Je me retournais et tombai sur ce crétin de Marco, je me précipitais vers lui pour vérifier qu’il n’avait rien, je me mis à inspecter son corps pour m’assurer qu’il n’a rien, je fus rassurée quand je constatai qu’il n’avait rien, même pas une égratignure - Double imbécile, ça ne va pas de te jeter sur moi comme ça ? tu aurais pu être touché - Ce n’est pas grave, le plus important était de te protéger - Je sais que c’est ton travail, mais comment penses-tu que je serais resté en vie en sachant que tu as été blessé par ma faute ou pire, tu es mort, j’ai déjà une mort sur la conscience, n’en rajoute pas une autre s’il te plait - Je ne l’ai pas fait parce que c’est mon travail, je l’ai fait, car je ne voulais pas que quelque c

