. Il m’allongea sur un lit que je pu facilement identifier comme étant le sien, il délaissa mes lèvres pour embrasser le coin de ma bouche puis ma mâchoire et descendit lentement vers mon cou et là je dus entouvrir ma bouche pour laisser sortir un gémissement et je reconnu à peine ma voix, il s’activa sur mon cou me faisant gémir inlassablement alors qu’une chaleur peu connue se répandait dans mon bas ventre et que je sentis coulé ce liquide communément appelé cyprine, de façon plus vulgaire, je mouillais abondement pour lui. C’était si bon, toute ces sensations ses lèvres sa langues sur ma peau, ses dents maltraitant mon cou, ses mains qui pressaient ma peau comme pour la marquer au fer rouge, j’avais l’impression de l’avoir partout sur moi et nul part à la fois, ce n’était pas suffisant

