DÉLIVRE MOI DE MES VICES

Attention, cette histoire est faite pour un public averti. Cette histoire est réservée à partir de 18 ans Elle contient des scènes de violence corporelle et psychologique. Des scènes de violence sexuelle explicitent, des scènes sexuelles explicites ainsi que de la torture. Maintenant que vous êtes averti Bonne lecture, votre auteur Loulou ***************** Mexique Dans la ville d'Acapulco ** ** Clinnnnggggg Je grogne en levant ma main, d'un coup de maître, je balance mon réveil d'un revers de la main, j’entends celui-ci se fracasser contre le mur. Mais la chance n'est visiblement pas de mon côté, ce p⋆tain de réveil sonne toujours. Je grogne avant de me redresser du lit en me frottant les yeux. J’aurais dû enlever ce fichu réveil pour mieux profiter de cette journée. Mais maintenant que je suis sur pied, je dois me bouger le cul. Je me présente Moi, c'est Soraya, 19 ans et célibataire Bon enfin, j'ai intérêt à l’être, car mon père ne s’empêchera pas de tuer les mecs qui rôdent autour de moi. Bon enfin, il en a déjà tué un. Mon béguin du lycée, j’étais en seconde et j’avais convaincu papa de me mettre dans une école comme un enfant normal Mais au final, j'ai voulu être trop normal et j’ai fini par être surprise dans ma chambre avec lui, nous étions prêts à nous envoyer en l'air lorsque mon père est apparu comme par magie au bon moment où mon béguin allait enfoncer sa belle queue rose dans ma fleur de lys. Haaa, il était vraiment mignon, mais il a été tué et depuis, je n’ai plus eu droit à continuer le lycée. Je fais les cours à domicile et j’ai même obtenu mon bac. Mon père est très protecteur et ça ne m’étonne pas, vu le travail qu'il fait. Et oui, mon père est un chef de gang, un petit gang, mais nous ne sommes pas si faibles. Je descends de mon lit et je donne un coup de pied à mon alarme pour qu'il arrête de sonner, mais en vain. Je grogne et je me dirige dans ma salle de bain. Je ne sais vraiment pas ce que je ferais de ma journée, mais je suis déjà prête pour l’entamer Après ma douche, j'enfile un jeans serré à pâte d’éléphant et un crop top blanc. J’attache mes cheveux en queue de cheval et je mets une fleur artificielle sur le sommet de ma queue de cheval, ensuite, je me précipite dehors et je me dirige vers le bureau de mon père. J’ouvre la porte, il lève son regard vers moi et il me sourit gentiment Il est avec des personnes à l’intérieur, je me sens immédiatement gêné de l'avoir interrompu Soraya : J’attends juste ton ordre Lorsque je prononce ce mot, je sens un regard des plus étranges en ma direction Mon regard se tourne vers le regard, et je vois un homme avec une carrure imposante, il est plus grand que les 1,75 mètre de mon père. Je dirais qu’il fait 1 mètre 93 Ce bel étalon a les cheveux d'un noir profond, ses yeux d'un bleu glacials et purs, je n’avais jamais vu des yeux aussi bleus et brillants que les siens. Ses lèvres sont fines et minces, mais d'une couleur dérivant vers le rose et le rouge. Il a une barbe de trois jours qui le rend très mystérieux, mais aussi très craquant. Nos regards plongent l'un dans l’autre À cet instant, la chair de poule me parcourt l’échine. Je frissonne sans même m'en rendre compte Je me ressaisis et je souris dans sa direction, par contre, il ne me sourit pas, son regard est dur, mauvais et il respire le danger. Dante : Soraya ici la terre ! Je sursaute, car prise de surprise par les mots de mon père qui me ramène à la réalité. Je regarde mon père qui me fixe durement. Dante : Quelles sont ses manières de regarder mes invités, jeune fille ? Je baisse la tête, mais je ne contrôle pas mes mouvements, mon regard atterrit