’était tellement banal et aujourd’hui grâce à elle, je suis l’homme que je suis. Après Nadia, je n’aurais jamais cru aimé autant mais c’est arrivé, avec une meilleure personne. Elle me comble de joie et de paix. Grâce à elle, je me suis retrouvé mentalement et financièrement. Nadia est partie parce que j’étais pauvre mais aujourd’hui que dirait-elle si elle me voyait? Elle sera sans voix devant l’homme que je suis devenue aujourd’hui. -Moussa?!! Tu m’as fais peur!! Je ne t’ai pas entendu arriver. Fait-elle la main sur le cœur. -Désolé mon cœur, lui répondis-je avec une voix tellement mielleuse, et en me rapprochant plus près d’elle. Je pose mes deux bras sur ses hanches fines puis je dépose des milliers de baisers sur son cou, son visage, partout. Elle se retourne et souris face à mes baisers. C’est ma moitié, alors elle comprend, elle sait déjà que j’ai envi d’elle. Je l’embrasse langoureusement, nous échangeons de tendres baisers. Je lui retire sa robe de maison, je défais les bretelles de son soutien gorge, que je lui retire par la suite. Je m’arrête un instant pour contempler ses seins qui ont grossis un peu plus, à cause de la grossesse je pense. Je regarde son visage et je sais qu’elle n’a qu’une seule envie, c’est que je la dévore. Je caresse sa poitrine, je s**e ses tétons. La pièce est inondée par ses gémissements à peine audible, ouais ma femme est un peu timide. Après que nous soyons tous les deux nus, je la soulève puis la pose sur le lit, elle me regarde avec impatience. Pas besoin de se préserver, bébé déjà là, l’idée me fait marrer. Je me mets au dessus d’elle entre ses jambes, je frotte ma verge contre son sexe humide et chaud et progressivement je glisse en elle. Je fais des vas et viens très lents, et ses gémissements m’excitent davantage. J’accélère petit à petit la cadence sans lui faire mal.
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