-Merde ! Cache toi juste là. M’ordonne-t-il en me montrant une grande armoire posée au fond de la salle.
Je me cache derrière celle-ci. C’est très étroit mais je me faufile entre le mur et l’armoire. Il retourne ensuite rapidement s’installer sur une chaise et moi je dégaine l’arme de Lino dont la sécurité est déjà retirée. J’ai le cœur qui cogne violemment contre ma poitrine. Je respire grossièrement.
Le bruit du claquement de la porte me signale que ces narcos viennent d’entrer dans la pièce.
-Franco !! S’exclame une voix rauque que je ne reconnais pas.
-El Ray. Commence cordialement Fernando. Don Miguel, Don Angelo, bienvenue à vous, continue-t-il en s’exprimant de façon nonchalante et avec respect.
Je n’ai absolument aucune idée de ce qui se passe. Je ne vois rien. Heureusemen