de nouveau sur cet homme mystérieux. J’entends un coup v*****t qui me fait encore sursauter Dante : Mais p(u)tain, tu m’écoutes ? Soraya : Oui papa bien évidemment Il continue de me fixer et il me fait signe d’approcher ce que je fais bien évidemment Lorsque je me dirige vers mon père, je sens le même regard sur moi, je fais pression sur moi pour ne pas le regarder. Ensuite, je m’installe sur les jambes de mon père avant de le prendre dans un câlin. Il me répond avant de poser un b****r sur mon front. Dante : Véronica, Santiago, je vous présente ma fille Soraya Je regarde autour de moi, car il y a une dizaine de personnes dans la salle Dante : Elle est un peu trop curieuse Santiago : Ça peut se comprendre pour les gamines de son âge Hinn gamine ? Je regarde celui qui vient de le dire et ce n'est rien d’autre que cet homme sexy Véronica : Elle est très belle, une très belle brune avec des yeux vert émeraude, tu as une beauté Dante Dante : C'est ma plus belle réussite Je rougis de gêne et je vois gueule d’ange alias Santiago faire un sourire forcé lorsque cette Véronica lui sourit Ça doit être sa mère, car il y a une énorme différence d’âge entre eux Dante : Oh vous autre, je suis désolé, je vous présente ma fille pour ceux qui ne la connaissent pas Soraya : Bonjour monsieur, dame Ils me répondent en souriant Hugo : Sorya ma puce, tu devrais aller voir en cuisine où les servantes en sont avec le déjeuner et les aider avec ta mère Je souris au frère de mon père, oncle Hugo a fait son apparition il y a un an dans la vie de mon père Nous ne le connaissons pas avant jusqu’à l’année dernière où mon père nous l'a présenté Ce sont des demi-frères de même père mais de mère différente Oncle Hugo est l’aîné de mon père, il est très gentil avec moi et on s’amuse beaucoup lui et moi Il a très vite pris mon affection dans cette maison pendant son intégration Je me redresse, je salue tout le monde et je pars en cuisine Je salue ma mère avant de l’aider en cuisine Mais pour, je ne sais quelle raison, mes pensées dérivent vers cet homme. Je n’ai jamais vu un homme aussi beau avec des yeux aussi magnifique qu'ensorcelant. Quelques heures plus tard, tout est prêt Ma mère nettoie mon visage avec son tablier en me souriant Maria : Va prendre une douche, tu as 10 minutes pour t’apprêter, car on sera à table Je hoche la tête et je me précipite vers ma chambre Mon téléphone sonne à l’annonce d'un message C'est Sophia, ma meilleure amie. Je suppose qu’elle se demande pourquoi je ne suis pas encore connecté pour discuter avec elle Je regarde mon téléphone en me mordant la lèvre Soraya : Désolée Sophia, notre discussion va attendre, je dois déjeuner avec un beau mec. Dis je en me précipitant pour enlever mes vêtements et aller prendre une douche rapide Dis-je en me précipitant pour enlever mes vêtements et aller prendre une douche rapide Lorsque je finis, j’enfile une mini-jupe volante en cuir noir, et un crop top blanc encore plus court avant de me parfumer et descendre Je ne sais pas pourquoi mon cœur bat autant, alors qu'avec papa dans les parages, cet homme ne peut même pas tenter quelque chose, ni moi d’ailleurs. Lorsque j'entre, je vois qu’ils ont déjà commencé Mon père me fusille du regard, je suppose que ma jupe n'est pas à son goût Cependant, je rougis lorsque je vois Santiago fixer mon nombril attentivement et descendre son regard jusqu’à mes cuisses Je me précipite pour m’asseoir quand mon père se racle la gorge Dante : Tu fais du n’importe quoi aujourd’hui, quelle abeille t'a piqué pour descendre avec ça ? Je fais la moue pendant que ma mère essaie de calmer mon père qui a l'ai vraiment furieux Je me sers