Chapitre 2

2438 Words
***********Santiago******** J'ouvre mes yeux difficilement à cause de la lumière du jour. J’essaie de me repérer dans mon environnements Une chambre de fille ? Je me redresse et je tombe nez à nez avec cette petite gamine qui ne faisait que me regarder depuis qu’elle a posé son regard sur moi. Cette petite qui ne se doute pas de quel genre de personne je peux être. Cette fillette qui me regardait comme si elle voulait que je la chevauche durement. J’ai pensé à la b(a)iser, non j'ai fait un rêve dans laquelle je la b(a)isais. J’ai rêvé que je l'ai baisé pour essayer de la calmer de la tragédie qu’elle verra. Bordel il fait jour ? Je me lève du lit et comme un électrochoc, je m’écarte du lit et je finis par tomber au sol. Bordel je suis nu ! Je me redresse et je la regarde attentivement Elle est nu et je suis nu ! Merde qu'est ce qui s'est passé ? Je serre ma mâchoire Non je n’ai pas pu coucher avec elle, c'est impossible ! Mais comment me suis-je retrouvé nu ? Là est la question Je grogne en cherchant mes vêtements et des images me viennent en tête. Mon rêve, le rêve érotique à peine croyables que j’ai fait. Un rêve qui ne peut jamais arriver dans la réalité, et qui ne pouvait pas exister dans mes rêves jusqu’à ce que je vienne dans cette maison. J’enfile mon boxer pendant qu'elle se prélasse dans le lit La couverture s’enroule sur elle et mon cœur fait un bond dans ma poitrine quand je vois la tâche de sang sur le drap du lit. Je regarde mon matos et je commence à paniquer Et si ce n’était pas un rêve ? Et si en voulant l’épargner de cette souffrance que j’ai vécu en perdant mes parents, j’ai fait quelque chose d’impossible que je pouvais réellement réaliser ? Merde j’ai couché avec une fille autre que….. Merde j’ai vraiment couché avec une fille Non c’est impossible, la seule chose qui me fait jouir lorsque je veux du plaisir, c'est bien sûr lorsque je prends ce plaisir. Et j’ai une manière de prendre mon plaisir Ce n'est pas de cette manière ! Et je ne touche pas les fillettes bordel ! Merde ! Fait chier ! Et si les choses changeaient ? Et si pour une fois j’aimais être ailleurs qu’auprès de Véronica ? Et si pour une fois je pouvais faire l'amour à une autre sans barrière et sans me sentir fade ? Sans que mon envie baisse parce que ce n'est pas Véronica. Et si les choses avaient vraiment changé ? Et que j’étais un homme changer ? Un homme qui peut être normal Non, j’aime ce que je suis Me voir faire autre chose que ce que je suis est dégoûtant, sans envie, ni excitation. Les deux choses qui me font jouir, c'est mes moments avec Véronica et mes moments secrets où je me défoule. Cette fillette ne peut pas me mettre en érection sans ces deux choses. Non je n’ai pas pu coucher avec elle ! Mais p(u)tain les images sont là, ce n'est pas du mensonge J’ai vraiment b(a)isé cette fille, j'ai gémi, je l’ai embrassé, fessée, caressé et j’ai aimé ! Mais ce n'est pas possible pour moi de faire tout ça J’enfile rapidement mes vêtements Comment j’ai pu b(a)nder alors qu’elle me touchait ? Comment j'ai pu la laisser me toucher ? C'est complètement irréaliste Voir dans la limite de l’impossible, mais c'est arrivé Bordel de merde Je termine de m’habiller et j’ai le cœur qui bat à toute vitesse Comment ai-je pu changer ? Non je ne peux pas changer ! Je suis ce que j’ai toujours été et j'aime ça Je me rapproche d’elle et je me penche vers elle pour essayer de la toucher. J’avoue que c’est un beau spécimen. Et si j’ai b(a)ndé à cause du fait que je l’avais déjà classifié ? Hier lorsqu’elle est entrée dans le bureau de son père, j’ai vachement aimé sa soumission. Elle a demandé la permission avant d’entrer lorsque j'ai entendu cela, ça m'a interpellé. Lorsque je l’ai vu, je l'ai tout de suite vu dans cette chambre coucher sur le lit pendant qu’elle se soumettait à moi. Ça doit être un facteur Oui, car ça m’a excité le fait qu’elle lui soit autant obéissante. Pendant que je suis proche d'elle, elle finit par se réveiller et elle me sourit. Je m’écarte rapidement d'elle. Non je n'aime décidément pas qu'on me touche sans mon accord. Soraya : Salut Santi Elle me sourit gracieusement Elle est vachement belle cette fille, elle me plaît bien, j’aimerais la voir dans un lit se soumettant à moi, ce sera encore plus excitant et elle sera encore plus belle à mes yeux. Elle se redresse nu et elle me regarde Soraya : Il fait déjà jour ? Je regarde ses seins qui pointent vers l’horizon. Je me mords la lèvre car j’ai envie de les électrocuter. P(u)tain, non merde, elle ne pourra pas supporter ce que tu risques de lui faire. Même si ça me fait b(a)nder à l’idée de la faire crier toutes les sonorités qui peuvent sortir de sa bouche. Comment j’ai pu la b(a)iser, là est la question Santiago : Comment ? Soraya : Quoi comment Je soupire bruyamment et je me baisse en face d'elle pendant qu’elle s’assoit sur le lit Soraya : Je suis épuisée, mais j’ai passé un super moment avec toi, tu me promets de revenir bientôt ou sinon ça te dirait de prolonger ton séjour ? Elle essaie de me prendre le visage mais je saisis fermement son poignet Santiago : Je donne d’abord un ordre Soraya : Tu ne vas pas recommencer de si beau matin Santiago : Je suis vraiment sérieux Santiago : Maintenant dit moi comment tu as réussi l’impossible ? Soraya : De quoi tu parles ? Santiago : Je t'ai b(a)isé Soraya : En effet et c’était vachement bien Santiago : Tu ne comprends absolument rien p(u)tain Je pose ma main sur son sein et je le caresse Mais cela ne me fait aucun effet Je le gifle et je sens une petite excitation monter Soraya : Ohh mais ça fait mal ! Je soupire bruyamment mais je suis soulagé Santiago : Je suis soulagé, c’était juste une erreur, ça a dû être dû à l’émotion Je me relève soulagé et je la regarde Santiago : Adieu et je ne pense pas revenir ici Soraya : Hinn quoi ? Mais quoi ? Je commence à m’éloigner et elle cri derrière moi Soraya : DIS MOI QUE TU PLAISANTES SANTI ! Santiago : JE M’APPELLE SANTIAGO, BORDEL ARRÊTE DE M’APPELER SANTI ! Elle commence à pleurer Soraya : Dis moi que tu plaisantes, je t'en supplie ! Je me retourne et je sors de sa chambre en claquant la porte vi(o)lemment derrière moi. P(u)tain de bordel, qu'est ce que j’ai fait pour avoir franchi la limite ? C’est comme si tu n’aimais pas les betteraves et tu te mets à en manger. Ou mieux, tu es allergique au cacahuète et tu te permets d'en manger. Je grogne et je descends des escaliers Je suis attirée par cette fille mais pas pour ce qu’elle veut, mais pour ce que je veux moi. Je ne dirais pas non pour la mettre dans mon panier car depuis la première fois, je la convoitais et je réfléchissais à tout ce que je pourrais lui faire. Mais maintenant après ce qui s'est passé entre nous, il vaut mieux que je m’éloigne d’elle. Ou, sinon il risque d'y avoir un gros bordel Je veux l’épargner de ce que je suis Pourquoi je veux l’épargner, je n'en sais vraiment pas grand-chose. Ou peut-être c'est à cause de ce qu’elle va vivre maintenant que son oncle a pris le pouvoir. Véronica : Santiago où étais tu passé cette nuit ? Elle grogne et elle me montre mon téléphone Véronica : À cause de toi, j’ai dû passer cette nuit dans cette maison ! Je soupire bruyamment et je me dirige vers elle pour prendre mon téléphone Hugo : Ohh Santiago tu es là ? Je regarde Hugo qui joue avec la tête de son frère comme un ballon de football Hugo : Véronica m'a dit que tu organisais des matchs de tête, ça te dirait un match de tête ou alors préfères la tête de ma belle-sœur ? Il me fait une passe et la tête atterri sous mes pieds Je pose mon pied gauche sur la tête de Dante et je regarde Hugo Santiago : Tu as maintenant son Cartel alors arrête de t'amuser avec sa tête, c'est tout de même ton frère. Hugo : Véronica qu'est ce qui lui arrive pour qu'il soit aussi sentimental ? Véronica : Tu veux qu'il te touche voir s’il est sensible ? Hugo fait un pas en arrière en croisant mon regard Hugo : Désolé Santiago, je ne voulais pas t’offenser Soraya : Santi, tu ne vas pas te foutre ainsi de moi ainsi, viens me le redire en face en qu'on discute, je ne vais pas te laisser m’humilier ainsi sa…….. Nos regards se croisent et elle descend les escaliers Hugo : Elle était dans la maison ? Je pensais qu’elle avait fui hier à cause du m******e, mes hommes sont à sa recherche et on n'a même pas pensé à fouiller la maison. Ce Hugo ne fera pas long feu en tant que chef, il est trop stupide, mais sa jalousie maladive pour son frère l'a amené à le tuer. Il sort son arme et il interpelle Soraya qui panique sans rien comprendre, elle