à manger et je commence à manger Mon regard dérive de mon père à Santiago, je dois garder un œil sur mon père ou s’il me surprend à regarder Santiago, il va me virer de table Nos regards finissent par se croiser, cependant il me fixe sévèrement et je baisse la tête honteuse avant de me concentrer sur mon plat Après le déjeuner où Santiago a commencé à éviter mon regard, j’ai décidé de m’enfermer dans ma chambre Bon enfin, il était déjà partie après le déjeuner Ce soir, il y a une fête à la maison, peut-être que je vais le revoir ? P(u)tain, j'espère qu'il viendra ✦✦✦✦✦✦✦✦✦✦✦✦✦ Le soir J’enfile mon masque de bal rouge Je mets mon rouge à lèvres avant de sourire à mon miroir Ma robe rouge en forme de sirène me va à ravir Ma mère n’avait pas menti Et le dos de la robe est époustouflant, mais mon père peut être furieux, car j’ai le dos complètement ouvert jusqu’à la hanche, des colliers de perles font office de rideau mais elles ne sont pas assez longues, elles couvrent juste le haut de mon dos. Je finis par descendre, je me précipite vers mon père qui m’embrasse les joues avant de me coller contre lui Dante : Je suis désolé pour Sophia Je soupire bruyamment Soraya : Ce n’est pas grave même si elle a eu un empêchement, je vais m’amuser Dante : Je ne veux pas te voir avec un garçon de toute la soirée, est-ce que c'est assez clair pour toi ? Je soupire bruyamment et je prends un verre de champagne avant de m’éloigner de lui Sophia n'est pas là, je suis interdite d’approcher les mecs P(u)tain, j'ai 19 ans, j’ai l’impression d’être une bonne sœur dans un couvant Je bois mon verre cul sec et je prends un autre verre avant de me diriger dans le jardin prendre de l’air Lorsque j’arrive, j'entends une dispute un peu violente Santiago : Non Veronica, ne t’immisce pas dans cette combine, je ne veux pas être mêlé alors ne t'en mêle pas Véronica : C'est une bonne occasion que tu le veuilles ou non Santiago et arrête un peu Santiago : Nous avons gâché des vies, ne gâchons pas celle-là, et il n'y a aucune raison pour nous de le faire Véronica : Oh que si nous aurons des parts importantes et la main mise sur le trésor, alors ressaisi toi, tu es le diable rouge, je te rappelle, tu n'as pas peur de faire couler le sang Elle s’éloigne et je me cache derrière le mur pour qu'elle ne me repère pas Lorsqu’elle part je me dirige tout doucement vers lui Je me mets debout près de lui pendant qu'il a les coudes adossés sur la balustrade en buvant une bouteille d'un whisky très fort Il engloutit le nectar comme s'il buvait du jus d’orange bien frais Soraya : L’abus de l’alcool est dangereux pour la santé Il m’ignore et il continue de boire Soraya : Lorsqu’on est énervé, il vaut mieux réfléchir et essayer de se calmer que de noyer la cause de la colère dans de l’alcool qui ne nous apportera rien de bon Santiago : Disparaît gamine ! Soraya : Je ne suis pas une gamine, j’ai 19 ans Il glousse et il me regarde enfin Santiago : 19 ans, c'est un âge pour être qualifié de gamine Soraya : Je crois que la gamine est plus mature que toi, car elle ne se noie pas dans l’alcool Santiago : Surveille ton langage ou tu risques de le regretter, j’ai les nerfs à vif ce soir Soraya : Quoi ? Tu es en érection ? Il se redresse et il me regarde en fronçant ses sourcils Je regarde son entrejambe qui n'a pas l'air d'être en érection, il lève mon menton pour que je regarde Santiago : Quel est ton problème ? Il relâche mon menton avant de s'adosser à nouveau sur la balustrade Son toucher était comme une caresse sur ma peau. Malgré qu'il ne me touche plus, je peux toujours sentir ses doigts sur ma peau Santiago : Tu devrais aller te coucher, ça vaut mieux pour toi Soraya : Es-tu un mafieux comme mon père ? Santiago : Ton père est une pacotille devant moi Je fronce mes sourcils. Mais quel imbécile de traiter mon père de pacotille Santiago : Je détiens le Mexique, la plus grande production de drogue vient de mon cartel J’ouvre mes yeux et ma bouche en grand C'est vraiment sérieux ? Il soupire bruyamment Santiago : Je ne veux pas être ici mais Véronica est trop têtu Je le regarde qui boit encore dans sa bouteille qui se vide, il la pose et je remarque qu'il y a une grosse bouteille qu’il avait déjà vidée P(u)tain c'est un fou ce mec Et il tient toujours debout Il prend une autre, c'est la dernière et il l’ouvre Soraya : Tu ne crois pas que tu en as bu assez Je me précipite pour saisir sa main mais il l'arrache Santiago : Personne ne me touche si je ne donne pas l’ordre de le faire Je me mords la lèvre en le regardant Santiago : Et ne fais pas ce truc devant moi gamine Soraya : Je ne suis pas une gamine Santiago : Si tu l'es ! Je soupire bruyamment en baissant la tête Santiago : Qu’est-ce qui ne va pas ? Soraya : C'est fou de le dire mais je crois que je suis attirée par…. Soraya : Non laisse tomber Santiago : Non continue Soraya : Tu peux me rendre un service Santiago : Dis toujours Soraya : Je peux te toucher ? Il fronce ses sourcils mais je vois un grand désir dans son regard Santiago : Supplie-moi Soraya : Je t'en supplie Santi est ce que je peux te toucher s'il te plaît Il me regarde avec perplexité Ensuite, il ricane Santiago : Non, personne ne me touche, c'est moi qui touche Je soupire bruyamment Soraya : Je pensais que tu étais intéressant, j'aurais tout de même essayé, au final, tu ne sauras pas ce que je voulais faire, c'est toi le perdant Santiago : C'est toi la perdante Soraya : Alors c’est que tu dois deviner ce que je voulais faire monsieur le gagnant Santiago : Arrête avec ce sourire suffisant, ça m’agace Il me saisit la joue et il me fixe droit dans les yeux Santiago : Dis-moi ce que tu voulais, je l'exige Soraya : Alors, tu devras me supplier Il ricane et il s’approche de moi Santiago : Dis-le-moi tout de suite Je continue de le regarder attentivement, il grogne et là, il pince le bout de mon sein Soraya : Aïe Santiago : Parle ou je vais te faire regretter Il me pince l’autre bout du sein mais je me détache de lui et je me précipite loin de lui, mais il me saisit le poignet et il me tire contre lui Sa main presse mes fesses et il grogne Santiago : Dis-le-moi Soraya : Ok, je voulais t’embrasser et goûter tes lèvres pour savoir le goût qu'elles ont avant que tu ne disparaisses Santiago : Je n’embrasse pas les gamines ni même les femmes, bon enfin, il y a une exception Soraya : Laquelle ? Santiago : Ce n'est pas toi l’exception et tu devrais calmer tes ardeurs Soraya : Et si j’ai envie de me brûler Santi ? Santiago : Je m’appelle Santiago et tu vas te brûler, je ne suis pas une personne qu'il faut se frotter malheureusement ou tu risques de le regretter Soraya : Regretter de goûter tes lèvres, je ne pense pas Je glisse ma main sur son cou et il me saisit le poignet avant de se pencher plus près de moi et me lancer un regard noir Santiago : Véronica a réussi à me calmer, je suis dans un bon jour très spécial qui arrive rarement alors n’abuse pas trop, quand je dis personne ne me touche, c'est que personne ne le fait Il me prend par le coude et il me regarde Santiago : Montre-moi ta chambre Soraya : Quoi ? Santiago : Je veux faire pipi Je m’éloigne de lui et je me dirige à l’intérieur, il me suit sans dire un mot Je ne sais pas pourquoi, au lieu de lui montrer une autre toilette, je le conduis dans ma chambre Lorsque nous arrivons, je