nous regarde et ses yeux atterrissent sur la tête de son père. Elle recule et elle cri d’effroi Son oncle la saisit avant de pointer une arme sur sa tempe. Elle me regarde avec les yeux remplis de larmes Soraya : Alors tu m’as éloigné pour qu'on tue mon père ? Santiago : Même si tu étais présente, tu n’aurais rien pu faire à part te faire tuer. Santiago : Mais si tu veux savoir celui qui a tué ton père et retourner le Cartel contre ton père c'est ton oncle Hugo. Soraya : Et vous étiez ses complices ? Véronica : Tue-la et qu'on en parle plus ! Hugo lui lèche le visage Hugo : J’aimerais bien la b(a)iser avant comme je l'ai fais à sa mère devant mon frère qui agonisait. Soraya crie et se débat Santiago : Véronica, on y va, laissons les régler leur histoire de famille. Je tourne les talons et je l’entends crier Soraya : Je te faisais confiance, tu n'es qu'une ordure ! Oui je suis une ordure, et ce n'est pas le premier compliment que je reçois Je continue à m’éloigner Soraya : Je préfère mille fois mourir que de te laisser me toucher sale enfoiré Hugo : P(u)tain la petite p**e ! Je me retourne et je la vois courir Hugo pointe son arme et il tire en l’air Hugo : La prochaine balle te sera destinée, alors approche Elle s’arrête et elle le regarde, ensuite elle crache sur le sol Soraya : Mieux vaut mourir que de t’obéir ! Il pointe son arme dans sa direction mais je la tire vers moi Santiago : Ça suffit, je la garderai avec moi Hugo : Quoi ? Santiago : Elle me sera utile plus qu’à toi, j’ai besoin d'une soumise et je pense pouvoir m’amuser avec elle pour mon plaisir, ce sera du gâchis de la regarder mourir sans jouir. Santiago : Donne moi ton prix et je te ferais un virement Hugo : J’ai tué ses parents je te rappelle ! Santiago : Demande à Véronica, mes soumises ne sortent pas et même si elle le fait, elle ne va pas t’importuner. Hugo : P(u)tain ne te mêle pas de ça Santiago : Je n’ai pas voulu me mêler de ça, mais je le suis maintenant, alors donne moi ton prix et je l’achète. Santiago : Combien elle te coûte ? Hugo : Ok, d’accord, je la vends pour 40 millions Véronica : Quoi ? QUARANTE MILLIONS ? Hugo : À prendre ou à laisser Dit-il avec un sourire machiavélique Il pense que je vais désister, mais il se trompe Santiago : Ok marché conclu ! Véronica : Mais Santiago, tu peux avoir plusieurs soumise avec 40 millions ! Santiago : Tu recevras le virement ce soir à 19h Je commence à m’éloigner et je la tire avec moi Nous entrons dans la voiture, je prends le volant pendant que Véronica me lance un regard noir en prenant place près de moi Je sais qu’elle ne va pas discuter avec moi ici devant Soraya. Soraya quant à elle ne fait que pleurer. Lorsque nous arrivons à l’hôtel, l'un de mes gardes range nos valises dans le coffre et je prends la direction de l’aéroport. Lorsque nous arrivons, je regarde dans le rétroviseur Santiago : Nous sommes arrivés tu dois descendre Soraya Elle se lève et elle sort de la voiture Je descends et elle me regarde Soraya : Tu as été complice de la mort de mes parents, mais tu m'as épargné alors merci Santi Elle tourne les talons et je me précipite pour la rattraper Santiago : Où pense tu aller ? L'avion c'est de ce côté Elle ouvre les yeux en grand comme si elle avait avalé une noix de coco. Santiago : 40 millions, que penses tu Soraya ? Que je vais te laisser partir ? Elle me regarde avec les yeux grands Soraya : Quand tu parlais de soumise c’est…… Santiago : Je suis de ces hommes qui jouissent en mutilant des corps, en faisant crier de douleur, je suis de ces hommes qui jouent avec le corps des femmes. Santiago : Je suis de ce type d’homme qui fouette, et demande à ce qu'on lui soit soumis Elle recule instinctivement Soraya : Non je….. Santiago : Plus de retour en arrière, à présent, tu es ma soumise, alors ne commence pas déjà à me faire chier Soraya : Non je…tu…. Santiago : Arrête de réfléchir, p(u)tain, avale juste ce que je te donne Soraya : Je t'en supplie laisse-moi partir, je vais te rembourser si tu veux mais par pitié, si tu as une once de compassion relâche moi. Santiago : Je n’ai de compassion pour personne, tu ne me connais pas vraiment, mais tu vas très vite découvrir qui se cache derrière cet homme que tu vois en face de toi.
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