lui montre les toilettes Mais curieusement, je me permets de le regarder pendant qu'il déballe son pantalon Il fait sortir son engin pour uriner et il me regarde en soupirant Santiago : Tu connais ce qu'on appelle l’intimité Soraya : Quelle sensation ça a le sexe ? Il me regarde attentivement Santiago : Je ne pense pas que mes expériences peuvent t’aider Je soupire bruyamment et je me dirige dans ma chambre et je me couche sur le lit en regardant le plafond Il finit par entrer et il se couche près de moi Il pue l’alcool Il soupire bruyamment Santiago : À ton âge, je connaissais déjà le sexe Je le regarde attentivement pendant qu'il a les yeux rivés au plafond Soraya : Tu as connu le sexe à quel âge ? Santiago : Très jeune, beaucoup jeune Soraya : Comment ça a été ta première fois ? Santiago : Comment a été la tienne ? Je glousse et il soupire bruyamment Santiago : Ne dis rien, tu es vierge, c’est l’alcool qui me fait dire des bêtises, pourtant les choses sont évidentes Santiago : Tu as envie de sexe ? Soraya : Tu veux m'en donner ? Il ricane mais il s’arrête et il finit par me regarder Je tourne mon regard vers lui et je m’approche de lui Soraya : Je ne sais pas pourquoi mais lorsque je te vois mes sens s’éveille, peut-être parce que tu es un bel homme Je me rapproche encore plus près et je le regarde Dans la seconde d’après son regard s’adoucit et il grimpe sur moi Il glisse sa main sous ma robe et il enlève ma culotte Je le regarde surprise, il commence à jouer avec ma v(u)lve Santiago : Tu as déjà goûté à cette sensation Je secoue la tête et là, il accélère ses frottements Je commence à gémir en m’agrippant à son bras Il se met à genoux, il déballe sa ceinture et son membre se loge dans ma fente Il glisse son g***d le long de ma fente Soraya : Oh oui continue À ma grande surprise, il me pénètre sans crier gare Je crie, car j’ai l’impression qu'on m’arrache les entrailles Je me cambre mais il pousse encore plus fort en moi Je crie de douleur et il grogne de plaisir Soraya : Ça me fait mal Santiago, vas-y doucement Il me donne un coup de rein puissant et l’air se coupe dans ma poitrine J’ai l’impression de vivre une torture Mais après cela, tout s’apaise et il prend un rythme lent Je gémis de plaisir pendant qu'il bouge en moi Il grogne de bonheur et à ma grande surprise, il m’embrasse Je réponds à son b(a)iser, nous nous enroulons sur mon lit et je finis par être au-dessus Il passe sa main derrière et il commence à dézipper ma robe Santiago : Chevauche-moi Il retire ma robe et je bouge tant bien que mal Je reçois me petite gifle sur mon sein Santiago : CHEVAUCHE-MOI Soraya : C'est ce que je fais Santiago : Plus vite ! Je bouge mais il m’arrête Il maintient mes hanches avant de me redresser, ensuite, il me pousse délicatement à m’asseoir ce qui fait entrer sa virilité en moi, il continue le processus avant de me donner une fessée derrière les fesses Santiago : Suis le rythme mais plus vite Je hoche la tête et je recommence P(u)tain, p(u)tain Je crie de plaisir pendant qu'il serre son emprise sur les draps Il grogne Santiago : Vas-y plus vite Je continue et là, je me contracte en criant comme une folle et je m’écroule sur lui Il pose des b(a)isers dans mon cou durant de longues minutes avant de remonter et prendre le relais Il devient plus doux qu’avant Et là, je sens un liquide chaud jaillit en moi Il se couche sur le lit près de moi Nous restons blottis dans les bras de l’autre et je me retourne pour l’embrasser Soraya : Promets-moi de revenir à Acapulco pour me rendre visite Il ferme ses yeux et je le prends dans une étreinte P(u)tain mon père va me tuer merde je l’ai vraiment fait.